Chapitre LXXI - Un nouveau jeux « cuisant »

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Je le suis avec entrain quand il se dirige vers la chambre. Voilà comment rendre une soumise heureuse et prête à tout pour son DOM. Savoir aussi ranger la domination d'un côté, et prendre le temps de faire le point, et savoir tendre son épaule au bon moment. Je ne pars jamais dans le même état d'esprit d'une séance à l'autre, il doit s'adapter, et il le fait. Nous allons dans la chambre où tous les jouets sont alignés, rangés, à disposition, pour son plus grand bonheur et pour le mien. Il prend la chambrière en main, la regarde et me dit « Ça risque d'être intéressant, mais elle attendra demain matin, il faut que l'on aille dehors pour ça ». J'acquiesce, et le laisse choisir son prochain jeu. Son regard est plein d'envie et le mien aussi. Nous sommes dans notre domaine. Il me donne quelques claques sur les seins en passant. Je suis bien à ma place, mains dans le dos et jambes écartées. Il donne de bonnes claques qui résonnent dans toute la pièce, je ne bouge pas le regardant dans les yeux. Je ne le quitte pas et lui fait pareil. Il applique de bonnes claques, et il prend la spatule. Je ne connais pas encore la douleur qu'elle va me provoquer mais j'ai un peu d'appréhension, comme à chaque nouvelle découverte mais j'en aussi très envie. Ce doux mélange entre envie, douleur et plaisir.Il la prend bien en main, me regarde avec cette intensité qui me fait devenir plus forte, qui me donne l'envie d'aller toujours plus loin dans la douleur, dans le plaisir. La première claque tombe. C'est cuisant ! La douleur est terrible ! J'en sursaute, ne m'attendant quand même pas à ça. Je ne dis rien et serre les dents. Il s'applique il a dû voir que la douleur est bien là. Il n'aura pas de pitié mais il va s'adapter à ce nouveau jouet, qui lui, ne risque pas de casser. Les larmes me montent très vite aux yeux et chaque claque marque. Je vois les traces, elles sont brulantes. Je me décompose à chaque nouvelle claque. La douleur est intense... Il change d'endroits, il a baissé niveau intensité. Je respire fort, je lutte pour ne pas hurler soumission, mais je tiens, je ne veux pas lâcher, comme toujours, je repousse mes limites. Toujours plus haut, plus loin, plus fort, ma nouvelle devise. Il vise aussi les tétons. Il retient un peu plus les coups et heureusement, il pourrait me les trancher. Il la fait taper bien de façon que ce ne soit que douleur ! Et cela ne loupe pas ! Je sautille, je me dérobe ! Sa voix sonne « Ne bouge pas ! En place !!! ». Je serre les dents, je m'accroche, je le regarde dans les yeux. Je sautille de temps en temps. Il me dit « Tu deviens de plus en plus douillette ». Cela m'aide à m'accrocher. Il me redonne des coups ailleurs, il soulève mon sein par le téton et y applique de bonnes claques dessous aussi, la peau y est plus tendre. La souffrance me fait couiner, je tiens le temps du premier mais lorsqu'il attaque le second je ne tiens plus, je dois devenir plus douillette et je dis soumission. Il me dit « Enfin !!! » Quoi ? Encore ? Il joue avec mes nerfs en me disant que je suis douillette et cela me fait repousser mes limites toujours plus loin, pour me dépasser, pour ne pas le décevoir. Mais quelle idée ! Souvent je frôle la crise de folie. Je vois bien que ça l'amuse de me faire tourner en bourrique comme ça. Il sait prononcer les mots qu'il faut au bon moment, pour me pousser. C'est de partout pareil, il est sans filtre, et arrive toujours à ses fins. Il tire toujours le meilleur de moi-même dans tous les domaines. Il me regarde, je suis perdue dans mes pensées. Mais comment peut-il me manipuler comme ça ? Sans que je m'en rende tout le temps compte, surtout durant les séances. Je ne peux pas réfléchir pendant les séances, je suis trop dedans pour voir quelque chose. Dans ma vie de soumise c'est toujours au sujet de la soumission. Pour le niveau pro et perso c'est autre chose, ce sont des conseils, et souvent quand il veut me donner raison, je me rends compte que c'est lui qui est dans la vérité. C'est souvent frustrant. Mais bon voilà j'ai signé pour ça, comme je dis souvent, je ne savais pas que ça allait arriver aussi souvent, mais j'aime cela aussi.Il me demande si je suis toujours en forme et si l'on continue. Je réponds que « Oui bien sûr ! ». Alors il me dit « Allez en place sur le lit ! A 4 pattes ! ». Je trottine jusqu'au lit sans me faire prier. Je m'installe le plus confortablement possible, je prends le temps de me mettre bien, pendant que lui farfouille dans les affaires. Je suis tendue, mes seins pendent sous moi. Je suis dans une position qui ne laisse aucun doute sur ce qui va se passer, je vais prendre une bonne fessée, par les instruments qu'il désire. J'ai bien envie de lui dire que la spatule est très dure et très cuisante, mais je m'abstiens, me disant que cela sera sûrement mal vu. Je le sens se rapprocher de moi. J'en frissonne déjà. Je sais que cela va être intense et sans pitié ou presque. Il agite quelque chose derrière moi et me ventile les fesses. Au son je ne sais pas ce que c'est. Il joue un peu avec mes nerfs. Je suis tendue. J'attends la première claque qui me fera savoir à quoi je vais avoir droit. Je regarde droit devant moi... Ne pas déjà craquer. A la première claque je connais cette nouvelle douleur qui irradie, il a gardé sa 'pelle à gâteau' ! Je pousse un petit cri, il joue avec son nouveau jouet et mes fesses vont prendre cher. Il s'applique, d'une fesse et l'autre. Je le sens calculer ses coups, plus qu'avec les autres jouets. Là il fait dans un sens, dans l'autre. Mais la douleur est bien là intense, brulante. Je gémis. Il applique les fessées par groupe de 7 claques. À chacune la douleur est là. C'est aussi fort que la cravache fine mais en plus large, plus spéciale, plus cuisante. J'ai l'impression qu'il fait des dessins tellement il prend son temps et calcule. Je tombe de douleur, mais il me dit « Tu peux encore tenir ! ». Je remonte en grognant, en souffrant et en poussant de petits gémissements. J'en rajoute un peu, mais mes fesses sont brulantes. Il reprend ses dessins, tapant aussi mes cuisses. Je suis haletante, il ne me loupe pas. Je me laisse aller, me concentrant sur autre chose. J'encaisse bien. Enfin il me claque le clito ! Là je pars dans les tours, je pousse un gémissement entre plaisir et douleur. Je me tends, je grogne, comme toujours ce mélange me dérange. Mais c'est tellement bon que je m'abandonne finalement, couinant à chaque claque. Il n'insiste pas trop, cela pourrait être blessant je suppose. Et il reprend le travail de mes fesses, intense. J'ai l'impression de saigner ! Je pousse de petits cris stridents, je m'écroule... Il s'arrête et me dit « Quand même ! ». Il s'assoit et me regarde. Je suis en larmes, je suis encore allée trop loin, je ne sais pas dire stop, heureusement que lui s'arrête avant de me détruire...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant