Chapitre CXXI - Vous reprendrez bien une gorgée d'urine ?

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Il me demande comment je vais, je sens que Maurice commence à devenir désagréable, il me travaille et je n'ai pas envie de me dégoûter. J'ai vraiment envie de garder un bon souvenir de cet épisode. Je lui demande s'il peut me l'enlever. Il me dit « Ha non ! Débrouille-toi ! Hein tu es grande ! ». Je ne suis pas souple dans ce sens-là, je sens que cela va tourner à la catastrophe. Il me laisse faire, il ne voit pas tout le désarroi dans mon regard quand je m'élance, je me penche, je me tortille. Quand je le fais seule, en règle générale, je m'allonge sur le lit ou sur le canapé. Je croise son regard amusé, je me débats encore avec mon corps et moi ça me fait râler. Je lâche l'affaire et lui demande de me l'enlever, je n'y arrive pas et je vois que cela commence à m'énerver. Il me dit « Allez viens là, je vais t'aider ». Je viens me tourner face à lui et me penche en avant. Il me dit « Oh qu'il est beau ce bijou ! Quand même tu pourrais le mettre plus souvent ! Tu exagères ! Les femmes rêvent d'avoir des bijoux et toi tu ne le portes pas... » Il le retire en même temps. Je commence à prendre un fou rire, il arrive toujours à sortir la petite phrase qui fait mouche, qui me déstabilise, qui me fait rire. Lui aussi à un grand sourire quand je me retourne. Il me tend Maurice tout fier de lui il me dit « Je te laisse en prendre soin et le nettoyer ». Je file dans la salle de bain, je le nettoie correctement sans me soucier de ce qui se passe à côté. Je suis plongée dans mes pensées, quand il me rejoints dans la salle de bain, toujours avec un grand sourire. Mon ventre se serre. S'il me rejoint ici, ce n'est pas pour rien, je le sais à ce moment-là. Je sais ce qui m'attend. Il ne mâche pas ses mots en me disant « J'ai besoin de mon urinoir !!! » Cela me met tout de suite en condition, je me sens tout de suite rabaissée au plus haut point. Je déteste ça et il le sait. C'est mon épreuve, il le sait également. Nous savons que rien n'est gagné, que tout peut capoter à tout moment et que c'est souvent le pire moment de la séance. Il me dit « Allez en place ! ». Je pose Maurice et je grimpe dans la baignoire sans un mot. Je me concentre. Il me dit « Allez ! Accroupis-toi ! ». Je me mets en position, je me tiens au bord. Et je le regarde dans les yeux, il me regarde également droit dans les yeux. Je tremble et mes muscles se contractent déjà, je ne sais pas comment je vais pouvoir tenir. Je puise déjà dans mes réserves. Il s'avance et j'ouvre la bouche, un peu résignée. Lui en profite, il ne loupe pas son coup, son urine tombe directement dans ma bouche. Je reste en place, j'accepte. Ma volonté a pris le dessus sur mon dégoût. Je la prends, je l'accepte, je respire le moins possible pour passer au-dessus de l'odeur, c'est souvent là que je craque, l'odeur devient insupportable. Mais là je tiens, et il en profite, il me demande de fermer la bouche. Je le fais, je cesse de respirer et je le regarde un peu, mais je ne suis pas en état de supporter son regard. Je tiens je ne sais pas combien de temps, mais je recrache, n'en pouvant plus. Mais il ne me laisse pas me remettre de mes émotions, nous continuons, j'accepte une nouvelle fois en ouvrant grand la bouche. Il fait couler le plus loin possible. L'urine vient taper le fond de ma gorge, c'est dans le but de me faire boire, mais je résiste, je ne veux pas boire, ce n'est pas possible, pas maintenant. Mon cerveau se met en alerte, il est en total refus. Mais il continue sans faire de pause, je n'ose plus le regarder, je fixe son ventre. Voyant que je ne fais pas ce qu'il souhaite, je le sens bien, il me demande de garder la bouche fermée. Je me concentre et je la ferme, je ne respire plus. Il me regarde, me guette. Je tremble toujours autant, mes muscles sont tétanisés, je le sens. Mais je ne veux pas le boire, je le sais, je reste concentrer sur l'objectif, garder le plus longtemps dans la bouche. Il finit par me dire « Avale !!! ». Je fais non de la tête, il fait la grosse voix, celle qui me fait obéir, mais là, non ! Impossible ! Mon cerveau turbine à fond, mon état d'esprit change, je veux lui faire plaisir, mais mon corps refuse de laisser passer le liquide. C'est impossible ! Je finis par tout recracher ne pouvant plus respirer. Il me caresse les cheveux en me disant que c'est bien, que je vais finir par y arriver, mais moi je lui dis que non, ce n'est pas possible, que je ne peux pas accepter ça. Il me dit « Allez ! On va voir ça, on reprend. Ouvre la bouche ! ». Et il se remet à me pisser dans la bouche. Je suis au bout de ce que je peux supporter, mais il m'encourage, il le sent et me demande de fermer la bouche à nouveau. J'obtempère en bonne soumise, tout mon corps tremble une nouvelle fois. Il me fait redresser la tête pour que je le regarde dans les deux. J'ai la bouche fermée et je perds pied. Je ne sais plus quoi faire, je sens que je peux y arriver, à faire ce qu'il me demande. Mon cerveau a décidé que c'était possible, mais mon corps toujours pas. Il me le demande avec sa voix bien grave, le « Avale ! » tonne dans la salle de bain, mais non je ne peux pas. Je tiens encore un moment en essayant, en tenant le plus possible. Je tente de contraindre mon corps à le faire, mais il est le plus fort et je recrache tout. Je suis dégoutée, et je ne tiens plus. Il n'insiste pas et finit en m'arrosant de son urine sur tout le corps. Je me redresse difficilement mes muscles sont dans un sale état. Il me donne un coup de main. Je me lave le corps en entier, en m'excusant de ne pas y être arrivé une fois de plus. Je l'énerve, je le sens tout de suite. Il me dit « Mais regarde ce que tu supportes ! Ce que tu fais ! Je suis sûr que tu y arriveras ! Et regarde le chemin parcouru depuis que nous nous connaissons !! »

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant