Chapitre 59 "Baby sitting"

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- Où est-ce qu'elle est ?! SALE PUTE JE TE RETROUVERAIS !

- Du calme mon garçon, on va pas te faire de mal.

- Ah ouais ? Pourquoi je suis à poil alors ?!

- T'es juste en caleçon, on a brûlé le reste de tes vêtements pour pas que t'es camarades te retrouvent.

- On est pas débile, ils vont venir vous défoncer la gueule.

- S'ils viennent ici, ils seront débiles.

- Putain, j'arrive pas à croire qu'elle a fait ça cette pute.

- Tu devrais remercier cette pute mon grand, grâce à elle on te tuera pas, alors que vous le méritée amplement.

- Je préfère que vous me tuez plutôt que de me retenir ici.

- Tu prendrais le risque de ne plus la revoir ?

- Si je la revois je la tue.

- Mais tu la baises avant. On ne te posera aucune question, et tu ne sauras rien de notre côté, peut-être que quelqu'un viendra te nourrir si cette personne arrive à avoir pitié de toi ou si elle a besoin de se défouler sur toi.

- Je me ferais un plaisir de la tué cte bouffonne.

- T'es menotté et ligoté mon âge, elle ne fera qu'une bouchée de toi.

- Tiens là voilà, on passe le relais !

Son regard noir suit Nalia du regard qui s'approche des barreaux.

- Je suis désolée, on m'a pas laissé le choix.

- Il me semble qu'on t'avait pas laissé le choix non plus en Italie.

- M'en veux pas s'il te plaît, je voulais pas qu'il te tue.

- Parce que je te baise bien ? Ma belle c'est pas ça qui me retiendra de te tuer quand on m'aura libérer.

- Tu veux me tuer ?

- Je suis ligotté à une putain de chaise à cause de toi.

Elle ouvre le portail de la prison et s'approche de lui.

- Tu trouves pas ça sexy ? C'est moi qui t'ai attachée, j'ai fais un papillon pour le nœud derrière, mais tu peux pas le voir..

Il lui crache au visage, elle rigole en s'essuyant le visage avec son t-shirt.

- Charmant.

- Je vais te bouffer putain, comment t'as pu faire ça.

Elle s'approche de lui, s'asseyant sur ses cuisses, il la regarde faire, les jambes écartés sur sa chaise.

- On a pas pu finir l'autre soir.

Elle embrasse son cou puis le léche en remontant jusqu'à sa mâchoire, il serre la mâchoire en regardant le plafond.

- Chut... regarde moi mon cœur.

Il l'a regarde dans les yeux, serrant ses poings derrière la chaise.

- Sois tu restes ici tout seul jusqu'à ce qu'on tue tous tes collègues, soit on prolonge notre aventure et tu vides tes couilles à chaque fois que je viens te voir.

Il attrape son épaule avec ses dents et tire dessus, elle se recule en le regardant horrifié, caressant son épaule.

- Je croyais que ça t'excitait les trucs de sadomaso.

Elle pose ses mains sur ses cuisses en se penchant en avant.

- T'es sûr de ton choix ?

Il recule sa tête et claque son front contre le sien, leurs fronts saignent, elle s'évanouie près de la porte, empêchant au tigre de faire quoi que ce soit pour s'échapper.

L.A.POù les histoires vivent. Découvrez maintenant