Hors-série - tentation vidéo

128 0 0
                                    

Entre ses deux visites il m'annonce qu'il va dormir à l'hôtel et que, si je le désire, nous allons faire une séance en vidéo. Bien sûr, comme toujours, je suis partante. Le soir de cette fameuse soirée je prépare mes jouets. Il me dit « Je serais là vers 20 h 30 ». Je suis prête, patientant sagement avec mon collier. En le mettant en avance je rentre déjà dans la soumission avant son arrivée. Je suis un peu en avance, je veux être prête quand il arrive. 20 h 30 passe, toujours pas de nouvelles. Je regarde WhatsApp, mes mails. Pas de nouvelles, rien, pas un mot pour me dire qu'il est en retard. Je suis impatiente. Je rouspète pensant bien qu'il est en train de me faire tourner en bourrique. Il en est bien capable et ça l'amuse beaucoup. Il connaît ma patience... Je tourne en rond, heureusement qu'il ne m'entend pas ! Je râle un peu mais bon, il est loin, il ne m'entend pas. Je ne me risquerais pas de le faire en sa présence. Il ne connaît pas cette partie cachée de ma personnalité. Je ne suis pas sûre qu'un jour il la connaisse, je tiens encore à mon corps. Je n'ose pas imaginer sa réaction et la punition qui suivrait, j'en tremble d'avance... Enfin ! Un message sur WhatsApp « Tu as le lien dans tes mails ». Je suis pleine d'envie quand je clique sur le lien. La cam se met en route. Il a déjà sa tête très sérieuse. Houlà je sens que je vais prendre cher ce soir. Il a la tête du DOM qui va pousser sa soumise dans les limites de ce qu'elle peut réaliser toute seule. Il me demande quand même comment je vais et si j'en ai toujours bien envie, c'est notre petit rituel de début de séance. Je lui montre mon collier déjà en place. Il me dit « Toujours aussi impatiente ! C'est bien. Allez ! En tenue ! ». Enfin j'entends « en tenue ». Donc pour moi ça veut dire à poil. Bien sûr, je me déshabille vite fait. Sa voix tonne « Mais qui ta demandé de faire ça ? ». J'ai un moment d'arrêt. Je ne comprenant pas pourquoi il me demande ça. Je lui dis « Ben toi ? ». Il me dit « Non ». Je lui demande si je dois me rhabiller, mais il me dit que non, maintenant que c'est fait, que je reste comme ça. Il me déstabilise totalement. Je ne sais plus quoi faire, les larmes montent déjà, je n'aime pas le décevoir et là c'est fait. Et comme toujours quand je suis face à lui je me sens toujours toute petite. Je suis sûrement totalement sous son emprise, et je fais tout ce qu'il veut sans réfléchir. Il n'en dit pas plus et me demande de malmener mes seins. Je les malaxe fort en le regardant droit dans les yeux. Il m'incite à le faire toujours plus fort, il me fait tordre les tétons, me fait les soulever, les relever. Je prends sur moi pour lui obéir. Ce n'est jamais simple de le faire à distance, cela me demande une force mentale bien plus forte qu'en séance avec lui où je n'ai qu'à obéir sans rien dire. Je fais du mieux que je peux, les malmenant, les torturant, mais ça ne le satisfait pas. Il me dit « Sors les pinces à seins, et mets-les-toi ». Je farfouille dans mon sac, je les trouve. Je les mouille avec ma bave et je les serre doucement mais surement, quand je commence à grimacer il me demande de continuer à tourner la molette. Ça tire j'ai l'impression qu'ils vont exploser. Je remets un quart de tour qui m'arrache un couinement. Son regard est satisfait. J'enchaine sur des claques fortes sur chaque sein, toujours par 7 claques. Je fais comme toujours, relevant la main un peu trop vite. Il me fait retaper en voyant ça. Il est très exigeant ce soir. Il veut entendre les claques, je ne dois pas faire semblant et il le voit selon que mon visage se tord ou non. Je suis très expressive quand la douleur me transperce et bien sûr je dois donner des claques le plus près possible des tétons. Je pousse de petits cris car je m'applique le plus possible il me fait devenir encore plus exigeante avec moi-même. Les claques résonnent dans le salon. Et soudain il me dit « Mais dis-tu es sensible du ventre à ce qui paraît ? ». Aie ! Je le sentais venir que lui révéler des choses dans mes écrits vont se retourner contre moi. Il me dit « Allez ! Tu fais la même sur ton ventre et ne fais pas semblant ». Je me donne de grosses claques sur le ventre et chaque fois je le rentre. Je souffre, c'est une vraie torture. Je serre les dents pour ne pas craquer. Pourtant les claques sont bien moins nombreuses que sur les seins mais je sens bien que je ne pourrais pas tenir aussi longtemps. Je donne tout ce que je peux, il le sent je pense, donc il me demande d'arrêter. Il me demande de tirer sur les pompes à seins, elles ont du mal à s'enlever. Je joue un peu avec pour qu'elles s'enlèvent et tire d'un coup sec. Je pousse un cri de douleur. Il ne me laisse pas le temps de souffler et me demande de prendre la pelle à tarte. Oh celle-là je la crains plus que tout, et il le sait ! Son regard est intense, aucune négociation possible. Je ne tente même pas, je suis demandeuse et je dois assumer. Il me dit « Allez ! Claque-toi les seins fort et tu ne soulèves pas la main bien sûr ! ». Je m'applique, je me donne de bonnes claques et je tente de ne pas relever la main. Eh bien sûr il me demande de me rapprocher au maximum des tétons et je le fais, toujours plus près, et cela devient plus douloureux. J'essaie de me défiler mais il est présent, il ne loupe rien quand j'esquive. Il me dit « Allez ! Direct dessus maintenant ». La douleur me transperce à chaque claque, il ne me laisse rien passer. Il redemande de taper quand je me loupe. Sept coups sur chacun. Je serre les dents, je tente de faire ma forte, mais je tiens, je résiste, je le vois, il est fier de moi. « Allez ! Maintenant tu donnes pleins de petits coups sur ton ventre sans t'arrêter ! ». Je m'exécute. La douleur est bien plus intense, c'est énorme. Je fais de petits mouvements. La douleur est moins intense mais tous ces coups répétés sont insupportables. Il me fait enchainer sur le ventre des dizaines de claques. Je sens une boule dans mon ventre, je me demande ce qui se passe. Cela me perturbe mais il ne me lâche pas. Il ne se rend pas compte de mon trouble ou n'y prête pas d'importance. Et il me demande de mettre le pied sur le canapé et de me taper le sexe avec la pelle à tarte et là je bug, je ne peux pas. Je lui dis « Mais Dominique je vais me faire mal ! me couper ! » Je fonds en larmes. Mais il insiste. J'enlève ma jambe, le suppliant de ne pas me le faire faire. Je ne veux pas me faire mal, je ne comprends pourquoi il veut me faire subir ça. Il insiste je ne vois pas d'autre solution que d'obéir. Je tends la spatule, tremblante, je connais le risque, et je ne comprends pas mais j'amorce le geste en pleurs... Et là il me hurle « Mais STOP !!! ». Je fonds encore plus en larme. Il me dit « Mais pourquoi tu ne m'as pas dit NON ! Je ne veux pas te blesser et là tu allais le faire parce que je te l'ordonne ? ». Je réalise qu'il attendait qu'une chose, que je lui dise non et je ne l'ai pas fait. C'est un choc, je suis trop sous son influence, je suis vraiment incapable de lui dire NON un vrai NON. Je me sens ridicule, J'ai envie de me donner des baffes. Lui il finit par en rire, et me dit que ce n'est pas grave, qu'un jour je finirais par pouvoir lui dire... « Allez » me dit-il « Prends moi bob et fais-toi plaisir, détend toi tu en as besoin ! ». Je confirme en m'installant de façon qu'il puisse tout voir. J'en ai besoin, je me libère sans hésiter, me laissant allez au plaisir de Bob. Je le fais jouer sur mon clito, me donnant le plus de plaisir possible. Je monte vite dans le plaisir, je joue avec, le triture en couinant. Je sors toute ma bêtise dans mon plaisir. Il me donne des ordres, il ne veut pas que je joue qu'avec mon clito, il me demande aussi d'aller dans mon vagin où j'ai le sentiment de prendre un peu plus de plaisir qu'avant, il me le fait remonter sur mon clito par l'intérieur. Je le remonte toujours plus haut, plus fort, j'explose. J'en pleure de bonheur ! Ça fait du bien de lâcher la pression comme ça. Je prends du plaisir plusieurs fois de suite, et j'arrive enfin à relâcher la pression, épuisée

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant