Chapitre CXXXII - Une envie pressante ? Non 2 !

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Je reprends doucement mes esprits. Je le regarde. Lui ne m'a pas quittée des yeux. Il me dit « Remise Eva ? ». Je lui dis que oui, plutôt bien même et que je vais bien dormir... Mais avant je lui demande de s'allonger sur le ventre pour un petit massage. Il prend ma place avec entrain. Je suis ravie que l'idée lui plaise. Il me dit « Tu ne m'en voudras pas si je m'endors ? ». Je ris en lui disant que non ! Il s'installe confortablement et je lui applique l'huile de massage. Je commence par les épaules, il est tout noué. Je descends sur son dos et je le masse doucement par petits cercles. Il grogne de bonheur et se détend doucement sous mes mains qui se font douces. Je suis complètement zen après le sucré, je suis bien dans ma tête. Je prends du temps pour le masser, pour lui faire du bien. Mes mains parcourent son dos en douceur, déliant ses muscles. Il est tout tendu, il donne de sa personne pour s'occuper de moi. Le massage se termine tout en douceur et il me remercie. Je viens m'allonger à côté de lui, le dos un peu raide. Je vais finir par trouver un gîte avec une table de massage si cela continue... Je m'allonge en grognant, le fouet à fait son effet, mon corps est cuisant. Il me regarde, amusé. Il me demande si je souffre quand même un peu, avec son petit sourire sadique. Je lui réponds en riant que non, pas du tout, que tout ça est une partie de rigolade, surtout le fouet qui n'est pas du tout dur mentalement ! Il rit lui aussi en regardant mes seins déjà bien entamés et il me dit « Mais on n'a pas essayé tes nouvelles pinces à seins !! » Je réalise moi aussi que nous n'y avons pas touché ! Nous devrons y remédier, ce n'est pas possible de ne rien faire avec un nouveau jouet... Mais il est l'heure du dodo, lui est crevé physiquement et moi nerveusement. Je lui dis « Je ne vais pas te gaver avec mes réflexions ». Il ne répond rien. Je me tourne dans mon coin en lui souhaitant bonne nuit en couinant. Il me dit « Allez détends-toi, tu vas devoir être en forme, pour ce que je t'ai prévu ». Et voilà ! Avec cette simple phrase, il me fait repartir dans la réflexion. Il a prévu quoi ? Pire que ce soir avec le fouet ? Je ne vois pas comment cela pourra être pire. Je sais qu'il est capable de trouver toujours pire dans ce qu'il fait, dans nos limites, mais quand même. Je le sens amusé par sa dernière phrase et il fait silence... Je me tourne vers lui pour dormir, je le regarde s'endormir à une vitesse folle et moi je suis dans mes réflexions, toute seule avec moi-même. Vais-je une nouvelle fois tenir ? Supporter encore plus ? Je m'endors péniblement entre douleurs et pensées terribles, ressentant les brûlures du fouet et la sensation de ne plus avoir de prise sur ce que je veux. Je finis par m'endormir difficilement, mon sommeil est perturbé par les douleurs, mais aussi par les pensées. Je me réveille vers 5 h, je sens bien que la nuit est finie. Je tourne un moment en faisant attention ne pas le réveiller. À 5 h 30 j'ai beau vouloir me retenir, mais une envie pressante me guette. Je m'assois sur le lit et part à toute vitesse. Il me demande ce qui se passe, je lui réponds en filant... Je me demande si je n'entends pas un fou rire à un moment donné, mais cela ne m'étonnerait pas. Je reviens au bout de cinq minutes, m'attendant à ce qu'il dorme, mais la lumière est allumée et me demande comment je vais ? Je lui réponds que j'ai passé une nuit plutôt moyenne. Il s'en doutait un peu. Je me recouche en me disant qu'on allait un peu se rendormir, mais non. Il m'attrape par les cheveux et me tire à lui sans ménagement, il est en forme cela se voit. Sa queue est déjà tendue prête à ce que je la prenne en bouche. Il appuie sur ma tête pour que je la prenne tout de suite loin dans ma gorge. J'en suis un peu surprise, mais je résiste au haut le cœur. Je commence à faire de doux va-et-vient, toujours sa main sur moi, mais il me laisse prendre mon rythme. Je sens sa poigne, je prends du plaisir à me sentir sous sa prise et aussi à lui faire du bien. Mon rythme est régulier, je lui masse délicatement les couilles, je joue avec ma langue, je m'applique à lui faire du bien. Je joue avec ma langue, dès que je remonte elle tournoie, elle s'insinue, elle fait son œuvre, je serre plus mes lèvres. Il me caresse délicatement les cheveux, s'installant un peu mieux pour prendre le plus de plaisir possible, je suis le mouvement, je l'accompagne. Je joue avec ma langue elle se tortille, l'entoure, glisse dessus pendant que, de mes doigts, je lui masse délicatement les couilles. Je m'applique, je lui donne tout ce que je peux pour son plaisir. Je le sens tressaillir, vibrer sous mes doux assauts, le plaisir monte à mon rythme, à celui qui lui plaît, pas trop vite, mais pas trop doucement non plus, il gonfle, il prend doucement de plus en plus de place dans ma bouche, mes doigts se glissent sur sa queue et commence doucement à le branler en même temps que je le suce. J'aime son goût, j'ai appris à dompter la fellation et, pour m'en féliciter, il se voit dans l'obligation de me donner une fessée de récompenses. Je la prends sans rien dire. Je continue à le sucer sans répit, en faisant attention de ne pas serrer les dents par inadvertance, quand la pression devient trop intense, je me retire et ma main prends la relève laissant ma langue sur son gland... Il me laisse finir, il pose sa main et se tends de plus en plus sous mes assauts répétitifs, il grogne de plus en plus fort. Je sens qu'il va exploser, je refais plusieurs va-et-vient avec sa main qui m'incite à aller plus loin. Je vais avec lui, je vais le plus loin possible. Il tape dans ma gorge et finit par éjaculer dans ma bouche. Je prends son sperme, l'avale avec délectation et finis en le nettoyant avec ma langue experte. Je me remets à côté de lui pendant qu'il reprend ses esprits. J'ai mon petit sourire super satisfait d'avoir ce petit et unique pouvoir sur lui. Lui donné du plaisir et le satisfaire !

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant