Eva soumise et heureuse

Chapitre CXV - Le début de la fin ? Ou suite du début ?

Il reste silencieux, je ne sais pas quoi faire, je n'ose pas bouger. Je suis seule avec moi-même, avec son silence qu'il brise en lâchant un « Ben alors ? Eva ! On ne tient pas l'alcool ? ». Je me retourne en sentant son humeur joyeuse. Il sourit, je lui réponds avec un grand sourire aussi. Cette séance ne sera vraiment pas du tout la même que les autres, un changement est en train de se produire. Je ne sais plus bien où j'en suis et cela va me perturber pour la suite. Il me tire de ma rêverie en me disant « Allez au lit, il va te falloir de la force pour demain matin, tu vas en baver encore un peu ! ». Je me couche avec cette souffrance promise, ce moment où il va reprendre la main sur moi. Je me glisse sous la couette en couinant, mes fesses sont dans un tel état ! Il en rit en me disant « Tu sais tes fesses ne sont pas loin de ce que j'avais prévu ! Hein elles sont rouges et bien marquées ! Je les sens bien brûlantes quand même... ». Je me lève en vitesse pour vérifier ça avec le miroir. Je couine au passage, je ne suis toujours pas délicate. Je me tourne et les regarde. Elles sont rouges, écarlates avec de grandes traces. Je vois bien les sept marques de la cravache fine, elles sont bien marquées, bien visibles. Mes fesses sont dans un état effroyable ! J'ai bien peur que le retour ne soit compliqué demain. J'en profite pour enlever mon collier et revenir me glisser plus délicatement dans le lit. Je lui dis « Tu ne m'a pas loupée quand même ! ». Il me dit « Non mais tu ne m'as pas dit soumission non plus ». Je le reconnais volontiers. Je supporte bien finalement ! La soumission n'est peut-être pas finie pour moi. J'ai envie de papoter, mais je le sens crevé. Alors je tente de m'endormir, j'ai mal avec une tête qui va exploser tellement que je ne sais plus où j'en suis dans la soumission. Je dois tourner 10 fois en une minute en grognant. Il me demande ce qu'il se passe, je lui explique. Il me dit « Te fais pas de soucis, on s'adaptera et si tu veux arrêter, on arrêtera et si tu veux continuer, on continuera !!! ». Il me soulage d'un grand poids. Je le savais bien que parler allait me faire du bien. Il me dit « Allez ! On fait l'exercice pour s'endormir. ». Je suis ses indications, laissant doucement mes muscles et tout mon corps se détendre. Je m'endors, apaisée et détendue. La nuit ne se passe pas trop mal jusqu'à 4 h du matin où là je me réveille, entre douleur et réflexion. Mon cerveau se remet à mouliner, j'aimerais de temps en temps le poser vraiment pour me reposer un peu mieux. Tout tourne, travail, soumission, tout se mêle. Je grogne, je suis encore épuisée. Il me manque des heures de sommeil et je n'arrive pas à me rendormir... Il dort, heureusement je parviens à ne pas le réveiller. Je tente de refaire l'exercice, je me détends enfin et c'est lui qui se réveille pour aller aux toilettes ! J'en profite pour aller boire un coup. L'air est sec et ma gorge l'est tout autant. Je reviens me coucher quand il revient lui aussi. Il me demande comment je vais en se recouchant. Je lui dis que j'ai du mal à dormir. Il me dit « Ben ! Pense à autre chose !!! ». Je me tourne de mon côté, lui se rendort tout de suite, il n'a aucun mal, il n'a pas la tête en vrac ! La chance ! Je parviens enfin à trouver le sommeil, je me rendors 2 h. Je suis réveillée par Dominique qui s'agite sous la couette. Je sais que ça va être le moment où je lui donne, moi-aussi, un plaisir intense. Il me demande pour la forme si j'ai bien dormi et en même temps il m'attrape la tête par les cheveux et m'attire à sa bite avec entrain. Je le prends tout de suite en bouche avec envie, ma main se pose sur ses couilles que je caresse, que j'effleure pendant que je commence de doux va-et-vient. Ma langue joue aussi, je suis pleine d'enthousiasme et je le sens frémir sous mes assauts. Je calme un peu le jeu pour laisser le temps au plaisir. Il aime que cela n'aille pas trop vite. Je continue en massant doucement ses couilles pendant que je le suçote doucement en faisant des bruits de succions. Il grogne de plaisir et je continue mon œuvre prenant moi aussi du plaisir dans ce moment de complicité. J'alterne entre des aller-retours et des succions, je prends mon temps, le faisant gonfler entre mes lèvres. Une main vient se poser sur ma tête et il m'imprime son rythme, son envie, sa vitesse, et je suis le mouvement. Je me mets tout de suite en accord avec lui. Il me fait allez plus loin, il vient titiller le fond de la gorge là où, il y a deux ans et demi, je ne pouvais pas approcher sans avoir des haut-le-cœur. Maintenant cela ne me fait plus peur et je le fais sans crainte, en prenant un plaisir immense. Et il continue à appuyer et je lui masse les couilles pendant ce temps-là. Il me relâche et me donne trois bonnes claques sur chaque fesse, je suis obligée de me redresser pour ne pas le mordre ! Mes fesses ne sont toujours pas en état. J'encaisse et il me laisse vite tranquille en voyant que je ne peux pas encaisser, je reprends mon œuvre. Ma langue tournoie sur son gland, je viens le lécher, le suçoter, tout en le massant d'une main, et le pompant de l'autre. Je le sens monter encore plus en pression et le reprends totalement en bouche en faisant plusieurs aller-retours. Il finit par exploser dans un râle, dans ma bouche. Je prends tout son sperme et l'avale avec plaisir. Il me caresse les cheveux pendant que je le nettoie en léchant, délicatement.