Chapitre CXXXIII - Grande préparation...

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J'en profite pour faire un petit câlin en me collant légèrement à lui pour profiter de son contact. Il passe sa main sous mon cou. Il accepte le petit moment tendre, je suis heureuse. Nous restons comme ça, finissant de nous réveiller plus en douceur. Il est tôt, mais le jour se lève déjà, il joue doucement sur ma peau de ses doigts. Je le sens amusé quand il me dit « Ah oui les marques de fouets, ça fait de vraies marques... ». J'ai de vraies traces sur coté du ventre et elles sont toujours bien cuisantes. La douleur est différente de tout ce que j'ai connu jusque-là. Il me dit « Allez ! Debout j'ai encore envie de te fouetter ! ». Mon esprit ne fait qu'un tour, moi aussi j'ai encore envie de découvrir sa morsure. Nous nous levons chacun de notre côté, déjà plein d'entrain pour notre petite matinée. Je lui demande si nous déjeunons avant de commencer et il me répond que « Oui, j'ai déjà faim. Et surtout qu'il faut que tu prennes des forces pour pouvoir encaisser ce qui va suivre ». Je confirme, il va en falloir ! Nous descendons et il prend les pinces à sein. Il me demande de venir à lui. Je me présente, les mains dans le dos et il commence à me mettre la première. Il s'applique à la positionner et il la resserre sur mon téton en descendant la petite barre de métal. La douleur, la pression se font tout de suite ressentir. Je sens mon téton se resserrer. J'en ai un peu le souffle coupé, mais je me reprends, je l'observe pendant que lui s'applique dans sa tâche. C'est la première fois qu'il me les applique. Il fait de même avec la seconde, il ne faiblit pas. Moi je défaille un peu, je reste forte mais j'ai la sensation de ne plus avoir de sang au bout des tétons. Il me regarde, fier de lui, et me demande comment je vais. Je lui réponds que ça va. Je m'attendais déjà à ce qu'il s'amuse en me tirant par la chaîne ou des choses comme ça. Mais non il commence en me faisant claquer les seins entre eux... Les pinces résonnent dans tout mon corps. Il s'amuse en me disant « Tu es contente Eva ? Hein que je sois là ? ». Je lui réponds que oui. La chaine se tend à chaque fois que mes seins se reposent, c'est terrible. Et d'un coup il s'arrête et me dit « On déjeune ? ». Il me surprend et je réponds « Oui bien sûr ». Je me dirige vers la cuisine avec mes deux pinces bien positionnées. Je luis sors une tasse pour son café et prends les croissants. Nous prenons notre petit déjeuner pendant que les pinces font de l'effet sur mes seins. Je souffre, mais je ne dis rien, lui parlant comme si de rien n'était. Je me doute qu'il le sait que la douleur est bien présente, que je mon visage ne ment pas, mais je résiste, je ne veux pas craquer, je repousse une nouvelle fois la douleur. Nous finissons de manger, il se lève et prends la chaîne dans sa main, il me fait me relever en tirant dessus. Je couine, je grogne, je suis le mouvement comme je peux. Un brin taquin, il me dit « C'est quand même pratique cette chaîne ». Il continue son chemin, mais les pinces lâchent, les bouts en plastiques s'en vont. La douleur du sang qui revient dans les tétons est terrible, je me plie en 2. Je souffre pendant quelques secondes. La douleur est fulgurante, mais disparaît aussi vite qu'elle est apparue. Je reprends mon souffle pendant que lui regarde les pinces un peu déçues... Il me dit « Il va falloir que, pour la prochaine fois, tu mettes de la super glu, il faut que cela tienne !!! » Je prends note de sa demande. Il ne cherche pas à les remettre et me dit « Allez, enfile ton collier et les bracelets, je veux utiliser le fouet !!! » Je ne me fais pas prier, je mets aussitôt mon collier, les bracelets sont vite enfilés, je suis impatiente moi aussi. Il est déjà dans la cour quand je sors. Il a placé les sangles de chaque côté de celle-ci. Je le regarde faire en me rendant compte que je n'aurais rien devant moi, rien pour me raccrocher si je défaille. Je dois me dire que j'ai confiance en lui pour y aller. Il m'installe au milieu et commence par m'attacher la main gauche, il la tend bien. Je mouille, je le sens, j'aime tellement ça, me sentir plus que soumise. Il fait de même de l'autre côté. Mes deux bras sont bien tendus. Il passe devant et m'enfile le carton, je ne vois plus rien, je suis seule avec moi-même, je sais déjà que cela ne va pas être une partie de plaisir nerveusement.

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant