Chapitre CXI - Lavage, massage et séance

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Je le regarde, un peu amusée, et je lui demande si je peux le laver. Il me dit « Bien sûr !!! ». Il choisit son savon et me le tend, je le prends avec un sourire plein de malice. Je mets une noisette et commence à lui masser le torse, je le savonne, je ne le quitte pas des yeux. Je me sens bien. Nous allons prendre le temps pour un vrai moment de complicité entre nous. Je descends doucement en faisant de petits ronds efficaces. Je sens que la pression descend encore, et je le ressens en moi. Tout va bien dans le meilleur du monde. J'atteins son ventre et là aussi je le fais avec beaucoup d'attention. Une fois arrivée à son sexe je suis plus prudente et je le lui savonne tout en délicatesse. Je le sens frémir sous mes caresses, j'aime l'effet que je lui procure. Mon œil est coquin mais il retire ma main, ce n'est pas le moment. J'obéis et continue mon chemin vers ses jambes et je me penche. Je grimace, mes courbatures sont là ! Il a l'air de s'en rendre compte et me dis de remonter en m'aidant. Je le remercie de sa grande bonté et je passe derrière lui et je reprends mon doux massage en partant des épaules et je descends en douceur. Je prends mon temps. J'atteins ses fesses et là je les masse bien aussi. Nous sommes entre massage et savonnage en douceur. Et je descends sur ses jambes doucement. Aussi je vais le plus bas que mon corps me le permet, et je pousse un grognement pour remonter. Il me demande comment je vais, je sens son amusement dans mon grognement. Je me mets face à lui en disant « Très bien » sans sourcilier. Je ne pense pas qu'il soit dupe de mon état à ce moment-là. Il finit sa douche en se shampouinant et se rince. Pendant ce temps-là je vais me sécher. Il ne fait vraiment pas chaud, j'en profite pour monter le chauffage un peu plus... Je lui apporte sa serviette. Il me remercie et se sèche entièrement. Je le regarde faire en remettant mon collier. Je suis enfin totalement prête pour les épreuves qui m'attendent !! Il me dit « Allez à quatre pattes sur le lit ! Et vite ! ». Je traverse le gîte en trottinant jusqu'à la chambre. Ce coup-ci, on a tout sauf la planche à saucisson, intransportable discrètement. Mais il nous reste un bambou cassé, le martinet avec le manche dont le cuir se détache et que je devais réparer. Et là, je me rends compte de mon erreur. Il le trouve et vient me voir, « Mais tu ne m'as pas obéi ? Tu ne l'as pas réparé ? ». Je me sens devenir toute petite, je vois bien que je viens de faire une bourde de plus... Mais il ne dit rien de plus. Je sais que je vais payer ma faute pendant la séance. Il sort la cravache fine et aussi la cravache. Il les étale derrière moi, je ne vois rien. Je ne pourrais pas savoir ce qu'il va prendre à chaque fois, mais je le sentirais vite, je le sais ! Il ne me laisse pas le temps de réfléchir et le martinet s'abat sur mes fesses. Il est tout de suite dans le dur et je sens que ce coup-ci je vais supporter, je pose les coudes sur le lit. Dans cette position je suis bien plus endurante. Il ne me fait pas attendre, il me donne des coups sur le dos, sur les fesses. Il alterne entre force et rapidité. Par contre, comme toujours, je ne supporte pas entre les omoplates. Je me tortille, c'est le seul endroit où je prends ça pour une torture... Et il insiste là-dessus en me disant « Allez, tu ne bouges pas ou sinon cela va être pire ! ». Du coup je m'accroche aux draps pour me tenir, résister à l'envie de hurler et de lui dire stop. Mais je continue, je m'accroche et je serre les dents pendant qu'il continue sans relâche. Toujours par 7 il ne transige jamais sur ce chiffre. Au bout de 14 coups, il me demande comment je vais et si l'on continue. Je lui dis un « Oui » franc. Je sens qu'il prend un nouvel outil de travail. C'est le bambou qui s'abat dans un rythme régulier sur mes fesses, il les laboure pendant 14 coups sans cesse, avec un rythme lent et régulier, mais chaque coup porte ! Je tremble un peu, je couine, mais je résiste, je tiens les 14 coups sans protester. Il a l'air satisfait et pose le bambou et me demande « Tu es sûre d'aller bien ? ». Je confirme. Alors il reprend un nouvel objet qui s'abat là, sur mon dos. Je couine fort, c'est la petite cravache, elle est brûlante. Et il continue sur les fesses ! Il va me les détruire finalement je crois bien ! 14 coups tombent, 7 sur chacune, sans pitié, il ne faiblit pas dans la force. Et moi pendant ce temps-là, je reprends plaisir à ce qu'il me fasse subir ça. Il la pose et je pense entendre le bruit de la pelle à tarte. Je frémis, je dois faire le vide en moi pour la supporter et le premier coup s'abat sur mes fesses. Elle est tout de suite brûlante, pénétrante. J'ai la sensation de saigner tellement elle me fait mal ! Je couine, je m'agrippe aux draps avec force. Je sais qu'il ne me laissera pas dire soumission avant le 14 fatidique ! J'attends, je m'accroche en couinant et en pleurant... A 12 je lâche « Soumission !». Je ne sais plus à combien nous sommes, mais lui il compte et il me dit « Encore 2 !!! ». Je serre les dents pour supporter les deux derniers coups. Je suis au bout de ma vie ! Et il les applique sans aucune pitié, je recrie « Soumission ! » et tout s'arrête. Je m'écroule sur le lit, à bout de souffle, quand il me dit « Allez, on fait une pause ». Je ne laisse pas l

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant