Chapitre CXXIX - Vous prendrez bien une petite douche ?

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Je patiente pendant qu'il me détache, mes jambes tremblent sous moi, je pleure doucement, dans un état second. Il me détache, je le regarde, rassurante, je fais doucement redescendre mes bras qui sont toujours attachés l'un à l'autre. Il me les prend délicatement et je me raccroche enfin à son regard ? Je ne veux plus le quitter, ce regard rassurant dans les pires épreuves qu'il peut m'infliger. Il me tend ses bras, je ne peux pas refuser, j'ai besoin d'un câlin. Je suis allée au bout de ce que je pouvais supporter. J'éclate en sanglots ! Toute l'énergie que j'ai utilisée pour supporter ma première séance de fouet me quitte. Je n'en peux plus, je suis dans le dur nerveusement. Il me laisse me coller à lui, poser ma tête sur son torse. Je m'apaise doucement. Il peut me mener loin, il le sait et je sais qu'avec la confiance que j'ai en lui, je peux déplacer toutes les montagnes, rien ne me fait peur. Nous restons un moment dans la même position, mes pleurs se calment doucement. Je le sens fier de lui et sûrement de moi. Je le suis aussi. Nous faisons tout à deux, si un de nous deux craque, ou ne veut pas, nous ne pouvons rien faire. Il me demande si je vais mieux, je me reprends et lui dis que oui et que l'on peut reprendre doucement. Nous n'avons tous les deux pas la même conception du « doucement ». Il me dit « Alors dans la salle de bain, j'ai envie de pisser... ». Je connais tout de suite la sentence, je sais ce qu'il va me faire subir, nous sommes dans les épreuves mentales. J'y vais doucement, prenant tout mon temps. Il ne faut quand même pas exagérer ! Je ne peux pas y aller pleine d'enthousiasme, je n'aime pas cet exercice. Le chemin est très long jusque-là bas. Si je pouvais faire un ou deux détours pour y arriver, je les prendrais. Je sais qu'il ne va pas m'épargner... Je vais quand même assez vite pour qu'il ne me fasse pas remarquer que je traine des pieds. Il me laisse le choix entre la douche et la baignoire, je fais comme je veux ! De toute façon cela reviendra au même. Je retire mon collier, il me prend les poignets et enlève les bracelets, le message devient clair je prends trop de temps pour faire les choses... Je finis par choisir la douche, je crains de ne pas pouvoir me relever de la baignoire. Je rentre dedans et je m'accroupis face à lui. Je dois puiser dans ma volonté, une nouvelle fois, pour ne pas dire que je ne veux pas le faire, que c'est trop pour moi. La réponse serait de toute façon cinglante, nous l'avons déjà fait donc je n'ai pas le choix, nous le faisons que je le veuille ou non. Je baisse les yeux, c'est toujours un moment compliqué et pour ce coup, je préfère éviter son regard. C'est une vraie humiliation pour moi, je le supporte très mal mais, à ce qui paraît, cela m'aide à grandir, à dépasser mes limites une nouvelle fois, me prouver que je peux tout faire, tout réaliser et allez toujours plus loin. Et comme il me dit souvent « On ne va toujours pas faire que ce que tu aimes, ce n'est pas ça la soumission ! ». Il m'attrape par les cheveux, redresse ma tête pour me scruter, pour savoir où j'en suis, si je suis prête pour cette épreuve. Je le regarde dans les yeux et j'ouvre la bouche, en grande résignée. Il maintient ma tête et approche son sexe et commence à uriner. Je ne me dérobe pas, je reste en place, je ne bronche pas, coupant ma respiration pour ne pas sentir. Il le fait sans aucune hésitation, son urine coule dans ma bouche. Il me maintient toujours la tête légèrement en arrière, je suis à sa merci, je dois retenir le liquide pour qu'il ne rentre pas dans ma gorge. Cela me demande un effort supplémentaire. Je ne veux pas le décevoir, je me concentre et accepte la boisson dorée qu'il me sert. L'urine coule le long de mon cou aussi, je le sens. Il me demande de fermer la bouche. Son ton est sans appel, je lui obéis sagement et je fais de mon mieux. Je reste concentrée sur mes deux objectifs, tenir le plus de temps possible, mais aussi ne surtout pas boire !!! Il me fait basculer encore plus la tête pour m'inciter à déglutir en me disant « Allez Eva, avale ! Sois forte ! Tu en es capable, je le sais et toi aussi, tu le sais ! ». Il est terrible et sait comment me faire réfléchir. Je me concentre, je tente d'avaler, mais mon corps refuse une nouvelle fois. Je sens bien que cela fait son chemin, mais je ne peux pas je recrache... Il en prend comme toujours sur les jambes, mais ça je ne peux pas le contrôler. Je finis quand même par déglutir et une goutte, pas grand-chose bien sûr, passe dans ma gorge. Je ne suis pas autant dégoûtée que ce que je pouvais penser. Il le voit et me dit « Ah ben tu vois bien que ce n'est pas si difficile que ça ! Tu en fais bien des manières pour si peu... ». Je me retiens de protester, je ne suis pas en bonne position pour le faire, il va me faire subir pire si je me le permets. Je ne suis pas sûre qu'il soit dupe de ce que je pense réellement, mais au moins je reste discrète. Il me reprend les cheveux et me fais de nouveau basculer la tête en arrière et il se remet à me pisser dans la bouche. Je contracte mes muscles pour tenir encore plus. Lui n'a aucune pitié et continue sans aucune retenue. Je m'accroche aux murs pour ne pas tomber. Une nouvelle fois, il me demande de fermer la bouche, je m'exécute une nouvelle fois et il bascule de nouveau ma tête en arrière un peu plus. Je renouvelle l'épreuve, le nez bouché, je ne veux toujours pas sentir. Je fais de grands efforts pour bien tenir le coup. Il me regarde avec cette intensité incroyable qui me donne la force de tenir un peu plus. Avant que je ne lâche il me dit « Allez ! Avale !!! ». Je fais non de la tête, mais il insiste en me disant « Allez ! Tu peux le faire je sais ! Allez Eva fais-le ! ». Mais non, c'est impossible je recrache tout. Je sais qu'il ne manque pas grand-chose pour que je puisse y arriver, mais je ne suis pas encore prête. Voyant ma fatigue, il continue à m'uriner dessus sans aucune pitié, mais pas dans ma bouche.

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant