Chapitre LIII - Mes seins sont à la fête

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Nous reprenons la route, entre déception et soulagement pour moi mais on oublie vite notre déception. Il est comme ça Dominique, il ne s'arrête pas à de petites choses. Pour moi, qui prends trop tout à cœur, c'est une leçon de vie, un jour j'y arriverai aussi, j'en suis sûre. La route est rythmée par ses envies de tripotage, je garde tout bien à sa disposition, et je regrette même d'avoir gardé mon soutien-gorge, mais ça aussi ce sera une nouvelle étape, mais avec mes seins lourds, les vibrations et quand je marche cela se voit vite et cela me dérange encore.

Nous mangeons rapidement, avant qu'il me laisse pour son rendez-vous. Je découvre le gite, il est mal foutu, mais on fera avec, comme toujours je ne me fais pas de soucis. Pour cela, je prépare les jouets, je suis impatiente, je me demande ce qu'il me prépare, comme chaque fois il n'a rien dit... à son retour tout est prêt, je suis d'une impatience folle, trempée, tremblante, enthousiaste. Il me dit « Allez à poil !! ». Tout mon corps tremble d'excitation, je passe mon collier. Le collier ! Ne jamais l'oublier. Mon esprit passe en mode soumise totale, je suis à lui. Il installe une chaise, je suis vite à poil. Je suis même arrivée à caser les cravaches dans mon sac de voyage. Il ne manque que la planche à saucisson... Il s'assoit et je prends place sans réfléchir, c'est devenu un réflexe maintenant. Je ne suis plus totalement moi, lui n'est plus totalement lui. Mais nous sommes là pour la même chose. Mon cul bien exposé à ses coups, il commence la fessée. Les claques pleuvent sur mes fesses, il est précis, il n'en loupe aucune. Je suis à lui, je gémis doucement. Je dois faire attention à mes cris, les voisins sont proches, juste une simple cloison nous sépare. Nous avons même mis la télé pour atténuer le bruit. Lui, par-contre, ne retient rien, elles claquent fort, je vibre à chaque claque, tout résonne. Je m'accroche à sa jambe, et il continue son œuvre... Je sens ma mouille doucement s'écouler entre mes jambes. Je prends maintenant du plaisir sous la fessée, et j'en redemande ! Je tends bien mes fesses, couinant quand il répète les claques au même endroit. Puis il alterne en donnant des claques moins fortes mais beaucoup plus rapidement, il accélère le rythme. Je couine de plus en plus, il me calme en insérant un doigt dans ma chatte trempée, il pince mon clito, me doigte fort. Je gémis, je suis super-excitée. Puis il passe un doigt dans mon petit trou, je grogne, me contracte. Je sens que ça ne sera pas encore gagné, mais je tiens le coup, je ne veux pas le décevoir. Pendant ce temps-là il continue aussi à me travailler le clito. Je me laisse aller entre plaisir et le petit côté désagréable. Je suis bien en place, mais dès que je prends un peu trop de plaisir, il stoppe tout ! C'est trop tôt pour le plaisir. Il reprend les claques. Il descend sur les jambes, les cuisses, il les enflamme en tapant plusieurs fois au même endroit puis descend derrière les genoux. Il ne laisse pas un centimètre carré de mes jambes sans une marque. Je finis par lâcher « Soumission ! ». Je ne tiens plus, je craque. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis dans cette position, mais mon corps ne peut plus encaisser. Il me fait me relever, j'ai la tête qui tourne. Je reprends mes esprits doucement. Nous sommes montés en altitude et je pense que cela joue un peu sur le corps... Il me demande si ça va, je confirme. Tout rentre dans l'ordre. Je lui demande la permission d'aller faire pipi. Il me l'accorde mais il m'accompagne aux toilettes. Je trouve ça bizarre. Je lui demande « Dans la douche ? ». Il me dit « Non non, sur les toilettes, les jambes bien écartées, les pieds à plat ». Je suis un peu surprise par sa demande, mais j'obéis. Il se place face à moi, forcément ça me déconcentre. Il me dit « Ben alors ? Tu n'arrives pas à pisser devant moi ? ». « Si, si, bien sûr ». Je commence mon pipi pendant que lui commence à se caresser le sexe, je comprends enfin où il veut en venir. Il me dit « Aller ! à toi ! ». Et je le prends en bouche sans hésitation, la hauteur est parfaite. Je commence les va et viens, joue sur son gland avec ma langue. La pièce est petite, on a très peu de place. Il m'incite à aller plus loin dans mes va-et-vient. Je suis son mouvement. Il prend ma tête à deux mains et impose son rythme. J'en bave, je le sens grossir en moi, mais je me déconcentre. Je ne suis pas à l'aise et je finis par avoir des hauts le cœur ! J'en ai des remontées, je suis mal en point. Il s'enlève, je crache, je suis vraiment mal en point. Les larmes aux yeux, je suis déçue de moi. Lui reste imperturbable comme toujours. Nous remontons, je sens bien que je fais la tronche. Lui aussi le voit bien, il me dit « Si je t'enquiquine je te laisse et je vais à l'hôtel hein ! ». Cela me réveille de ma torpeur, il me demande ce qui se passe. Je lui explique que je suis déçue de moi de m'être loupée comme ça.. Et forcement il me rassure, il me dit que ce n'est rien, que ça ira mieux le prochain coup, et qu'il a l'impression que je ne lui parle plus en ce moment. Je réalise que c'est vrai, qu'à vouloir allez trop bien, je cache mes descentes de moral. On discute un moment de tout ça et je reprends conscience qu'il est là pour tous les moments de ma vie, les bons, les mauvais, et que je ne dois jamais hésiter à dire quand ça ne va pas. J'ai oublié qu'il ne me juge jamais, et surtout se cacher la vérité ne fait pas vraiment du bien, même plutôt du mal. Ne jamais mentir à son DOM, même par omission, ça sera la leçon du jour, ou peut-être qu'il y en aura d'autres d'ici la fin de la séance...

Mon moral remonte, rien que d'en avoir parlé m'a fait du bien. Je recommence à sourire et j'oublie la fellation loupée. Il part farfouiller dans son sac, je patiente sagement. Il prend son temps comme toujours. Il travaille ma patience, et je deviens folle. Il finit par sortir un sac plastique, et quand il l'ouvre je reconnais des Serflex, ces attaches qui se serrent mais qui, ensuite ne s'ouvrent plus ! Je suis debout face à lui, mains dans le dos, jambes écartées. Il prend un premier collier en plastique et le passe sous mon sein droit, il essaie d'en fait le tour, mais mon sein est trop gros. Qu'à cela ne tienne, il en accroche un second. Il enserre bien mon sein, je le sens immédiatement se serrer, s'accrocher, j'en ai le souffle coupé... Puis il en prend un second, et fait de même un peu plus loin, toujours sur mon sein droit ! Mon sein prend une drôle de forme boudinée en encore plus allongée. Je ne bronche pas, mais l'effet dans ma tête est terrible. Je sens de nouveau que je peux allez encore plus loin en beaucoup de choses. J'ai le regard sûr de moi en attendant qu'il fasse de même sur l'autre sein. Il est satisfait de lui, mes seins sont complètement difformes, allongés comme deux tubes. Puis il prend les pinces à serrer et les applique sur mes tétons, ça pique fort, mais la douleur ne reste pas. Je sais que le pire c'est quand on les enlève ! Maintenant je le sais... Puis il commence à me donner de bonnes claques dessus. Mes seins sont remués, mais reste facilement en place. Les claques sont plus douloureuses, mes seins sont très tendus entre les Serflex. Son regard se fait plus vicieux. Moi je reste bien à ma place, solide sur mes pieds. Je le regarde fière d'être sa soumise et d'encaisser aussi bien ses claques. Puis il prend la petite cravache et applique de bonnes tapes dessus. Mes seins vibrent d'une nouvelle façon. Ils commencent à tirer de plus en plus. Mon souffle se fait court au fur et à mesure des claques, mais je ne dis rien. J'encaisse ! Je veux aller plus loin ! Il s'attaque à mes tétons, pour enlever les pinces. Je sautille un peu, je grogne, il ne me loupe pas. Je garde mes mains derrière le dos. Mais il finit par s'arrêter, mes seins changent de couleur. Il me dit « Mince ! J'ai rien pour les couper !!!! ». Regard un poil paniqué de ma part. Puis je réalise qu'il y a des ciseaux surement, ou un couteau... Il est amusé par ma réaction, il sent bien qu'il m'a faite flipper. Mais avant de me libérer, il m'arrache les pinces d'un coup sec ! Je m'empêche de hurler quand le sang revient dans mes tétons. Je danse sur place, le temps que ça se remette en place. Puis il prend sa pince à ongles, coupe les colliers. Là aussi je m'empêche de hurler. Mes seins sont douloureux dans l'ensemble, je bouge un peu, les masse doucement, ils ne m'ont jamais fait aussi mal !


Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant