Chapitre LVI - Le départ et l'arrivée

114 1 0
                                    



Lui à l'air de dormir paisiblement comme toujours, moi j'entends surtout le son des cloches toutes les heures. Je suis souvent dans mes pensées les plus profondes comme à chacune de ses venues. Vers 6h30 je vois sa main s'agiter sous la couette. Je sais que le moment va venir, je me fais un devoir de lui faire une belle fellation. Je souris déjà, je me sens bien et en forme. Il ne passe pas par 36 chemins, il est lui, il est mon DOM, j'ai envie de lui faire plaisir et de lui obéir. Il me prend par les cheveux et sans ménagement me tire à lui et me dit « Allez au travail ». Tout mon corps se tend d'envie. Je commence à le prendre doucement en bouche, je reste prudente dans mes gestes. Je laisse le temps à ma bouche de s'habituer, en jouant doucement avec ma langue sur son gland. Il m'encourage et me donne des petits conseils sur ce qu'il préfère. Je les suis en le titillant et en le suçotant. Quelques claques sur mes fesses tombent. Un encouragement, enfin je le ressens comme ça et ça me donne du cœur à l'ouvrage. J'alterne entre les vas et vient et les coups de langue sur le prépuce. Il grogne de plaisir et varie les claques qui résonnent dans la pièce. Je prends de plus en plus de plaisir à cet exercice, et sentir son plaisir monter me fait aussi plaisir. Je vais de plus en plus loin dans un rythme régulier. Je fais bien attention à ne pas aller trop loin... Je veux la réussir, ma tête est fixée sur l'objectif, je ne pense qu'à ça et ça marche. Je lui donne du plaisir avec ses conseils. Moi aussi je sens doucement ma mouille s'écouler, mais je n'ose pas lui dire. Je ne sais pas si ça lui ferait plaisir, je le garde pour moi pendant que je continue et qu'il prend de plus en plus de plaisir. Il instille un peu de rythme avec sa mains posée derrière ma tête. Il donne un rythme un peu plus rapide, je l'encaisse plutôt bien. Je gaine bien mes lèvres, les serres. Je le sent grossir dans ma bouche, il râle de plus en plus fort et je continue de le sucer en le masturbant d'une main. Il me dit « Oh oui ! C'est bon ça ! ». Ma langue tournoie, je le suçote. Il me remet quelques claques, et il explose dans ma bouche. Je reçois son précieux liquide avec délectation dans ma bouche, et l'avale en le regardant. Fière de moi, je me recouche a ses côtés. Il me remercie pour ce moment de plaisir et il me félicite. J'ai un petit sourire victorieux, je me sens de plus à plus à l 'aise, et on sait que certains endroits sont à éviter ...

Il se prépare et part travailler. Pendant ce temps-là je l'attends au gite. Il doit appeler et je le rejoindrais. La matinée se passe doucement, je sais que pour une fois on va pouvoir débriefé dans la voiture, comme il me ramène chez moi... L'heure approche et je commence à me préparer, je prends la décision de ne pas mettre de soutien-gorge, je le range dans la valise. Je me sens une nouvelle fois plus forte, plus sure de moi. Je vérifie dans le miroir que cela ne se voit pas trop. Mais non ça va, il ne faut juste pas que je courre ou fasse des sauts, mais là je pense pas avoir besoin d'en faire. Il appelle, je le rejoins, souriante... Lui repère de suite que je n'en porte pas ! Il me dit « Ah oui ! Le changement ! ». Ca lui plait et à moi aussi, je ne me sens pas gênée pour le moment. Nous prenons la route et, comme à l'allée, je lui laisse le champ libre à tout mon corps. Nous passons le trajet entre tripotages de seins de temps en temps, mais surtout beaucoup de discussions. Pour finir notre rencontre, nous buvons un coup au bar de ma ville... Première fois que je sors en ville comme ça sans soutien-gorge ni culotte. Je surprends les gens de par ma tenue. Mais je me sens si bien, si libre, et je sais aussi qu'il est fier de moi et de mes progrès. Nous passons un agréable moment et il me dit « Tu vois ? Personne ne viens te dire que tu n'as pas de soutien-gorge ? Ben non ! et pas de culotte non plus ! ». Je dois bien rougir un peu, ma pudeur refait un peu surface, comme toujours en public.

Puis il repart, comme toujours, rapidement sans grand au revoir. Mais là aussi cela devient une habitude. Je n'ai pas de crises de larmes, nous sommes restés longtemps ensemble après la séance.

Nous passons le mois qui suit entre discussion au téléphone et vidéos, puis il annonce son retour !

Je trouve un nouveau gite pour son arrivée... Nous allons nous installer dans les vignes. Le jour de son arrivée, je passe par toutes les émotions, comme toujours. Je m'occupe, je prépare, puis la pression monte de plus en de plus. C'est demain !!! Demain nous allons au sex-shop !!! Je ne fais pas la maline, je ne sais pas comment ça va se passer. Je suis sure qu'il va bien trouver un jeu pervers, mais il ne m'a rien dit comme toujours... Je sais déjà que je ne me défilerai pas, mais l'angoisse monte quand même. Je fais le tour du gite une dixième fois. Je suis un peu déçue, il n'y a pas de poutres apparentes, juste une échelle pour monter à un lit perché en hauteur. Je me demande bien si il pourra faire quelque chose avec. Sinon le gite est spacieux, on sera à notre aise. Je prépare les jouets. Je suis un peu fébrile comme à chacune de ses venues. Je suis partagée entre peur de ne pas être à la hauteur et surtout l'excitation. Ce doux mélange qui me fait vivre ce moment à fond.

Il arrive, je vois le toit de sa voiture, mon ventre se vrille, une jolie chaleur monte dans mon ventre, mon envie reprend le dessus sur les doutes. Il est là enfin ! Mon cœur bat la chamade. J'essaie de ne pas sauter dans tous les sens, mais non je reste raisonnable dans mes actions, pourtant l'envie ne me manque pas. Il sort de la voiture. Je suis déjà là, on se retrouve, il m'embrasse fougueusement, comme toujours, il me tire à lui me faisant bien ressentir que je lui appartiens jusqu'à son départ. Je lui rends son baiser, je déborde d'enthousiasme, et lui aussi je sens qu'il est bien de me retrouver. Nous rentrons dans le gite, et partons faire notre tour du lieu. Je lui annonce direct que nous n'avons pas de poutre apparentes, mais qu'il y a une échelle, je lui dis « Je suis pas sure que tu pourras faire grand-chose avec. ». Pauvre innocente que je suis ! Quand il la voit, son visage s'illumine. Il me dit « Mais elle est parfaite ! ». Elle est en fer, fixée au sol et au mur dans un angle parfait, il me dit « Je vais t attacher là et tu verras si elle ne sert pas ! ». Je souris me voyant déjà attachée et à sa merci. Mais l'heure n'est pas encore à ça ! Comme chaque séance, nous avons notre rituel, la fessée !!!! Je passe mon collier. Il se déshabille doucement, mais doucement, me demandant de ne pas me déshabiller, que lui allait s'en occuper. Et oui, j'ai une nouvelle robe, toute boutonnée sur le devant et il veut me déshabiller. Je bous d'impatience, et il le sait ! Il me fait mariner, il défait ses boutons avec une lenteur terrible... Et il prend son temps ! Même ses chaussettes, il prend bien le temps de les ranger, tout est plié sur une chaise et le voilà face à moi. Je passe mes mains dans mon dos pour qu'il ai libre accès aux boutons. Il commence par le haut, yeux dans les yeux. Il les déboutonne les uns après les autres. J'apprécie ce moment intense, où il prend possession un peu plus de moi. Je ne suis que sa soumise à ce moment-là... Il sort mes seins de la robe et les empoigne fermement, il me dis « Ceux-là ? ils sont à moi !!! » Je suis toute à lui, tout mon corps lui appartient. Il leur donne 2 3 claques à chacun , ça raisonne dans la pièce. Puis il continue sa descente. Il finit de les déboutonner et passe sa main sur mon sexe qui est déjà trempé, je le sais. Il retire ses doigts et me dis « Ma Salope ! Tu mouille ! ». Il me tend ses doigts englués de ma mouille pour que je les lèche. Je les prends en bouche sans retenue et les suce ne le perdant pas de vue. Les yeux dans les yeux, je prends mon temps. Il est satisfait et me dis « En place !!!! »

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant