Eva soumise et heureuse

Chapitre XVI - A cheval mon bidet

Pour l'instant nous rentrons au gîte, il me demande si j'ai bien récupéré ou si je veux continuer la pause. Je lui dis que tout va bien, et que je suis prête à repartir pour de nouvelles aventures. Regard satisfait du DOM, regard malicieux de la soumise toujours avide de nouvelles expériences. Je file mettre mon collier et mes attaches, pendant que lui, pousse les meubles... Je me demande ce qu'il prépare, j'entends pas mal de choses bouger, en me disant faut quand même rendre le gite en bon état ! Je redescends, un peu curieuse. Même beaucoup ! Je fais mine que non, en reprenant mon rôle de soumise, mais une grosse boule se forme dans mon ventre, quand je vois le gros canapé en cuir tourner, la table basse éloignée. Je regarde, excitée enthousiaste, pleine d'envie. Il me dit « Allez ! En place contre le dosseret du canapé, face vers l'avant ! ». Je me mets en place, je suis dans l'excitation, je dois être trempée, je le suis, je le sens. Il m'accroche des cordes à chaque pied, il me demande d'écarter les jambes, et me les écarte bien. Je ne peux plus bouger par les pieds. Il me demande si ce n'est pas trop serré, je lui réponds que non ça va. Je me prends une claque satisfaite sur les fesses, puis il vient m'attraper le poignet droit. Il l'attache fermement lui aussi, je me retrouve déjà bien penchée vers l'assise, il fait de même avec l'autre poignet, j'en ai le souffle coupé. Je comprends mieux ce qu'il voulait dire par « On monte en puissance... » Je me retrouve complément exposée et sans moyen de défense, je suis les pieds liés au pieds arrière du canapé, penchée sur le dossier et les mains liées au pieds avant du canapé ! Je dois offrir un sacré spectacle, et surtout je me sens plus que soumise, j'en suis heureuse. Je découvre ! Il sort numéro 2 et 3 et le plug gonflable qu'il surnomme Bob4. Je grimace d'avance. Il a tout à disposition, bien comme il faut, et je ne peux pas tricher, reculer avancer, je suis saucissonnée au canapé, je perds un peu de mon assurance, quand il lubrifie numéro 2 tout en me regardant bien. Je dois reprendre du courage. Je me dis « Allez sois forte ! ». Je respire un bon coup. Il s'installe derrière moi, en me disant « Oh la position est parfaite ! ». Je ne doute pas du tout à ce moment-là de sa bonne foi. Et il commence à m'appliquer Bob 2 doucement sur la rondelle. Je sens qu'il rentre bien de suite. Je commence à avoir l'habitude, il est moins gros que numéro 3. Je prends appuis sur l'assise, et je le laisse faire son travail, il reste prudent et prend son temps, me laissant le temps de m'habituer. Je respire doucement, essayant de vider ma tête. Il l'insère et finalement je reconnais qu'il rentre assez bien finalement peut être la position aide bien. Je me laisse faire, voulant céder sur ça aussi, je ne proteste pas pendant qu'il pousse dessus. Je le sens pousser doucement mes entrailles, les écarter. Je regarde fixement le canapé, me concentrant sur un point. Il m'encourage doucement de la voie quand il sent que je me contracte un peu trop. Et ça vient ! Il finit par entrer totalement en moi. Il lui fait faire quelques va et viens satisfait de son œuvre. Je suis encore en assez bon état, curieusement, je n'ai pas encore envie de dire soumission, tout en sachant que c'est loin d'être fini. Il le ressort et le dépose, prenant numéro 3 et le lubrifiant... Petit moment de raideur de ma part, quand je le vois. Il prend son temps comme à chaque fois, surveillant sûrement mes réactions. Et je vois le plug gonflable qui, lui aussi attend son tour patiemment.... Je veux y arriver ! Je me persuade que c'est possible. Il repasse derrière moi, me demandant pour la forme si je suis prête, et il me l'applique doucement sur la rondelle. Il le laisse rentrer en douceur, il ne veut pas me brusquer. Je sens que cela s'écarte en douceur, lentement. Je respire, fixant un point sur le mur, toutes les cordes sont tendues. Je n'ai pas trop de marge de manœuvre. Je me redétends un peu, respirant doucement. Pendant que numéro 3 fait doucement son chemin en moi, je grimace un peu selon son avancée. Je prends sur moi, voulant y arriver. À chaque fois nous sommes à peu d'y arriver. La position lui laisse tranquillement la place pour que ça rentre. Mes seins pendent lourdement, je me trouve vraiment dans une position ridicule. Et il rentre plus loin, toujours plus loin. Mais finalement je n'en peux plus, toujours cette impression de douleur, mélangée à ce côté désagréable, qui arrive toujours à ce point-là. Je dis « Soumission ». Je suis désolée, déçue de le dire. Je suis déconfite. Il arrête, en me disant « On y était presque pourtant ». Ça me rajoute un coup au moral.

Il ne me laisse pas m'enfoncer dans mon échec et me dit on va essayer, Bob 4. J'acquiesce, il est moins gros, dégonflé je pense que ça pourra passer. Il le prend, tout en se mettant devant moi pour le lubrifier. Je déglutis. Il me dit « Tu es pas mal les seins pendants comme ça... ». Je ris de ma position, plus que pas confortable, mais je me sens si bien d'un côté. Je suis à ma place, j'aime ce sentiment de ne pas pouvoir me détacher. Voilà, j'ai ce dont j'ai toujours fantasmé, et j'en suis heureuse. Il repasse derrière moi, et me le fait rentrer doucement. Il a à peu près la même taille que numéro 2, donc il passe assez facilement. Je suis rassurée, je respire doucement sans trop me crisper. Quand il est bien dedans, il le laisse un petit moment sans le bouger, sans rien faire... puis il met un premier coup d'air ! Il se gonfle ! Je sens déjà l'effet... Un deuxième coup de pompe. Oh non là je commence à me dire que je ne vais pas tenir. Je me tends, tout s'écarte en moi. Puis il rajoute un coup, je pousse un cri, je vais exploser ! Pas de douleur, mais de gène. Puis un dernier ! Là c'est intenable, j'hurle « Soumission !!!! ». Je cris, à la limite de l'hystérie, Il le dégonfle, je pleure tout ce que je peux, pas vraiment de douleur, mais de rage. Je suis allée au bout de ce que je pouvais.