Chapitre XCI Une fessée mémorable

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Je ne sais pas bien ce qui m'attend. Je sais et sens qu'elle ne va pas être comme d'habitude, mais il ne m'en a pas plus dit. Mon cerveau s'emballe pendant que je me couche sur la table, je me sens vulnérable. Mais comment arrive-t-il à me remuer comme ça ? Juste avec un changement de position, avec une nouvelle fessée inédite. Malgré tout ça je sens cette envie qui me rend dingue à chacune de ses venues. Je m'installe la tête relevée. Il me dit « Non ! Non ! Seins écrasés sur la table et jambes écartées... » Je me disais bien que c'était trop simple. Je pose ma tête sur la table et écarte docilement les jambes. Il se fait attendre, il ménage le suspense. Je l'entends qui farfouille dans les affaires. Je ne me retourne pas pour voir ce qu'il fait, je joue le jeu à fond ! J'ai envie de découvrir moi aussi au fur et à mesure les sensations. Je suis brûlante d'envie, d'impatience. Je le sens qui s'approche, il prend son temps. Je bouillonne, j'ai envie de hurler « Vas-y ! » Mais non je me retiens, cela ferait désordre. Puis j'entends un bourdonnement bien connu, celui de Bob, ou d'Albert, je ne sais pas. Il atterrit directement sur mon clito ! Oh mon Dieu ! La surprise de la chose m'électrise, tout mon corps en vibre de plaisir. Je suis un peu sous le choc., mais comme toute bonne soumise, je m'adapte à cette nouvelle épreuve qui est bien loin de me déplaire. Je couine de plaisir, mes jambes s'écartent plus par réflexe pour lui laisser de la place. Toute la place dont il a besoin ! La table bouge un peu sous moi, je la cale discrètement contre le mur, et je prends du plaisir avec mon nouveau Bob. Je m'accroche au rebord de la table pendant que Dominique écrase mon clito, le bouscule, le tripatouille sans cesse. Il s'en donne à cœur joie et moi je m'envole dans le plaisir, toute la pression de la journée retombe. Je sens mes muscles se détendre et enfin, j'arrive à être bien. Il sait me donner du plaisir et je le prends ! J'en glisse sur la table, gémissante à son bon vouloir. Je me laisse emporter par un orgasme terrible qui me fait flageoler sur mes jambes. Je m'accroche, je serre les mains pour ne pas glisser. C'est dur de prendre du plaisir debout, mais que c'est bon ! Il ne me laisse pas de répit et va travailler mon vagin. Je prends moins de plaisir mais je reprends un peu mon souffle. Quelques claques tombent, elles sont puissantes. Mais avec Bob qui s'agite je les ressens d'une autre façon. Elles sont encore meilleures que d'habitude ! Je tends mes fesses vers lui et il me dit tout bas « Une vraie Salope !!! ». Je ne peux que confirmer, je suis trempée ! Je bave sur la table ! Je prends tellement de plaisir et quand il retourne sur mon clito, le soulève comme s'il voulait l'arracher, j'ai envie de crier de plaisir mais je me retiens. Je couine de plus en plus fort pendant que je me sens dégouliner. Je me mets sur la pointe des pieds, je me tends, je glisse un peu sur la bave, je me sens un peu humilié à baver comme ça, surtout honteuse. Mais il ne me laisse pas le temps de réfléchir à ma condition en écrasant mon clito avec force. Je couine très fort et je suis emportée par un nouvel orgasme. Je me retiens une nouvelle fois à la table qui rebouge sous moi. Je n'ai plus peur de la casser, je suis trop loin dans le plaisir pour réfléchir. Je ferme les yeux de bonheur pendant que de petits spasmes me parcourent. Que c'est bon de se sentir comme ça, malmenée par le plaisir sous des mains expertes dans la torture physique Il décide à ce moment-là de me dire « Je sais pourquoi tous les bobs meurent prématurément !!! ». Je suis loin très loin et lui dis un petit « Ah bon ? » « Ben oui on les malmène pas mal, cela ne doit pas être utilisé comme cela normalement ». J'ai envies de rire mais je me retiens. J'ai un grand sourire quand même et il n'a pas tort ! Bob est quand même sacrément malmené tant par lui que par moi. Le repos est de courte durée. Je me demande si nous allons continuer dans le plaisir ? Mais non quand même ! Une fessée sans véritable fessée ne serait pas digne de nous ! Sa main s'abat avec force sur mes fesses tendues. Il se lance dans une vraie fessée. Je suis toujours bien allongée sur la table et ça résonne dans la pièce. Il y va de bon cœur ! J'ai l'impression que c'est bien plus douloureux comme ça, mais j'accepte, cela fait partie du jeu : récompense et fessée ! Il n'y va pas de main morte ! Nous avons repris le rythme, mes fesses s'enflamment, je me raidis sur certaines claques. Il y va même des deux mains à la fois, la douleur et la sensation est doublement plus intense. Je m'accroche à la table. Je tiens le choc sur cette séance, je veux allez au bout de ce que je peux tenir et je ne lâcherai pas facilement, c'est une promesse que je me suis faite, et il en profite. Il met un sacré rythme ! Je sens mes fesses s'enflammer de plus en plus. Puis, de temps en temps, il vient donner des claques sur mon clito ce qui l'enflamme direct. Si j'ai le malheur de me redresser, il me dit « à plat ventre ! ». Il est exigeant, il est tout ce que j'aime dans la domination et la soumission, il exige toujours plus. C'est ce qui me fait dépasser et je pense que je suis accro à ça, à cette adrénaline, à ce dépassement de soi, à aller toujours plus loin, plus fort dans la souffrance et les exercices qu'il me propose. Il alterne en descendant sur mes jambes pour ne pas totalement me ruiner les fesses. Mais les claques sont parfois pires plus bas, surtout là où la peau est la plus fine, l'intérieur des cuisses et les genoux. Que c'est douloureux ! Là, je m'accroche fort car en plus ça me fait céder. Pas simple, cette fessée debout, les genoux sont plus confortables mais j'accepte, je ne dis rien, elle fait partie de la séance récompense. Il fait une petite pause en me disant « Tu ne croyais quand même pas que ça allait être que du plaisir ? ». Non et j'en aurai été déçue. J'en suis sûre, je l'aime ma fessée de départ. Et il repart vers le sac et toutes les affaires. Je ne regarde pas et je sens le vent reconnaissable du martinet qui s'approche de moi. Il est taquin il le fait tourner sans me toucher, juste si je sens les lanières se rapprocher, s'éloigner, au rythme de son poigne. Cela rafraichit un peu les endroits brulants et j'en profite. Mais il ne me laisse pas le temps, il me fouette du bout des lanières en faisant toujours tournoyer le martinet, les lanières s'incrustent plus ou moins sur ma peau, me faisant gigoter un peu. Il me dit « Bouge pas !!! ». Je me repositionne correctement reposant ma tête sur la table sur ma bave qui n'a pas séchée. Je trouve ça humiliant et sale mais je ne dis rien, cela fait partie de la séance. Il est terrible dans le rythme et là aussi il alterne avec des coups groupés qui sont terribles, surtout sur le dos. Chaque fois j'ai l'impression de prendre un poids de plusieurs kilos sur le dos, il ne fait pas dans la dentelle. Cette fessée est d'une intensité rare et surtout ce changement me perturbe un peu mais, au fond de moi, je sais que j'adore ça et que j'en redemande chaque fois encore plus. Je m'accroche, je suis perdue loin dans mon envie d'aller toujours plus loin, je serre les dents pour résister, toujours plus, allez plus loin dans la douleur. Et il le sent sûrement ! Le martinet s'abat, joue avec mes nerfs, avec ma peau. Il est terrible, perçant, transperçant, mais je ne suis pas encore au bout de ce que je peux supporter. Il dit avec son ton calme qui me glace toujours un peu le sang « Oh ! Il faut essayer la nouvelle cravache quand même ! Ce serait dommage de ne pas le faire ! », avec sa petite voix qui veut en dire long sur ce qu'il prévoit. Il revient avec, il l'a bien main. Il se met sur le côté, je peux le voir. Il a son petit sourire sadique qui me fait comprendre que ça l'amuse beaucoup d'avoir un nouveau jouet. Et il l'abat sur mes fesses ! Elle est bien plus douloureuse que l'ancienne, elle marque, elle s'incruste, elle ne plie pas sous les coups, le manche est très rigide en plus. Je l'ai peut-être trop bien choisie finalement. Je sens qu'avec elle je ne vais pas être à la fête. Les coups pleuvent, tous plus douloureux les uns que les autres. Je commence à me dire que là, il va me mettre dans un état pas possible ! Le mental ne lâche pas facilement, mais je sens bien que je tente de plus en plus d'esquiver la cravache. Elle devient un calvaire et avant que je dise soumission, il s'arrête en me disant de ne pas bouger. Je le vois partir chercher numéro 2 et 3 et le lubrifiant, cette fessée est vraiment loin d'être habituelle...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant