Chapitre LVIII - Nouvelle sensation sur l'échelle

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Il prend le martinet, et là je sais que je vais déguster, mes bras sont tendus au dessus de ma tête, je suis collée à l'échelle, et je finis par regarder face à moi, le mur est bien blanc. Je le sens s'approcher discrètement, il joue avec le martinet. .Je sens l'air sur ma peau sans un coup, sans une touchette , il me fait ça à tous les niveaux du corps. Je frissonne, me contracte, me tends, me demandant quand il va m'atteindre, mais je reste sagement face au mur, je ne tourne pas la tête, tressautant par avance. Puis le voilà, avec toute sa puissance, le premier coup tombe entre les épaules, me poussant contre l'échelle. Il insiste plusieurs fois dessus, il sait bien que cela me tort. Oui aussi de douleur, mais aussi de dépassement de moi. Pourtant la douleur me transperce, mais je suis bien à ma place, je me tends à chaque claque qui m'atteint, il martèle mon dos sans concession, il me pousse dans mes retranchements. Dès le départ, ses coups sont précis et là pour me faire des électro chocs, je ne suis plus rien je suis à sa totale merci. Je tire sur mes liens, je gémis un peu, je teste aussi discrètement la solidité des nœuds Mais ça résiste bien ! Rien ne cède. Et lui continue sans repos, il descend plus bas, les fesses déjà bien rougies par la fessée, sont les suivantes. De suite je suis bien plus enflammée, mais je tiens et je sens toujours ce plaisir, toujours cette sensation d'aller toujours plus loin dans la douleur, dans le plaisir de m'offrir comme ça, de le satisfaire. Je sens bien que ma mouille est présente, je prends vraiment du plaisir pendant que les coups descendent sur mes jambes. Là aussi, elles sont très sensibles. Je gigote un peu plus. Il me rappelle à l'ordre. Je reprends ma position immédiatement. Et il continue, alternant les fesses, le dos, les jambes. Il s'arrête, je respire un peu pendant que je le sens et l'entend bouger derrière moi. J'ai déjà le corps en feu, mais je ne veux pas lâcher, pas maintenant, pas encore. Il le sait, il abat la grosse cravache, la douleur change, plus localisée. Je me tends, je serre les poings, il s 'acharne sur mes fesses. Il la fait claquer fort, sur le dos, les épaules, tout y passe. A force j'ai refermé mes jambes, et pour que je les rouvre, il vise entre les cuisse. Son rythme est implacable, je suis transpirante, tendue au maximum, et là il applique le bout de la cravache sur mon clito. Il donne de bons petits coups. Je couine, je cris, je prends du plaisir. Le clito s'enflamme, je sens le plaisir monter, et la douleur aussi, ce doux mélange si bon. Il applique ses coups avec précision, et juste assez de force pour que je ne sache pas si c'est plaisir ou douleur... Au bout de 7 claques, il le laisse tranquille. Il est douloureux, excité, je ne sais jamais où j'en suis avec cet exercice, ne sachant jamais, ce qui l'emporte. Il abandonne la grosse cravache. Je commence vraiment à déguster. Il fait chaud, mes bras me tirent. Il prend le petit martinet, et s'applique à me le donner sur les fesses, elles qui sont si peu douloureuses d'habitude, deviennent très vite insupportables. Je finis par lâcher « Soumission ». Je n'en peuxplus. Il me remet quelques claques pour qu'il ait le dernier mot. Il me laisse me reprendre un peu. Je sens son regard sur moi. Il me demande si je vais bien. Je réponds un petit « Oui ». Je reste collée à l'échelle, les jambes flageolantes. Il me laisse un petit moment de répit où bien sûr mon cerveau réfléchit à la suite. Je sais qu'il a déjà la suite en tête. Voyant que je me suis un peu redressée, il vient derrière moi et attrape mes seins fermentent. Il les malaxe fort, plantant ses doigts dedans, ce qui fera sans aucun doute de beaux bleus. Les doigts s'enfoncent et rentrent dans mes chairs. Je couine un peu, pendant que je sens tout s'écraser. Je suis plaquée à l'échelle, ne pouvant pas me dérober. Et il continueson travail en rentrant plus fort encore, je grogne de douleur. Puis il attrape les tétons, il les tortille entre ses doigts, et me dit « C'est plus douloureux quand c'est moi qui le fais ». Allusion à nos séances vidéo où il me demande de torturer mes seins moi-même. Je répondspar l'affirmative, coincée entre l'échelle et lui. Il les étire vers l'avant, je me plaque encore plus contre l'échelle, mais rien ne l'arrête, mais moi si ! Je geins, je couine. Il me murmure « Mes seins, mes nichons ». Je lui réponds « Oui, tes seins, ils t'appartiennent » Et làd'un coup, il les soulève très haut, il me maintient en place pour ne pas que je triche. Je pousse un cri strident quand il les tord en même temps... Il est impitoyable, mais je tiens bon et, d'un coup, il les descends très bas. Je suis bloquée par le barreau de l'échelle, je grogne tellement, la douleur est intense quand il les tourne. Transpirante je tire sur mes liens, pendant qu'il les remonte une nouvelle fois. Je finis par lâcher « Soumission ». Il les laisse retomber brutalement et sans ménagement. Je suis un peu a cour de respiration. On a tout enchaîner, et je sens la fatigue. Il me détache, mes poignets me font mal... Je les masse doucement. Il me demande si ça va. Je lui dis « Oui bien sûr ». Je m'assois un peu pour reprendre mes esprits. On parle un peu, puis je sens les forces me revenir. Il le voit à mon regard, et me dit« On continue ? » Je réponds un « Oui » franc et volontaire. Il me dit j'ai envie de faire pipi... Je comprends de suite. Je retire mes attaches au poignets et enlève mon collier. Je sais ce qui m'attend quand je le suis dans la salle de bain. Je vais dans mes limites chaque fois. Je n'aime pas cet exercice, mais je sais aussi que la soumission n'est pas que plaisir. Lui est tranquille comme toujours. Il me dit « Allez, en place ». Je vais dans la douche le regard bas, je traîne un peu des pieds. Je tente un regard de soumise battue. Cela ne marche pas, son regard est froid, pas besoin de paroles pour savoir que ce n'est pas négociable... Je m'accroupisface à lui, il me regarde de toute sa hauteur, sans pitié. J'ouvre la bouche, et il commence à me pisser dessus, visant la bouche. Je reçois son jet. Un gros hoquet de dégoût me prend, je la ferme par réflexe. Sa voix tonne « Allez ! Ouvre !. Je prends mon courage et la ré-ouvre. Il reprend, je coupe ma respiration, il est inflexible, je baisse les yeux , je suis humiliée, tous mes muscles se contractent, et j'encaisse faisant en sorte que l'urine ne reste pas dans la bouche... Il me demande de la fermer, pleine, mais je ne peux pas. C'est trop pour moi, je relâche mon souffle puis je respire et je finis par cracher . Tout atterri sur ses jambes, je n'ose pas dire que je ne peux pas, courageuse je retourne la bouche ouverte face à lui. Mais combien de litres a-t-il dans sa vessie ? Çame paraît interminable, mais je finis par ne plus pouvoir, je recrache une nouvelle fois prise d'un grand soubresaut. Il n'insiste pas pour que je ré-ouvre la bouche, il se contente de finir de me pisser dessus... Il finit content de lui. Moi je me redresse doucement, mes muscles me tirent , la douleur est là dans la tête et dans le corps. Je prends le savon et me savonne fort, passant de l'eau plusieurs fois dans ma bouche. Il me regarde faire en silence. Je finis par lui dire « Tu sais, je t'ai craché dessus. Et aussi désoléede pas être arrivéeà fermer la bouche... », il me dit avec un grand sourire « Ne te fais pas de soucis, tu acceptes déjà, le reste viendra... Et pour le crachat j'ai vu et j'ai senti ! ». L'humeur se détend un peu, je le regarde plus franchement. Je finis de me sécher pendant qu'il prend ma place dans la douche et moi je file me laver les dents, tellement bien que je m'en fais saigner, je crois bien que cet exercice n'est pas encore gagné...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant