Chapitre XVIII - Douleur ? Bonheur ? Je ne sais plus

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Allez hop ! On reprend, remise du collier, il sort le cintre à pantalon avec les deux pinces. Aie, ça va piquer je le sens. Courageuse je mets mes mains derrière le dos, jambes écartées. Il me regarde de son regard un poil sadique, il reprend son rôle de dominant moi celui de soumise, je baisse les yeux. Il attrape mon téton droit, le fait tourner, l'étire, me fait un peu me baisser, je suis le mouvement. Il fait de même avec le gauche. Je gémis, me tortille un peu. Ils deviennent sensibles et durcissent à son toucher. Ils pointent et durcissent aussi. Et en plus je sens que je mouille, un peu de honte me traverse l'esprit quand je m'en rends compte. Il prend une première pince du cintre et me l'applique sur le téton droit, il me pince bien le téton avec. Ouille ! Ca pique ! Je me plis un peu, mais la douleur passe vite. Il me met la seconde, je grimace, ça pique, puis la douleur passe. Il attrape l'anneau de mon collier, et la boucle du cintre et me l'accroche. J'essaye de baisser un peu le cou mais ça tire toujours, il me fait me redresser rien qu'en prenant le martinet dans ses mains, qu'il fait tournoyer devant moi. Je le regarde dans les yeux. Puis il tape en tournoyant ! C'est plus cinglant que quand il tape avec le martinet de tout son poids ! Là ça pique en plein d'endroit comme des dizaines d'aiguilles qui s'abattent, à plein d'endroits différents ! Ca atteint les seins, le ventre, partout ! Je trouve ça douloureux, je gigote plus, mais je reste face à lui, je ne me défile pas. Je serre les dents je m'accroche ! Il vise sous les seins aussi, là où la peau est bien tendre, où c'est plus douloureux. Je recule un peu, mais ne me dérobe pas, je garde mon regard fixé à ses yeux. Je ne cède pas, je ne veux pas lâcher. Je continue mon reculer à petits pas, cela reste supportable. C'est juste un réflexe, une protection, je pense, encore sûrement un petit manque de confiance en lui, en moi. Je sais qu'il est précis, mais y a la tête, c'est une de mes peurs, sûrement la plus profonde, ça a toujours été clair, jamais de coup sur la tête, mais une petite peur reste ancrée. Pourtant je sais qu'il ne le fera pas. Pour nous les coups sur la tête ce sont les femmes battues, il fait attention que les marques de martinets ou autres soient cachées, par les vêtements.

Je me cale contre le mur, je redresse la tête, je ne cille pas, j'accepte. J'aime ça, j'aime voir son regard, je sens qu'il est fier de moi, de ce que je peux prendre, encaisser, sans rien dire. Je suis fière de moi aussi, je prends du plaisir, je le sens ce plaisir couler doucement en moi. Il finit par arrêter, mon corps zebré de fines zébrures bien rouges et bien marquées. Je le regarde, il me dit « C'est bien ! Tu es d'une grande résistance, c'est surprenant même. ! ». Il me défait la boucle du collier, puis les pinces, le sang revient dans les tétons, d'un coup, cela me fait crier ! La douleur est intense, je me plie en deux, je mets ma main dessus, pour les masser. Il me dit « Non, tu touches pas ! » Je serre les dents, je trouve ça dur, la douleur a du mal à passer, mais je ne touche pas. Puis elle disparaît d'un coup, c'est surprenant la vitesse où tout se remet en ordre, le corps est bien fait. Il me lance un « Couches toi sur le dos ! » sur un ton qui ne me laisse pas le choix. Je me jette sur le lit, un peu crevée de cette séance de martinet, il faut bien le reconnaitre. Il me fait remonter les genoux, écarter mes cuisses, son regard est indéchiffrable. Je me demande ce qu'il va me faire. Mon esprit et mon corps disent tous les deux « oh oui encore, de nouvelles choses ». Peu importe ce que c'est, mais j'ai soif de découvrir. Il fouille dans les jouets, je le regarde avec intensité. Que me prépare-t-il ? Il se retourne avec Bob entre les mains ! Ah tout mon corps se tends déjà pour le futur plaisir que je vais prendre. Je me trémousse, une grosse boule de chaleur envahis mon corps, mon ventre se crispe. J'ouvre mes cuisses en grand, prête à accueillir Bob. Je sens que je suis déjà bien humide, je regarde le plafond, j'entends la douce vibration de Bob que l'on met en route. Ce bruit là je le reconnais, pas besoin de le voir pour savoir ce qui m'attends Il le fait tourner autour de mon sexe me fait languir, m'effleure, me fait doucement vibrer puis repart. Arggg il me fait patienter, je bouge mon bassin vers Bob, je le veux, je suis prête à me mettre à genoux et à supplier s'il le faut. Puis sa main replonge sur mon sexe, Bob en avant, il entre en contact avec mon clito. Je pousse un long gémissement de bonheur, en me tendant de plaisir. Mon corps est parcouru d'un violent tremblement incontrôlé, mon cerveau ne voit plus rien, ne sent plus rien, sauf Bob.

Il joue avec mon clito le remonte, l'agace, je pousse des rugissements de plaisir, accrochée aux draps au lit, je me tords, je le regarde faire, il est un expert, il a l'œil, sûr de lui, et il peu !!! Il sait faire monter le plaisir, appuie là où il le faut au bon moment... Et moi je m'envole à chaque fois dans plus de plaisir, de lâcher-prise. Mon corps se tend à chaque fois qu'il s'attarde sur mon clito, j'hurle ! Je m'entends enfin, je me laisse allez au plaisir, je ne retiens rien, je prends tout, je profite de ce moment à fond. Je m'oublie totalement, pendant qu'il rentre bob dans mon vagin qu'il me fait vibrer sans retenue. J'ai l'impression de m'envoler vers d autre cieux tellement c'est bon ! Un premier orgasme arrive, j'explose et tout mon corps se tends, je ne sens plus rien sauf le plaisir, une vague de chaleur m'envahi, mon vagin se contracte, je pars dans un moment d'extase, total, je suis haletante Wahouuuuuuu que ça fait du bien... Il ne me laisse pas reprendre mon souffle le bougre, il remet ça, me fait vibrer tout le corps, et surtout les parties les plus sensibles. Il est appliqué, moi je suis déconnectée, je ne pense plus, je ne suis plus que sensation de plaisir et de bonheur. Je sens bien que je cris, que je gémis fort, mais je ne contrôle pas, je ne peux pas, c'est trop fort ! C'est trop bon ! J'explose une nouvelle fois, hurlante de plaisir, je referme mes jambes tellement c'est bon, je serre fort... J'entends « Ouvre » très lointain, mais je ne peux pas, je ne contrôle pas. Je sens sa poigne qui les re ouvre, j'entrouvre un peu les paupières, il me force à ouvrir, en disant « Ouvre » d'un ton qui ne mérite aucune réflexion. J'ouvre les cuisses en grand, vaincue. Il a libre accès, mais il me maintient les jambes en même temps, j'ai tendance à les refermer, quand le plaisir monte trop. Heureusement qu'il a de la poigne, car je sens que je referme très fort, et surtout impossible à contrôler pour ma part, le plaisir est tellement fort que, j'en deviens folle. Ses mouvements incessants entre mon clito et mon vagin son terribles, je sens ma mouille se déverser, sans aucune retenue, il me fait jouir comme jamais, je ne suis plus moi, je ne suis plus qu'une salope soumise aux mains de son dom...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant