Chapitre XCIII - Bravo aux seins, Eva !

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Je suis surprise par cette révélation. Je pensais toujours être à la recherche de ce qui ne va pas dans ma vie, et là ben non ! Finalement je ne cherche plus rien ! Il me laisse réfléchir à ma condition, toujours attachée. Je suis un peu perdue dans mes réflexions. C'est un sacré changement, et je sentais bien au fond de moi que quelque chose changeait ! Je suis tremblante, mettant de l'ordre dans ma tête. Une chose est sûre, c'est que lui ça lui plait, c'est déjà ça. Moi il va falloir que je gère ce nouveau moi. J'ai un peu l'impression d'avoir plein de personnalités qui changent en fonction de ma soumission, de ma vie. Je ne suis pas sûre de tout le temps bien le gérer, mais Dominique m'aide, et tant que je ne le vois pas inquiet de mes changements pourquoi s'en faire ? Et l'évolution dans la soumission, c'est aussi ce qui me permet d'évoluer dans ma vie de tous les jours aussi et ça j'adore ! Prendre conscience de ce que je suis capable en soumission, je peux aussi le réaliser dans la vie de tous les jours... Il me regarde toujours avec intensité pendant ma réflexion. Il me laisse le temps d'encaisser les nouvelles choses aussi. Je sais que cela doit encore faire son chemin dans ma tête pour que j'en prenne pleinement conscience. Il me demande si je vais toujours bien. Je lui réponds que oui bien sûr. Il le sait, j'en suis sûre, que, dans ma tête, les choses tournent mais j'aurais le temps pendant la nuit que les choses se tassent, rentrent et que j'analyse tout ça. Il revient vers moi, me regardant les seins, regardant les marques et se tourne vers le sac. Il me regarde amusé quand il se retourne avec les pompes a seins. « Alors elles ne fonctionnent plus ? ». À la dernière séance vidéo je les ai trouvées pas top. J'ai eu du mal à les utiliser. Je vois bien que ça l'amuse et qu'il va bien sûr tester pour en être sûr... Il part dans la salle de bain pour bien les humidifier. Je perds toute mon assurance. Il va bien arriver à les faire fonctionner lui ! Elles lui obéissent, elles ont peur de lui je suis sûre. Et si elles fonctionnent, il ne va pas me louper bien entendu ! Je vois son regard vicieux, celui qui me fait comprendre que je vais déguster comme il sait si bien faire. Je prie pour qu'elles ne fonctionnent pas avec lui, mais déjà le doute sur la chose m'envahit. Il me plante la première sur le téton. Il n'y va pas en douceur, comme toujours, sans me quitter des yeux. Il serre d'un coup la pompe. Je sens mon téton être aspiré vers l'avant. Je couine, je vois son œil satisfait et là je sais au plus profond de moi que je vais souffrir pour mon plus grand plaisir et le sien bien entendu. « Alors ? Elles ne fonctionnent pas ? » me dit-il en me remettant un tour en me fixant dans les yeux. Il a sa voix sévère, celle qui ne plaisante pas, celle qui me fait devenir toute petite. Je m'accroche aux sangles pour ne pas plier pendant que mon téton s'étire un petit peu plus. Je vais le payer cher le mais elle fonctionne, là j'en ai encore plus la certitude ! Il prend la seconde et fait avec la même intensité sur mon deuxième téton. La même douleur qui me transperce jusqu'au plus profond. Son regard est terrible. J'aimerais pouvoir me cacher, me planquer, ne plus être là mais je ne peux pas bouger. Je me demande si c'est une si grosse bêtise que ça ? Cela à l'air de l'être... Il ne me laisse pas le temps de réfléchir et resserre encore les pompes. J'ai la sensation que mes tétons vont exploser. Je ne quitte pas ses yeux, je m'y accroche aussi pour supporter toujours plus. Tout en me regardant il me donne de bonnes claques bien intenses. Il me dit « C'est quand même bizarre, avec moi elles marchent bien ! ». Je n'ose pas répondre, pour une fois je la ferme. Il vaut mieux je pense, pendant que les claques résonnent dans la pièce à un rythme régulier, mes seins s'entrechoquent. Je supporte bien, je suis dans mon truc, je ne lâcherais pas. Le dépassement de moi est ancré maintenant et je veux tout lui donner. Il resserre une nouvelle fois les pompes, ça devient vraiment étiré je pousse un petit cri. Il faut un temps d'adaptation avant que la douleur s'estompe un peu, mais là aussi je tiens. Il tire dessus pour tester en me disant « Reste en place » quand je suis le mouvement. Sa voix résonne et ne prête à aucune négociation, je me redresse en grimaçant. Je le sens aussi amusé par ma tête dépitée que tout fonctionne mais il garde son sérieux. Et il continue en les claquant entre eux. Il ''applaudit'' avec mes seins comme il dit. Ils s'écrasent, rebondissent, ma peau s'étire. Il les tape bien l'un contre l'autre, cela résonne jusque dans ma tête. Je couine. Je déteste ça, j'ai l'impression que je vais exploser mais ça il s'en moque bien entendu. Et il continue, les pompes s'entrechoquent, cela contribue à mon mal-être de ce moment-là, mais le mental tient, je m'accroche, je ne lâcherais pas comme ça, et il le voit. Il me regarde, satisfait et me dit « Tu deviens vraiment de plus en plus résistante, mais tu crois que je peux les arracher ? Vus qu'elles fonctionnent mal... Je me demande quand même... ». Il n'est jamais moqueur, juste taquin. Je ne lui réponds pas. Alors il en prend chacun pompe dans une main et il tire un coup très sec. Elles s'arrachent, j'ai l'impression qu'il m'arrache un morceau de moi aussi. Je retiens un hurlement. Je jette un œil sur mes tétons, mais non ils sont tous les deux bien là, heureusement. La douleur est intense, je respire vite. Mes tétons sont énormes, douloureux mais il n'en a pas fini, je le sens. Vais-je tenir ? J je commence à me poser la question. Lui il ne s'en pose pas quand il revient avec 2 pinces à linge et une ficelle. Il me met les 2 pinces, une sur chaque téton et, comme toujours, je prends un coup de chaud, en haut, en bas, mon corps s'enflamme. Il me rend dingue ! Je me déconcentre un peu, je le sens. Il commence à vouloir rentrer la ficelle dans les trous des pinces. Le voyant ne pas y arriver et l'ayant déjà vécu je lui dis « C'est trop gros il faut le... » Un gros « Ta gueule ! » sort de sa bouche. J'en reste idiote car il ne dit jamais ça, cela me remet les idées en place et je reprends ma concentration en m'excusant... Il sait bien me remettre à ma place rien qu'avec une phrase, pas besoin de plus. Je suis déstabilisée, un peu choquée par ses deux mots. Lui ça ne le perturbe pas plus et il continue en passant la ficelle dans l'espace entre le téton et le collier. Il fait remonter la ficelle derrière mon cou et l'attache après l'avoir fait passer dans la deuxième pince. Il regarde son œuvre, mes seins sont bien remontés et je ne peux pas les soulager, je peux baisser ma tête rien n'y fait. Et en plus de cela il ne les trouve pas assez hauts ! Il fait coulisser un peu plus la ficelle et ils les remontent encore plus. Je pousse un grand gémissement. Il me dit « Chut ! Ne pas inquiéter les voisins ». Si j'ai même plus le droit de souffrir en râlant ou va le monde...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant