Chapitre XXXVIII - Vous avez dit « Manipulation mentale » ?

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Je réponds par un petit sourire, et lui dit « On verra ». Et mince ! Je commence déjà à céder ! Il me regarde, satisfait. Il me dit rassurant « On a le temps, ne te fais pas de soucis... ». Puis il me dit « Allez ! Tourne-toi ». Je me mets face à lui. Il prend le martinet et commence son œuvre, en faisant venir juste le bout du martinet sur ma peau. Cela frétille, lance des dizaines de piques à la fois. Je grimace un peu, mais je reste à ma place mains dans le dos. Je le regarde avec respect, pendant que les coups pleuvent. Le martinet tournoie, et claque sans s'arrêter. Il ne me quitte pas des yeux, guettant le moindre signe de lâchage mais je tiens bon. Droite, le regard respectueux, je reste, pendant que les lanières font leur œuvre, et il insiste sur les tétons. Oh ca il les aime, il les meurtris. Je commence à gigoter, je serre les dents, les poings. Il redescend sur le ventre, il lit en moi puis fais des allez retour sur les cuisses, le ventre. Sur les cuisses c'est infernal ! La peau est plus sensible, je resserre les dents, il va en dessus les genoux de partout... Ca tape, ca raisonne. Il enchaine les tirs groupés, puis il repasse dans le dos et continue. Je geins, je grimace, quand ça claque vers les épaules ça irradie dans tout le corps. Je me tords de douleur après plusieurs coups, et finalement je lâche « Soumission ! ». Mes jambes sont tremblantes, il arrête dès que je dis soumission. Il me dit « Va te coucher ». Je me couche tremblante au bord de l'épuisement. Il range le martinet, puis me rejoint, s'allonge à son tour et m'enlève le collier. « Ca suffit pour ce soir, tu as assez donné, et demain on a toute la journée ». Nous faisons un petit débrief de la soirée, il me dit « Alors finalement l'uro ? Ca se fait, c'est assez simple même ». Je manque de m'étouffer, quoi simple ? Il est fou, ça se voit que ce n'est pas lui à la mauvaise place, puis il continue en disant « Tu sais, il me faut une grande force, pour te faire subir tout ça. Je donne de ma personne ». Il me ferait presque avoir mauvaise conscience, tellement il y va fort. Je vois qu'il plaisante, je prends le même ton « Ben oui mon pauvre. Entre la main qui claque, cela doit faire mal à force » dis-je compatissante avec un petit sourire malicieux. Je continue « En plus on devrait te décerner une médaille du mérite, aussi ». Il me dit « N'en rajoute pas trop, ça fait lèche botte là ». Moi ? Oser faire ça ? Jamais !!!! On plaisante doucement, laissant la pression redescendre. Cela fait du bien de se retrouver, et je sens le vrai changement, l'effet qu'il me laisse toute seule pendant deux semainne, à renforcer notre amitié. Je suis plus tranquille avec mes sentiments pour lui, il est mon ami, mon DOM, celui qui m'aide à me révéler, à toujours allez plus haut, plus loin. Petit à petit je me sens mieux dans ma peau, je trouve enfin ma place. Et en plus je m'affirme dans ma vie. Nous papotons un peu et la fatigue nous gagne. Je grimace un peu selon comment je me tourne ou si la couette se pose à certains endroits de mon corps. Il me dit « Comment ça tu a mal ? » Moi « Non non, juste de petites courbatures, qui n'arrivent que quand tu es là ».

Pas simple, la soumission, surtout quand on dépasse de plus en plus les limites... Toujours avec tact, il me demande toujours si c'est ok. Et comme j'ai toujours envie de tester plus il ne s'arrête pas. Si je dis oui c'est oui, si je disais non il l'accepterait... et me le reproposerai plus tard. Ca j'en suis sûre, il ne lâche pas ses idées, jamais. Il attend juste le bon moment pour proposer et me le faire rentrer doucement dans la tête.

Nous passons à table et je vais en avoir l'exemple. IL me dit « Tu sais, j'aimerais bien que tu trouves une femme pour une séance ». Silence de ma part, réflexion intense. Celle-là je m'y attendais pas ! Quoi ? Une femme ? Moi je suis hétéro, donc bon hein. Je n'ai rien contre, mais ce n'est pas pour moi. Devant mon silence, il m'observe. Je pars dans mes pensées. Je pense qu'à ce moment-là je me dis « Il est dingue, ou il veu me faire fuir ». Je ne sais pas, pour moi c'est impossible, inimaginable. Puis il rajoute, « juste pour essayer, je ne te demande pas d'aimer, mais gouter, si tu n'aimes pas ça on ne le refera plus ». Puis bon ! Je trouve ça comment moi ? Je ne vais pas demander aux copines ! « Viens mon dom veux nous mettre la fessée à deux, et que je goutte à la femme ! »... Là il a une idée qui ne me plait pas du tout, je le lui fais ressentir je pense. Il arrête la mais, ça commence déjà à me travailler. Je cogite, il sourit, il me manipule. Il a toujours cette force pour me faire me dépasser. Il sait comment me stimuler, amener les choses en douceur. C'est déroutant, mais pour le moment, ce n'est même pas en rêve ! Il en est hors de question, je le lui dis « même pas en rêve ». Une nouvelle fois, je n'aurais pas dû, chaque fois que j'ai prononcé ces mots, ça c'est fini en réalité. Nous mangeons tranquillement, en discutant d'autres choses. Il me laisse le temps de poser les choses dans mon cerveau. A son regard je sais qu'il sait que l'idée commence à faire son chemin. Un jour arriverais je à lutter et dire non ? Je ne pense pas, il sait m'inciter sans trop en faire, sans me faire peur, la confiance se gagne toujours un peu plus... Il me dit allez on monte. Ah mince on va déjà au dodo ? Nous montons, dans la chambre, en passant il s'arrête récupérer le martinet. Arrivé dans la chambre il se met derrière moi, me prend dans ses bras. Un câlin ? Ah non ! Il prend mes seins à pleines mains, et commence à les malaxer fort. Il me les tord, les pince fort. Il a une poigne formidable, il me fait céder, il les malaxe enfonce mes chaires. Il ne m'épargne pas, je résiste, il prend les tétons et les remonte vers le haut en les vrillant. De plus en plus haut, de plus en plus fort. Je suis un peu le mouvement, mais je n'ai toujours pas grandi, je ne peux pas suivre, je me résigne et le laisse faire sans lutter, suivant le mouvement pour encaisser. Je grimace, je geins, il les tire vers l'avant aussi, m'interdisant d'avancer ou de me pencher bien sûr. Et toujours cette sensation de m'écouler doucement, sous la pression, j'ai la chatte trempée. C'est plus que sûr j'aime ça, je suis une vraie maso, qui aime la douleur. Il lâche un sein et viens vérifier. J'écarte les cuisses pour lui laisser le passage. Il rentre un doigt et le ressors trempé, une vraie Salope. Il revient me doigter, je prends du plaisir pendant qu'il me torture mon sein avec l'autre main. Le mélange des deux est intense. Je suis prise de frissons, j'adore ça, je gémis de plaisir, et ma respiration s'accélère. Quand je suis proche de l'explosion, il lâche tout, je suis dans un état pas possible, mais il ne me fera pas jouir.... Il me tend son doigt, et je le prends en le suçant doucement, et là il me dit « Ah ben tu vois que tu aimes ca. La mouille d'une autre c'est la même chose ». Il insiste le bougre, je sens qu'il ne va pas me lâcher avec son idée. Je

Puis nous nous endormons, le gite est calme, nous passons une bonne nuit bien reposante.

Le lendemain, réveil avec le soleil, nous ne sommes pas pressé, nous pouvons prendre notre temps. Je m'étire doucement, tranquillement, innocemment. Je le vois lui aussi s'étirer, puis sa main descends sous la couette au niveau de son sexe. Je fais comme si de rien était mais je sais ce qu'il a en tête. J'angoisse un peu, il n'a pas l'air de vouloir changer de position. Vais-je y arriver couchée ? Je n'en sais rien, mon cerveau se met à tourner à toute vitesse. Bon maintenant il sait que finalement je suis une débutante, il va m'aider. Il soulève la couette, en m'attrapant par les cheveux et me dirige droit sur son sexe. Je le prends en bouche, et je commence doucement à le sucer. J'y vais prudemment, laissant ma bouche s'habituer. Il me laisse faire. Je fais de petit va et vient doucement. Il me dit que c'est bien, me demande de jouer avec ma langue. Je suis ses instructions. Me sentant de plus à l'aise, je m'emballe un peu, je vais un peu plus loin... Mes hauts le cœur me reprennent, je prends sur moi, me persuadant que je peux y arriver. Et ils passent ! Je continue, en reprenant un rythme plus lent, mais toujours efficace. Ma langue tournoie, le suce, l'aspire. Il grogne de plaisir. Je sens que ça commence à lui plaire. Je le sens aussi avec la grosseur que son sexe prend. Je refais une petite erreur de parcours en allant trop loin, mais je me reprends. Je sens que mon mental prend le dessus. Je veux réussir, et ma langue retourne, retapote, s'amuse... Puis il éjacule, je prends son sperme en bouche, avec plaisir, puis l'avale en le regardant. J'aime le sperme, j'aime son goût.


Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant