Ramatoulaye Sall
J'allais à la maison de mon grand frère et sa petite famille pour leur rendre une rendre visite. En sortant de ma maison,j'ai entendu des cris venant de la maison d'en face. Au début je pensais qu'un enfant était entrain de se faire taper par quelqu'un mais bizarrement,je n'ai jamais vu un enfant sortir de leur maison, depuis qu'ils ont aménagé ici. Les cris s'amplifièrent de plus en plus. En un instant plus tard, j'ai entendu : <<Aidez-moi!...>>. En ce moment, j'ai décidé d'aller voir ce qui se passait et en pénétrant dans la maison,j'ai vu la femme couchée sur le sol. J'ai compris qu'elle allait accoucher mais personne n'était dans la maison à part elle. Incapable de l'abandonner,j'ai décidé de la conduir à l'hôpital le plus proche. Je n'avais aucune affinité avec ses parents. D'ailleurs,quand ils ont débarqué dans le quartier, nous avons pu constater qu'ils n'étaient pas du même classe sociale que nous qui vivons depuis longtemps ici. La dame et cette femme aimaientt trop se faire remarqué et lorsqu'elles croisaient quelqu'un ou une groupe de personnes,on a l'impression qu'elles les méprisaient. Deux jours après leur venus,je suis allée dans leur maison avec mon fils aîné pour leur souhaité la bienvenue, vu que je suis la femme du chef de quartier et c'était un coutume pour moi d'accueillir les nouveaux habitants de notre localité, mais la dame nous a mal reçu chez elle. Comme si,nous avions pas d'importance....
Flash-back
Ce matin là, j'étais très enthousiaste d'aller faire la connaissance des nouveaux du quartier. En déjeunant avec ma famille,j'ai posé le débat avec mon mari: Mame sidi Seck,plus connu sous le nom de Pa Seck.
_ Seck! Tu es au courant qu'il y avait de nouveaux habitants dans ton quartier ?
_ tu parles de ceux qui vivent à la maison d'en face?
_ Exacte.
_Bien-sûr que je suis au courant. Le courtier qui a vendu la maison est mon ami,je l'ai su à travers lui. J'ai entendu dire qu'ils venaient des cités comico et que c'est une famille très riche. Ils sont venus habités ici juste pour aider les gens pauvre, C'est ce qu'on m'a dit. Le chef de la famille possède des entreprises et vent des maisons,la dame elle, fait des œuvres de charité et c'est parce qu'elle veut être près des nécessiteux,que lui et sa famille sont venus vivre dans cette bidons ville pour quelques temps.
_ ah bon ! Uniquement pour aider les gens,ils ont choisi d'abandonner leur joli côté pour venir vivre ici! Mais quel gentillesse ! On devrait aller les voir et les soumettre les problèmes que font faces les habitants du quartier. Tellement de personnes souffrent ici, beaucoup de femmes viennent me voir pour me raconter leur problème et demandé de l'aide. Cela me fait mal,si l'une d'entre elle repart dans obtenir satisfaction de ma part. Si des bienfaiteurs habitent tout près de nous, alors cela ne peut que me rendre très heureuse. Seck,Nous allons partir les souhaité la bienvenue après le déjeuner.
_ C'est une bonne idée mais je suis désolé,je ne pourrai pas t'accompagné aujourd'hui. J'ai beaucoup de travail. Je dois d'abord me rentre au réunion des chefs de quartier à la mairie avant d'aller déposer certains dossiers à la préfecture. Tu devrais y aller seule ma chère femme.
_ Ce n'est pas grave. Je vais donc aller avec Abdallah. Il....
_ qui moi? Demande mon fils d'un air étonné.
_ bien-sûr,qui d'autre s'appelle Abdallah ici ? Je t'ai toujours dit d'arrêter de me couper la parole comme tu le fais à chaque fois. Ce n'est pas du tout y signe de respect.
_ maman,je suis désolée mais je ne vais pas t'accompagner cette fois-ci. Qu'est-ce que j'ai avoir avec eux ? Tu sais très bien que je n'aime pas parlé avec des Inconnus. J'ai ma caractère et ils risquent de mal me juger. En plus vous croyez vraiment que c'est gens sont venus vivre ici parce qu'ils veulent aider les personnes pauvres! Mdrrr!!! Vous êtes vraiment très naïfs. Ahaha !
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Assiatou (A Quand Le Bonheur?)
Fiction généraleMon âme porte le poids d'une grande faiblesse, Chaque battement de mon cœur est empreint d'une tristesse persistante. Le bonheur, tel un étranger, semble m'oublier, Je me débats dans une existence dépourvue de couleur, où les jours se succèdent, ter...