Chapitre CXXIV - Bobo aux Lolos ?

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Je remonte vers lui, je me mets à ses côtés, fière de moi et du plaisir que je lui procure. Je me mets sur le côté pour le regarder, pour voir son visage. Il a l'air satisfait de sa soumise... Il me regarde, me sourit et me prends les seins en me disant « Il y a quelques marques, mais pas plus que ça. Tu ne marques pas, c'est quand même dommage... ». Je lui dis qu'ils peuvent encore supporter un peu pour cette fois-ci. Il s'en réjouit d'avance et me dit « On va voir ça après » avec son sourire limite pervers. Il s'amuse avec mes tétons, les soulève l'un après l'autre en me disant que les piques à brochettes seraient bien, plantées dedans. Je grogne, il en est hors de question. Je fais bien attention de ne pas dire « Même pas en rêve », nous savons tous les deux ce que ces trois mots ne veulent plus rien dire dans notre relation. Chaque fois que je les ai prononcés nous avons fini par faire les choses qui ont été dites, il me dit « Mais si ! Tu verras ! Bien solidement attachée et bâillonnée tu ne pourras rien dire ! ». Je lève les yeux au ciel en pensant qu'il ne pourra pas me le faire sans mon accord, sans être vraiment sûre de moi, mais non ça ce n'est pas possible ! il me fait marcher non ? Il en rit et me dit « Aller, on va déjeuner avant de jouer avec tes seins ». Je me lève et passe devant la fenêtre, le temps est tout couvert, je me dis que ce n'est pas possible, pour une fois que je vais à la mer, il fait moche. Il passe devant la fenêtre, lui aussi et le constate et me dit « J'espère que ça va se lever avant midi, sinon le repas ne va pas être drôle ». Je confirme, mais bon on fera avec. Nous descendons. Je lui ai pris des croissants comme il aime et à moi aussi ça me va très bien, nous déjeunons tranquillement. Nous avons le temps, je ne suis pas arrivée à trouver des capsules de café. Je nous sers un jus de fruit. Nous papotons un peu boulot, j'ai une grosse demande, et il faut que je la gère... C'est une première pour moi et je pense arriver à gérer plus facilement que je ne le pensais, sans paniquer, en prenant les choses par le bon bout. Il me confirme que je me débrouille plutôt bien. Nous parlons de comment je m'y prends, je lui explique. Il n'a rien à redire. C'est une discussion de boulot dans nos rencontres SM, pour nous tout est normal, nous sommes dans notre monde, ou tout peut changer, évoluer à une vitesse folle... Il me regarde et me demande si je suis prête et si je suis sûre de vouloir reprendre. Je lui dis que oui, il me dit « Alors va mettre ton collier !! » Il est ou mon collier ? Oh la question que je déteste me poser quand il est là, je paniquerais presque, regardant de partout. Il me dit « Tu cherches quelque chose Eva ? » « Euh oui... mon collier », dis-je doucement, « Je ne sais plus où je l'ai posé hier soir ». Je sens bien que je suis perturbée de ne pas savoir. Lui, il part dans les sacs pour trouver ce dont il a besoin. Je passe dans la salle de bain vérifier, mais non, à par Maurice qui trône sur le lavabo, pas de collier. Il me dit « Il est là, ton collier, dans le sac ». Je ressors, soulagée de le retrouver, il me le tend et je ne me fais pas prier pour le mettre. Mon doux collier, celui qui me fait tant sentir soumise, celui qui me rend fière, celui qui me fait savoir que je lui appartiens, mais aussi celui qui me permet de lâcher prise. Il se retourne vers moi en me disant « Tu n'as pas honte d'avoir égaré ton collier ? ». Je ne sais pas s'il plaisante, mais il m'a l'air bien sérieux, je baisse les yeux en lui disant que si. Il me dit « Te fais pas de soucis, tu vas le payer ». Les choses sont claires, il ne va pas mettre de gants pour s'occuper de moi. Il me dit « Allez ! Mets tes mains dans le dos ! ». Je n'hésite pas une seule seconde. Il vient vers moi, me regardant droit dans les yeux, avec cette intensité que lui seul sait mettre et me fait avoir des frissons dans tout le corps. Il me demande pour la forme si je vais bien, et si je suis sûre de moi. Je lui réponds que oui, tout va bien. Il passe sa main sous le premier sein, il me regarde avec intensité et son autre main s'abat sur mon sein, avec toute la force qu'il peut y mettre. Je me plie de douleur. La douleur est toujours surprenante, et elle reste, elle ne faiblit pas. Je me redresse, le regardant dans les yeux et il redonne une bonne claque. Je suis moins surprise et je reste plus en place. Il en applique une troisième, mon corps en tremble, je me retiens de dire soumission. Il change de sein sans douceur, les tenant par les tétons, les soulevant et les relâchant sans précaution, mais je reste forte. Il applique ses trois grandes claques sur mon deuxième sein, mes chairs s'écrasent entre les deux mains. Je suis au bout de ce que je peux supporter dans cette douleur-là. Heureusement il ne me donne pas sept claques comme le reste, je ne pourrais pas le supporter, mais je sens bien qu'il n'en a pas fini avec mes seins...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant