Chapitre L - Des pics dans les seins, un pieu dans la bouche

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Il insiste sur le fait que je ne dois pas m'enterrer et me replier sur moi-même pendant son absence. Je réponds « Bien sûr » sans vraiment de conviction. Il me rappelle aussi que je dois me trouver des objectifs, et de commencer à les réaliser, de ne pas attendre la derniére semaine, comment peut-il si bien me connaître ? Je fais tout et tout le temps au dernier moment et il le sait... Il connaît toutes mes failles. Bon d'un côté je ne lui cache pas grand-chose non plus.

Nous passons quand même un bon moment où les rires font place à la discussion sérieuse. Elle est comme ça notre relation, un peu délirante et surtout remplie d'amitié et de complicité. Puis je débarrasse la table. Je le vois repartir dans la chambre, je ne fais pas attention à ce qu'il fait. Quand je me tourne, il est en train de mettre des punaises sur la table. Je comprends, ne disant rien, je mets mon collier je repasse en en mode Soumise. Que me prépare-t-il ? Lui, il paraît tranquille comme toujours et moi j'ai le ventre qui se tortille, mais je suis prête à relever un nouveau défi, toujours plus loin. Il me dit de m'asseoir sur la chaise, puis me regarde avec intensité. Il y a 6 punaises fois deux espacées d'environ l'espacement de mes seins... Je commence à comprendre. Il me demande de poser mes seins dessus toute seule et de me les enfoncer. Je suis un peu surprise, mais je le fait. Je prends mon sein gauche et le pause sur les punaises, bien sûr je le fais légèrement, je les sens quand même déjà bien pénétrer, puis je fais de même avec l'autre sein. Je les pose bien dessus et le regarde fière de moi. J'ai obéis malgré la douleur à venir. Rien que le poids de mes nichons sur les punaises les enfonce déjà bien. Mais lui ça ne le satisfait pas, je supporte trop bien la chose. Il m'en faut plus pour sentir la douleur... Il se lève, ne me quittant pas des yeux, puis passe derrière moi et viens appliquer ses mains sur mes seins, et appuis fort dessus. Là je sens bien la chose, il y met la bonne force, je geins, je grimace, et me tiens à la table. I y va fort, ses mains puissantes me serrent les seins, les appuis fort. Il me dit « Ca aurait était trop simple ! juste posé quand même ! » Il me les malaxe aussi, il n'y va pas doucement. Je gémis, je m'accroche, les punaises rentrent encore plus dans mes chaires. Puis il s'arrête quand je vais dire soumission. Je suis soulagée. Il prend un téton et le soulève pour retirer les punaises. Il pince fort et le remonte haut, bien plus haut que nécessaire. Je me plaque au dossier de la chaise. Ils sont super sensibles, il les tords fort en les remontant l'un après l'autre pendant qu'il retire les punaises, en prenant tout son temps... Il les enlève une à une prenant un malin plaisir à entendre mes couinements bien sûr, mais je m'accroche, toujours prête à tout subir. Quand il finit, il laisse retomber mes seins lourdement sur la table, ils s'écrasent. Il se ré-installe devant moi, me regardant dans les yeux et me dit « C'est bien, tu es obéissante. S'infliger seule les punaises, ce n'est pas simple ! ». Je souris, j'ai une nouvelle réussite, je ne m'en suis pas vraiment rendu compte sur le coup, mais je reconnais que j'ai un peu hésité. Et la fierté que j'ai ressentie quand je les ai posés, et sa fierté à lui aussi de me voir allez toujours plus loin ! Il me dit « Allez au lit ! C'est bon pour la journée ! » Je suis épuisée, et suis bien d'accord avec lui. Nous nous couchons et discutons un petit moment. Je grimace, ayant du mal à trouver une position confortable. Il semble s'amuser de mes petits couinements. Il me regarde les seins, les touches, les presses, il y a de jolies zébrures, toujours bien rouge. Il appuie toujours au bon endroit, en disant « Tu vas avoir un bel hématome là ». Tout en papotant je sens qu'il s'endort. Je me tais et moi je pars dans mes questionnements interminables. Je veux changer de vie, ça j'en suis sure, mais je sais que mon moral est souvent changeant. Je cogite de nombreuse heures je pense, mais plus j'avance dans la nuit plus cela devient une certitude aussi. La nuit est agitée, je tourne, je vire, j'ai trop chaud. Je finis par le réveillé, à force de geindre et de réfléchir. Il me rappelle la façon de faire pour m'endormir. Je me concentre sur la détente de mes muscles, vidant ma tête et finis par m'endormir d'un bon sommeil, au moins 3h !!!! Je fais attention à pas trop faire de bruit en me réveillant, et je repars dans mes réflexions sur le sens de la vie, de voir les choses. Je dois arriver à me rendormir car c'est le réveil qui me réveille. Sa main s'agite de suite sous les draps. Je sais ce qui m'attend. Je me met dans de bonnes conditions. Je ne me mets pas la trop pression , juste ce qu'il faut pour y arriver. Il pousse les couvertures et m'attrape par les cheveux, me tirant à lui, son geste ne prête à aucune hésitation de ma part. Fermeté et assurance de sa part... Je le prend doucement entre mes lèvres et commence à le sucer doucement, prudemment, laissant ma bouche s'habituer. Il me laisse prendre mes aises, ne me pressant pas. Je prends mon rythme de croisière, je me sens à l'aise. Je fais de doux va et vient. En même temps pour m'encourager, il me donne quelques fessées bien senties pour m'encourager à aller plus loin. Je couine, mais ne me déconcentre pas. Je suis fixé sur mon objectif, lui donner du plaisir. Je continue, prenant un peu plus confiance en moi, je serre bien mes lèvres pendant que je le sens grossir. Je suis contente, tout se passe bien. Il vient un peu me doigter pour que je prenne moi aussi un peu de plaisir. Je le caresse aussi, doucement. Il monte en pression, je le sens grogner. Il m'incite à jouer avec son gland, je passe ma langue dessus, elle tournoie. Il en grogne de plaisir. Je sens son jus monter. Je le suçote en le branlant. Puis sa main prend la place de la mienne. Il y va plus for. Je continue à le sucer, à jouer avec ma langue pendant ce temps-là. Son autre main me donne encore quelques fessées puis il explose dans ma bouche ! Je suis ravie ! Je viens me recoucher à ses côtés. Je ne cache pas mon sourire. Il me regarde, satisfait, pas besoin de mots. J suis heureuse d'y être arrivée sans haut le cœur.

Puis il se lève, il va partir, il se prépare. Je suis dans mes pensées. Nous prenons un petit déjeuner, je sais que les prochaines semaines vont être longues sans aucun contact avec lui.

Il s'en va, à sa manière, vite avec un baiser intense. Pas de grand aurevoir. Finalement c'est peut être mieux ainsi.

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant