Eva soumise et heureuse

Chapitre LII Il y a « toilettes » et « Toilettes »...

Son retour marque les débuts de gros changements. Dans la semaine de son retour, un matin dans ma douche, je trouve enfin mon idée pour mon projet pro. Je vais retourner à mes premiers amours, les animaux. Avant de lui présenter l'idée, je la bosse bien. Enfin je fais comme toujours... Quand je lui annonce où, et comment, je l'ai trouvée, ça le fait bien rire. Je suis folle, et il adore ça. Et moi aussi j'aime de plus en plus cette idée d'être décalée et ne pas faire comme les autres. Il trouve mon idée géniale, et le projet se lance, je prends des rendez-vous, et lui est à mes côtés pour m'aider dans cette nouvelle aventure magnifique qui m'attend. Mais ça c'est le côté pro, je prends aussi une nouvelle décision dans la soumission. Il n'a jamais été embêtant, coté vestimentaire. Je mets des choses de plus en plus femme, et ça lui plait. Un matin je lui annonce « je n'ai pas de culotte ». Il est surpris de cette initiative, voir je me demande si pas un peu choqué de cette annonce ? Je suis fière de moi, et de mon initiative. Passé le coup de l'annonce, il m'annonce que maintenant il peut m'appeler à tout moment de la journée et me demander une photo, une preuve de ma tenue. Ça je ne m'y attendais pas ! Je devrais pourtant, mais il sait toujours me surprendre, et surtout transformer ça en épreuve, et aussi en jeu, car je le prends comme ça. Il me promet de me laisser le temps de me faire à l'idée d'être cul nu en permanence. Au début je reconnais que c'est surprenant de se promener comme ça, mais finalement personne ne se rend compte qu'on est à poil en dessous. Braver l'interdit est une nouvelle forme de soumission pour moi, je prends vite l'habitude de ne plus en porter. Puis un jour je pars faire mes courses, je lui annonce, sans vraiment bien faire attention. Un certain coté innocente persiste en moi. Et là il me dit « Très bien, quand tu y es, tu m'envoies un message pour me prévenir,, et je choisirai un moment pour la photo ». Je pars avec la boule au ventre, un peu angoissée par cette nouvelle épreuve, mais aussi avec l'envie de la réaliser, repousser toujours plus loin mes limites.... Je lui laisse un petit message « J'y suis ». Je fais mes courses, puis un appel de lui « Trouve le moyen pour faire la photo ! ». Je sens le rouge me monter aux joues mais aussi, je sens une goutte de plaisir entre mes jambes. Je deviens une vraie Salope, et ça me plait. Je trouve la super bonne idée, les toilettes !!! J'y file, en demandant la clef à l'accueil, je suis excitée, morte de trouille aussi, mais je le fais, je me dépasse, et ça me plait énormément. Il me rappelle, en vidéo, je prends mon air de soumise obéissante, il me dit « Alors tu es comment ? » Je lui dis « Excitée ! », je ne peux pas mentir. Il me dit alors « Montre-moi », je descends mon pantalon et je passe la caméra sur ma chatte, et l'entend sa voix qui me dis « Mais tu es trempée !!! SSSalope !! » Dans sa bouche c'est un super compliment ! Oh oui je suis trempée, je ne peux pas le cacher. Il me demande aussi de vérifier que je n'ai bien pas de culotte, quand il voit mon pantalon sans, il est satisfait. J'allais commencer à remonter mon pantalon, tout cash il me dit « Branle toi ! » Oh mon Dieu ! Là j'hésite, mais sa voix de DOM résonne, et je ne peux qu'obéir, non sans une envie, inconnue jusque-là. Je me cale contre le mur une main tenant le téléphone, l'autre s'agitant sur mon clito. Je me masturbe fort et avec envie. J'oublie où je suis, et je deviens une autre. Je suis trempée, mon clito se gonfle entre mes doigts, le plaisir monte. Je ne pensais pas pouvoir prendre du plaisir si vite. J'explose doucement, je me retiens de crier, il est satisfait. Il me dit « Je suis satisfait, tu es une soumise parfaite ». Je reprends doucement mes esprits. Il raccroche me laissant seule dans mes pensées... Je remonte mon pantalon, me passe un peu d'eau sur le visage. Je fais mes courses, des idées plein la tête, je me demande jusqu'où il va me mener, moi qui, 6 mois avant, prenais juste du plaisir nouveau à acheter des vêtements de femmes, et acheter de nouvelles culottes. Maintenant je n'en ai plus besoin, je me demande même si je ne vais pas m'acheter une robe...

Ma vie sans culotte continue, en remettre une ne me paraît plus normal au fil du temps. Dominique m'encourage dans mon évolution, cependant, je lui cache l'idée de la robe, je ne suis pas encore totalement sûre de moi, et pourquoi pas lui faire une surprise pour sa prochaine venue ? L'idée me plait bien, puis, pour sa prochaine venue, je dois le rejoindre, prendre le train, et passer dans de grandes villes, là où il y a des sex-shops. Là aussi une idée germe dans mon esprit. Je lui demande si on ne pourrait pas y faire un tour si on a le temps. Il est surpris de ma demande, et ne me pensait pas encore prête pour cette épreuve, mais si je le veux on le fera avec plaisir.

Deux semaines avant son arrivée je me trouve une robe longue, je pense que pour commencer c'est déjà pas mal, avec un petit décolleté discret, et une fente sur le côté. Quand je l'essaie, et marche un peu avec, je réalise qu'elle n'est pas super pratique, un peu trop longue, les escaliers ne sont pas faciles, il ne faut pas oublier de la soulever, mais ça je pense que ça va lui plaire... La veille, je craque, je lui révèle que j'arrive en robe. Nouvelle surprise de sa part, il est ravi de cette nouvelle. Je laisse une part de surprise.

Le matin, je prends le train, j'ai pris de quoi bouquiner, mon téléphone pour pouvoir jouer, patienter pendant les deux heures de voyage. Je suis dans tous mes états, enthousiaste, inquiète pour le sex-shop. Vais-je y arriver ? Puis je suis sûre qu'il va compliquer la chose. Et ma robe va t'elle lui plaire ? Je pense que c'est surtout pour lui plaire que je l'aie prise, je ne suis pas sûre d'être totalement prête mais bon, j'y suis maintenant je ne peux plus reculer. Le voyage se passe bien trop lentement à mon goût ça me laisse le temps de trop réfléchir. Il a atterri, et moi, j'arrive à la gare, le temps qu'il récupère la voiture il arrive. Je m'installe au soleil, patiemment, mon cœur fait des bonds. Je vois une voiture arriver, je trépigne, je repére de suite que c'est lui, mon angoisse disparaît. La magie de notre relation opère, je reprends ma place, mon envie, mes doutes s'envolent, mes envies reprennent le dessus. Il descend de la voiture. Je le vois m'observer, il sourit, m'embrasse à sa façon bien virile, pour me faire comprendre que je suis à lui. Je lui rends son baiser sans retenue, puis il me dit « Oouhaou la robe ! ». Il ne s'épanche pas dessus, ce n'est pas son genre, mais il me fait sentir qu'il est fier de moi, et je crois bien que moi aussi. En m'installant, j'essaie de prendre la meilleure place pour être à sa disposition, je remonte ma robe pour être totalement accessible à sa main. Il a le regard amusé, je veux vivre ce moment à fond être avec lui, et lui laisser tous champs, le décolleté est assez grand pour qu'il puisse s'amuser. Il y passe la main et découvre que j'ai quand même mon soutien-gorge, oui ça je n'ai pas encore osé le faire en public. Il agrippe mes seins, tire dessus pour bien me rappeler que je lui appartiens. Je frissonne, je le sais et je suis heureuse. Il étire mes tétons. Je descends mon soutien-gorge pour qu'ils soient plus accessibles. Je suis excitée qu'il le fasse en voiture. Je sens ma mouille descendre doucement, il se rend compte et passe sa main entre mes jambes, il atteint le clito, et commence à le travailler, en me disant de suite « Salope tu es trempée. » Je souris en gémissant doucement sous ses gestes précis, il le tapote, le pince, je m'accroche à mon siège, le plaisir monte. Il y va fort, le bruit de ma mouille se fait entendre dans la voiture, je bascule ma tête je vais partir. Et d'un coup avant le moment où... Il s'arrête. Je le regarde, il me dit « Quand même tu ne vas pas prendre plaisir si vite... » Il me tend ses doigts pleins de mouille que je prends en bouche pour lui nettoyer. Je suis totalement à sa merci. Et nous voilà en route pour une nouvelle épreuve, le sex-shop... Et ça je suis partagée entre l'envie et l'angoisse. J'ai peur de ne pas être à la hauteur de nos espérances, car je sais que pour moi rentrer dans un magasin comme ça n'est pas gagné. Nous papotons de notre futur arrêt. Il me demande si je suis prête à le faire, je réponds un petit « Oui » plus ça approche et moins je me sens sûre de moi. Mais je ne peux pas reculer, le changement de vie passera par là aussi. Nous arrêtons dans une grande ville et rejoignons l'adresse du magasin situé en plein centre-ville. Il est là lui, toujours sûr de lui, et moi je traine un peu le pas. Mon ventre est vrillé. Il le sent, il me demande si ça va, « Oui oui » dis-je doucement, pour détendre l'atmosphère. Il me parle de mes culottes, j'en ris. Il me dit tu vois, personne ne vient te dire « Vous n'avez pas de culotte ! » Et c'est vrai il n'y a que nous qui sommes au courant. Je suis de plus en plus à l'aise avec la chose.

Malheureusement le magasin est fermé définitivement, je suis entre soulagement et déception sur le coup. Finalement il vaut mieux peut-être attendre sa prochaine visite, je ne suis pas prête, je manque encore un peu de confiance en moi et surtout, je suis sûre qu'il jouera avec mes nerfs jusque-là.