POUR L'AMOUR D'ELLE. (TERMINÉE).

PERIODE DE PERDITION. PARTIE 2.

       NEW YORK, janvier, 2016.

   LE PREMIER JOUR D'UNE NOUVELLE ANNÉE.

   HÔTEL RASMUSSEN.

   LA SUITE ROYALE.

   UN APRÈS-MIDI.

   Carla, une jeune brune au carré assez court, émergea d'un lourd sommeil en souffrant d'une terrible migraine et d'une gueule de bois fracassante, dûes toutes deux à la soirée-orgie pour fêter la nouvelle année. Elle se rappelait avoir trop bu, beaucoup trop. D'habitude, Alexandre l'en empêchait car il avait horreur de l'ivresse et des personnes ivres. Se rappelant son amant, elle jeta un coup d'oeil sur l'oreiller à côté d'elle.

   Vide.

   Rien d'étonnant!
Depuis le début de leur liaison, il n'a jamais partagé sa chambre pour dormir. Après leurs ébats, il rentrait chez lui, la renvoyait chez elle ou lorsqu'ils étaient en voyage, comme aujourd'hui, il demandait une suite avec deux chambres. Sans prendre le temps de se couvrir, Carla alla chercher de l'Advil dans la pharmacie de la salle de bains. Toujours nue, elle se rendit dans la chambre d'Alexander.

   Vide.

   En retournant dans sa chambre, elle remarqua une feuille pliée déposée en évidence contre un abat-jour. La dépliant, elle lut:

   " Notre bout de chemin s'achève là. Vous avez un billet pour retourner à Détroit où vous attend un emploi comme promis."

   Pas de signature. Pas de mot gentil. Une rupture claire et nette.

   Carla, consternée, se laissa choir sur le sol.

   Parti!? Fini!? ...

   Les trois mois étaient donc déjà finis !?....

   Elle avait cru que leur histoire durerait plus longtemps!

   Ces trois mois avaient été comme un rêve ! Il est vrai qu'Alexander n'était pas un compagnon très attentionné, ni un amant très affectueux, mais il compensait cela par sa prodigalité. Il ne lésinait ni sur les dépenses, ni sur le confort et le luxe...Le premier choc passé, Carla s'effondra sur le sol, en sanglotant.

   Retour case-départ!

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     Bonjour / Bonsoir selon le temps que vous avez.

     j'espère que vous allez bien et que vous supportez les circonstances spéciales que nous vivons tous, de par le monde, à cause du virus.

     Seule notre détermination à poursuivre une vie normale, dans la mesure du possible, peut nous aider à supporter les difficultés. Il faut donc se confirmer aux instructions et prendre notre mal en patience. Dieu est Grand et la patience est notre seule arme.

    J'ai décidé de m'adresser à vous, cher.es. lecteurs/lectrices, à cause d'un problème inattendu auquel je me suis heurtée en parcourant mon histoire. J'ai découvert que le chapitre intitulé " RENCONTRE CHOC " a été décalé et au lieu d'être le 3ème après PERIODE DE PERDITION (2ème partie), il venait plus loin.

    Donc, vous qui me lisez, ayez la gentillesse de lire en étant conscient de cette "déficience".

   Merci.