Chapitre CXXVII - Bonjour Eva, tu vas souffrir !

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Le grand jour approche à grands pas. Le samedi en revenant de ses courses, il m'annonce qu'il a trouvé de nouveaux jouets. Il me paraît super satisfait de lui... Quand je lui pose des questions dessus, il me dit que je verrais bien le moment venu, qu'il n'allait quand même pas tout m'annoncer avant ! Je ne sais pas grand-chose à part que le fouet est plus grand que le martinet que j'ai dû mesurer pour être sûr que cela fasse plus d'effet, que ça s'enroule autour de moi. J'en frisonne d'avance, je me demande si les nerfs vont tenir, si je ne vais pas me dégonfler. Je suis à fond dans le boulot avec des petits soucis dont je n'arrive pas à lui parler, je me demande ce que ça va donner... Nous verrons bien, je prends le temps de trouver un carton qui va faire l'affaire pour protéger mon visage. Il le couvre bien et je pourrais le tenir pendant qu'il me fouette... Le jour j'arrive, je fais les courses en prévision de sa venue. J'ai envie de lui faire plaisir, je prévois un massage, un gâteau au chocolat et des pâtes bolognaises. J'essaie de mettre le moins de bazar dans la cuisine. Je mets tout en ordre, je prépare tous les jouets dans le salon. Il ne manque plus que lui, je suis impatiente, je languis. Et il m'annonce qu'il va être en retard sur le programme à cause d'un accident survenu devant lui ! Je me mets dans un état de désespoir, il n'a qu'une heure de retard, mais je calcule le temps qu'il va nous rester... On ne peut rien y faire, je dois prendre mon mal en patience. Je me poste dans le jardin, sur le pied de guerre. Je veux être là quand il arrive. Je suis face à l'entrée, tous les sens aux aguets, enfin surtout l'ouïe et la vue. Je tente de me changer les idées en bouquinant, mais rien n'y fait, je tourne, je vire sur mon fauteuil. Une voiture ! J'entends le moteur ! C'est lui ! Le voilà ! Je suis presque tout de suite sur le parking, il n'est pas encore descendu de la voiture que je suis à ses côtés, le cœur battant. Il me sourit en descendant, il me sonde déjà, je le sens, ne pas craquer... surtout ne pas partir en courant ! Tu l'as voulu le fouet ! Tu vas l'avoir ! Il va falloir assumer tes envies ! Ce sont les réflexions qui me traversent l'esprit à ce moment ! Nous nous disons bonjour et il me tire à lui avec force. Je sens son autre main se glisser sous ma robe. Je réponds à son baiser en m'accrochant à lui, heureusement qu'il est costaud. Quand il appuie sur mon clito avec force tout en m'embrassant, mon corps s'enflamme. Je pousse un petit gémissement dans sa bouche et nos langues se rejoignent avec plus de force encore et il s'amuse avec mon clito. Il le prend entre ses doigts, le pince, le malmène, l'écrase. Je gémis encore plus, nos bouches s'éloignent, je grogne sur son torse, et il me lâche. Je me rends compte que nous sommes à côté du chemin. Il me dit « Ne te fais pas de soucis, c'est moi qui gère !!! » Il prend possession de moi, de mes décisions, je dois changer de façon de vivre pour la soirée. Je ne dis rien et nous embarquons ses affaires dont un sac discret pour le commun des mortels, mais pas pour une soumise en demande de nouveautés. Il me donne une claque sur les fesses et en avant marche vers mon destin. Arrivés dans le gîte, il reprend tout de suite ses marques et surtout de la cour. Il me dit « Ici sera parfait pour le fouet. » Heureusement pour moi, il ne décide pas de faire son rire sadique. Il me regarde dans les yeux, il sort le fouet, il est beau, il est bleu ! Je suis déjà hypnotisé par lui, je vais enfin rencontrer son cuir... Il sort les pinces toutes en longueur avec la chaîne entre. Je sens que je mouille déjà, je suis heureuse de le retrouver et aussi de pouvoir tester de nouvelles choses, mon goût pour la soumission est bien là. Et il finit par sortir des serres joins en plastiques... Je le regarde, un peu surprise, ça ne me paraît pas bien solide pour nos jeux et pour les attacher à des poutres. Mon regard l'amuse, je le vois bien et il me dit « Allez ! A poil ! Que je te montre ». Je me déshabille vite fait et lui, bien sûr, bien plus lentement. Il se fait languir. J'en profite pour aller chercher mon collier. Quand je reviens, le portant fièrement, il semble satisfait. Nous connaissons tous les deux l'importance que nous portons à ce que je le porte. Il m'attrape le sein, le presse de ses doigts et passe le serre-joint autour. Il doit bien presser mon sein de ses doigts pour pouvoir installer le serre-joint. Il y parvient, je regarde ce qu'il fait dans un calme absolu. Je gère pour le moment, je me sens bien, nous commençons doucement. Il le resserre très fort, mon sein s'aplatit en son milieu, et il fait de même avec l'autre, les serre-joints exercent une forte pression sur mes seins. J'ai l'impression que les chairs s'écrasent, s'écartent autour de la pression, je respire profondément et il applaudit avec mes seins en me disant « Comment vas-tu Eva ? » Il sait que je déteste ce traitement, tout mon corps vibre au rythme des applaudissements en ayant le sentiment que ma peau s'arrache à chaque fois que ça claque. Je serre les dents en lui disant que tout va bien, et il continue de plus belle. Il ne me quitte pas des yeux pendant tout le temps qu'il s'occupe d'eux. Je ne le quitte pas non plus, je ne veux pas lâcher soumission de suite. Il finit par les relâcher en me disant « J'adore faire ça, je trouve que c'est beau !!! » Je lui réponds que je déteste, mais il ne me demande pas mon avis, il ne faut pas exagérer quand même... Il les enlève et glisse sa main sous mon sein. Nous savons tous les deux ce qui va se passer. Il commence fort, une nouvelle fois, mais il me surprend en donnant un coup de poing. Il tape mon sein comme ça, avec un grand coup de poing ! Je suis perturbée, je n'aime pas du tout, c'est pire que la claque ! Le sein s'écrase encore plus dans la main qui est en dessous. Il donne la mesure de ce que va être cette séance...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant