Eva soumise et heureuse

Chapitre CXVIII - Rituel matinal

Je passe une nuit pas trop agitée. Les choses sont en ordre, je suis bien dans ma tête et je le ressens. L 'endormissement est assez court, malgré quelques douleurs dues aux coups de cravaches, qui ont bien marqués la soumise que je suis. Lui passe une nuit toujours aussi paisible, comme d'habitude. Il est serein, rien ne le perturbe. Il est bien loin de mes problèmes de soumise, il n'a mal nulle part lui.Le soleil se lève, je suis un peu courbaturée. Nous avons le temps, il va me ramener vers chez moi. Je le regarde dormir, cela me fait du bien, ce calme avant la tempête, je peux remettre mes idées en place. Enfin il se réveille en douceur, il s'étire et me demande comment j'ai dormi, comme s'il savait que j'étais réveillée. Et surtout, avec son air un peu taquin il entend mes « aie » pendant la nuit, même si je tente de rester discrète au maximum .... Je lui réponds que j'ai à peu près dormi correctement, il me dit « Alors au travail ! », en me prenant la tête et les cheveux, en me ramenant vers son sexe, toujours avec cette poigne qui ne me fait pas hésiter une seule seconde. Je le fais volontiers mais j'aime tellement qu'il me fasse voir qu'il est le DOM et que c'est lui qui décide de tout. Je me retrouve à ma place. Je le prends en bouche et commence à lui lécher le gland avec tendresse et passion. Je l'attrape d'une main et le caresse doucement. Je veux lui donner du plaisir en douceur, prendre mon temps. Il pose doucement sa main sur mon dos et me caresse doucement et, pendant ce temps-là, je lèche, tourne ma langue avec douceur. Je continue en le caressant toujours avec douceur. Alternant entre ses couilles et son sexe, je viens titiller son urètre essayant de rentrer mon bout de langue dedans pour le titiller encore un peu plus. Je m'amuse vraiment et ça lui fait du bien, il grossit dans mes doigts. Il respire pour le moment calmement, je reste à son écoute. De temps en temps quelques claques me tombent dessus sans prévenir mais je tiens bon, je résiste malgré mes fesses superbement endolories. Et je continue en commençant à faire des aller-retours avec ma bouche, les lèvres bien fermées, mais tout cela reste en douceur, je prends toujours mon temps. Il m'encourage doucement avec la voix et ses caresses alternent avec ses claques. C'est un très bon moment pour nous deux, je pense. Il met sa main derrière ma tête pour m'inciter à aller plus loin et je lui obéis. Je vais plus loin, ma gorge accepte bien. Il imprime un rythme plus rapide, je suis son mouvement pendant qu'il soulève son bassin en rythme, il grossit de plus en plus dans ma bouche. Il vient taper la gorge, j'encaisse bien. C'est toujours un peu le moment que je crains mais tout va bien. Je continue à suivre son mouvement sans broncher et il commence à râler, sa respiration s'accélère. Il va éjaculer, je le sens, je me tiens prête. Il finit par jouir dans ma bouche. Je prends son liquide avec plaisir, j'aime son goût. Je l'avale en le regardant dans les yeux. Je suis satisfaite. Pendant qu'il reprend son souffle, je lui nettoie le sexe avec ma bouche, je le lui lèche bien tout, et quand je finis je viens me recoucher à ses côtés, satisfaite de mon œuvre. Il arbore un grand sourire lui aussi. Je me colle un peu à lui, le contact humain me manque, je profite de ces moments-là pour en faire le plein. Il doit revenir dans 3 semaines, juste le temps de me remettre de sa venue et être de nouveau en pleine forme.Nous discutons un moment avant de nous lever et de nous préparer. Nous déjeunons tranquillement et il file se laver. Je mets un coup de rangement dans la pièce, vérifiant que tous les jouets sont rangés Quand il a fini, je prends sa place, je prends mon temps, nettoie la salle de bain. Il faut que nous rendions le gîte propre. Quand je sors, il est en train de passer le balai. Je prévoyais de le faire en sortant. Il me dit « Oh ben tu n'as pas tout à faire... ». Je prends la pelle et lui donne un coup de main à ramasser. C'est un petit moment complice comme nous les aimons. Nous bouclons le gite et nous repartons. Nous devons déposer les poubelles. Arrivés là-bas nous disons adieu à la chambrière et au bambou qui ont succombés pendant cette séance... Nous retrouverons bien d'autres choses pour jouer... et souffrir