Chapitre CXX - Maurice se fait la planche !

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Nous rentrons au gîte. Je suis étonnement bien avec Maurice bien installé, je serais presque totalement à l'aise. Je vais bien finir par m'habituer à le porter, je le souhaite de plus en plus. Il va bien falloir que je m'habitue, je n'ai plus envie que quelque chose me résiste et encore plus en soumission. Arrivés au gîte, il me dit « Allez à poil ! ». Je m'exécute, je suis excitée, j'ai envie d'y retourner, de lui faire plaisir et de retrouver cette envie de soumission. J'enfile mon collier, pleine d'envies et lui se déshabille, me fixant. Il me décrypte, je le vois, je souris, je veux être sa soumise et en plus avec Maurice dans le cul. Il me dit « Allez penche-toi sur le canapé... ». Je file droit, je me penche, mais pas assez à son goût. Il me fait encore plus me pencher, je suis presque couchée dessus. La position n'est pas confortable. Il me dit « Allez, on va tester la fessée avec Maurice, on va voir ce que ça va donner... ». Je le sens passer derrière moi et sa main s'abat sur mes fesses. A sa totale disposition, j'écarte les jambes et je le laisse agir à sa guise. Il les applique fort déjà, mais je suis déterminée à tenir. Il ne met aucune douceur et chaque claque fait trembler Maurice. Son effet se fait sentir au plus profond de moi, de nouvelles sensations m'arrivent à toute vitesse, mais je reste concentrée sur l'objectif. Il rend la chose supportable, ne faisant pas tout le temps au même endroit, mais les claques résonnent bien dans la salle. Je couine un peu, je suis à ma place et il s'y donne de bon cœur. Mais d'un coup il s'arrête. Je ne comprends pas, mais je le vois repasser devant moi et il prend la planche à saucisson. Je frissonne, je ne suis pas sûre de vouloir savoir l'effet qu'elle va donner avec Maurice. Et s'il le cassait ? Mais lui est sûr de lui, rien ne le perturbe comme toujours. Heureusement qu'il a cette force en lui, il me tranquillise énormément par son altitude. Il joue un peu en prenant les deux bords et me dit « Je ne suis pas sûr qu'elle tienne longtemps. ». Je cache mon fou rire en pensant que si elle tient trois claques, ça sera déjà pas mal. Je lui dis « On tente, on verra bien... ». Il approuve en voyant mon enthousiasme, il se met sur le côté et aligne la planche à saucisson sur mes fesses tendues et il frappe. J'ai la sensation que Maurice rentre plus loin en moi, je grimace, je ne sais pas si ce n'est qu'une impression, mais lui ne s'inquiète pas. Il en remet un coup plus fort et je sens la planche se casser ! Le bruit aussi se fait entendre. Il éclate de rire et me dit « Bon ben ça, c'est fait ! Elle est pliée ! ». Je me retourne en le voyant finir de la détacher, nous avons deux demi-planches. Je ris aussi. On savait que ça allait se produire. Je profite qu'il enlève les échardes qui peuvent dépasser de la planche pour vérifier la bonne position de Maurice. Il s'applique à bien tout enlever, je le regarde faire. Il me dit que vraiment je casse tous les jouets et qu'il va la renforcer pour qu'elle tienne. Je me permets de dire tout doucement « Vu que là, tu en as une pour chaque main, du coup, ce n'est peut-être pas plus mal ». Je me demande si je ne dépasse pas les limites quand je dis ça. Il n'aime pas quand je parle trop pendant qu'on est en séance et c'est mon défaut. Je me remets en position en silence, ne préférant pas me faire reprendre pour cette chose-là. Il se remet en place et applique une nouvelle fois plusieurs claques avec la moitié de la planche. La douleur reste la même, toujours aussi cuisante. Il m'en donne sept. Mes fesses sont en feu, je n'en peux plus et je lui dis « Soumission ! ». Entre Maurice et les claques, cela commence à faire beaucoup. La marche dans le sable aussi a fait son œuvre. Il déclare une pause après trois bonnes claques avec la main. Je m'installe sur le canapé. Il me passe devant, s'arrête, se tourne face à moi, je le regarde il m'attrape par la tête son sexe est en face de moi, pile à la bonne hauteur. Il tire ma tête à lui. Je suis un peu surprise, mais je suis le mouvement, passé le petit temps de surprise. Ses mains sont pressées sur mon crâne et ne me laisse pas le choix. J'ouvre la bouche et le prends, je vais avec lui dans son mouvement, je l'accompagne, c'est lui qui imprime le rythme. Je passe mes mains derrière ses jambes pour m'aider à le suivre dans ses mouvements. Il alterne la vitesse, la profondeur, je me sens totalement soumise. Il est le DOM et moi la soumise. Je suis encore plus à lui à ce moment-là. Mon but est de lui donner le plus de plaisir possible, je serre mes lèvres autour de son sexe et je suis encore plus son mouvement. Il imprime et j'accompagne, je le sens gonfler dans ma bouche. Je lève les yeux vers lui je vois tout le plaisir qu'il prend dans cet acte, et je vais le plus loin qu'il m'impose. La vitesse est soutenue. Il grogne toujours en me tenant fort la tête, il fait trois allez retour et il jouit dans ma bouche, dans un grognement de plaisir intense. J'avale sa semence et il me demande de le nettoyer. Je le fais volontiers je le lèche. Je suis totalement soumise et je me sens tellement bien.

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant