Eva soumise et heureuse

Chapitre XXX - La disparition d'un ami très cher

Il me re confirme que la soumission n'est pas un chemin simple et qu'il peut être tortueux... Je lui demande aussi si moi aussi à mon tour je peux uriner dans la douche. Mes nerfs se relâche, il me répond « Oui bien sûr ». Mon jet ne se fait pas attendre, je ne retiens rien, et je le regarde en le faisant. Un cap vient d'être franchis, ce ne seras jamais un plaisir je pense, mais je l'ai fait ! J'ai survécu, pas sans mal mais voilà, je l'ai fait ! Je suis arrivée à me dépasser totalement. La chose qui me dégoutait le plus au monde en plus. Il est satisfait, et remonte préparer le prochain jeu. Je me relave un coup, puis je monte à sa suite. Il est en train d'installer 2 sangles, une à la fenêtre et l'autre à la porte de la salle de bain. Je passe, silencieuse, et remet mon collier, puis mes liens. Je me demande quel est son projet. Je prends mon temps, mes muscles sont encore très raides et douloureux. Il me rejoint, il m'aide, je le regarde. Il a l'œil tranquille, il m'apaise. Il peut tout me faire, je trouve toujours une solution pour me dépasser. Je comprends un peu plus que c'est plus de l'admiration, et une grande tendresse que j'éprouve pour lui, plutôt que de l'amour et ça me rassure. Il me demande si ça va, je dis « Oui c'est bon, je me suis remise ». « Alors debout ! » Je me lève avec en train, c'est reparti, je ressens de nouveau mon enthousiasme habituel. Je viens me placer au milieu de la pièce. Il m'attache les poignets et me dis « Ecarte les jambes ». J'obéis vite. Il farfouille dans les affaires, je le regarde discrètement. Il revient avec Bob ! Oh oui mon Bob ! Celui qui me fait tant de bien. Mon sourire doit en dire long sur le bonheur que j'ai en le voyant. Mais debout ? Non c'est terrible debout, il ne va pas me faire ça ? Ah ben si. Il vient vers moi avec ce regard sadique, que je commence à bien connaître. Je suis déjà trempée. J'ouvre bien mes cuisses lui laissant bien le passage. Il met Bob en route, son doux ronron s'approche, mon ventre se contracte déjà de bonheur. Puis il vient me l'appliquer direct sur le clito. Ouhaouuuuu ça c'est bon ! Je gémis de suite ! Mon clito se réveille. Il passe aussi une main sur ma chatte trempée, et me dis « Salope !!! ». Et me fait lécher ses doigts enduis de ma mouille pendant qu'il s'amuse avec Bob. Je m'applique à bien lui nettoyer, tout en gémissant, me tortillant. Bob tournois sur mon clito, fait plusieurs va et viens vers mon vagin. Je m'enflamme, transpirante, haletante, je m'accroche aux sangles. Je pars dans les tours, mais pas facile de rester debout en prenant son pied. Je prends appui sur son torse, pour ne pas tomber. Il ne me loupe pas le bougre, il y met du cœur pour m enflammer. Pour me remettre sur mes pieds il me claque les seins. Je me redresse, me tends me tortille, je m'enflamme de nouveau. Il me fait remonter le clito, l'étire, plus haut plus fort. Je cris mon plaisir, je suis tendu au possible, je me sens dégouliner, je ne retiens rien, je prends tout le plaisir qu'il me donne, je le cri je le hurle, j'implore sa pitié. J'ai envie de m'écrouler sur le lit tellement c'est bon. Je finis même par dire « soumission », tellement c'est douloureux et bon, tellement intenable. Je n'arrive plus à savoir si ça me fait du bien ou si c'est trop intense. I s'arrête et me dis « Et bien alors ! Tu dis soumission ? Quand je te donne du plaisir ? » Je le regarde un peu bêtement. Ben oui mince ! Que m'arrive t'il ? C'est bien la première fois. Je lui dis c'est épuisant debout, pire que couché. Il le conçoit, laisse quelques minutes passer, me laissant attachée. Je me dis « Mince, il ne va pas avoir pitié ? M'installé sur le lit ? » Ben non, il revient à l'attaque, reprends mon clito, le tourne, l'écrase. Je remonte en pression, j'hurle de plaisir !

Puis d'un coup plus rien... Bob s'arrête en plein travail ! Il essaye de le remettre en route, mais rien n'y fait. Regard dans le vide de ma part. Il me demande « Tu as des piles ? » « Oui dans le sac, mais je les ai changées ce matin, elle devrait tenir ». Je sens le drame arriver. Il va le dévisser et changer les piles. Je le regarde fébrile. Je me dis qu'il a déjà eu un coup de mou la semaine dernière... Mais non ! C'est les piles ! C'est pas possible pas lui !! » Il le revisse, je suis tendue, puis il appuis sur le bouton. Rien ne se passe, pas un bruit, rien, pas mon ronronnement. J'hurle « Nnonnnnnnn ! Pas ça ». Il m'annonce solennellement « Bob est mort je pense ». Il vient me détacher. Je prends Bob dans mes mains. Mais non ! C'est pas possible ! Pas lui, il est trop jeune, trop bon, il ne peut pas me lâcher. Je le met sur du dur et essaye de lui faire un massage cardiaque... Oui oui sur un vibro, sait-on jamais ? Dominique me dis « Il est mort, il n'y a plus rien à faire. Il est mort de sa belle mort, dans l'action, il a servi sa cause ». Je le regarde, désespéré. Mais comment vais-je faire ? Je ne survivrais pas. « Mais si mais si, tu vas reprendre tes doigts pour un moment ». Mes doigts ? Ah non maintenant que j'ai gouter à bob je ne m'en passe plus... Il me dit « Je t'en re-offrirais un ». Ca m'apaise un peu, mais je suis terriblement triste. Mon Bob, le premier vibro de ma vie de soumise, de ma vie tout court. Je prends un coup. Je sens que c'est le moment des révélations, je pense qu'il est temps, mais vais-je oser ?