Chapitre LXII - Une séance brulante

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Je suis bien, Maurice, est bien installé, je commence à m'y faire. J'ai beaucoup d'espoir en lui, nous papotons encore un moment, en nous reposant. Il me demande au bout d'un moment si tout va bien et si l'on continue, je lui dis que oui bien sûr. Je lui demande si on peut enlever Maurice par-contre, il me l'accorde. J'ai envie et besoin d'être totalement à l'aise pour la suite du programme. Il me le retire et je me trouve soulagée d'un poids, il va me falloir un temps d'adaptation, j'en suis sûre. Il sort des bougies de son sac... Ah oui ! On en avait parlé, on voulait tester ça aussi. Je souris, j'adore tester de nouvelles choses. Avoir de nouvelles sensations, toujours plus fortes, allez toujours plus loin. Il part les allumer à la cuisine. Je décide qu'il est quand même plus prudent d'installer une serviette sur le lit, on ne sait jamais si je bouge trop. Il remonte, il approuve mon choix de la serviette et me dit « Bonne idée ; on ne sait jamais. Allez en place sur le dos ! ». Je ne me fais pas prier, je m'installe avec enthousiasme et rapproche en même temps Bob et Albert. Je sens la chaleur monter en moi. Il laisse les bougies fondre et pendant ce temps il met en route Albert et Bob, les deux vibre à l'unisson. J'ai besoin de ce plaisir, tout mon corps se raidi. Je remonte mes jambes, les écartant bien pour laisser le passage. Il est amusé de voir ma réaction, il sait que j'attends ça avec impatience. Il ne me laisse pas le temps de supplier, en m'appliquant de suite Bob sur le clito. Oh que ça fait du bien, mon plaisir monte d'un coup d'un seul. Je couine, j'en frissonne, je me tends, je respire un bon coup et me concentre sur le plaisir qui monte petit à petit... Il prend aussi Albert, alternant les deux, jouant sur mon clito, ne me laissant pas de répit. Avec Albert il joue aussi à le passer sur mon petit trou, et j'en ressens de petits frissons de plaisirs là aussi. C'est plutôt nouveau pour moi, un peu perturbant mais je me concentre sur Bob qui est lui le plaisir le plus intense. Il me titille le clito, l'écrase, fait des va et vient en maintenant toujours la pression, avec Albert aussi. Je ne suis plus rien, pendant qu'il s'amuse avec moi, et que mon cerveau se déconnecte complétement, je ne pense plus à rien. Je pars dans un premier orgasme, dans un plaisir immense, et puis plus rien... Mais que fait-il ? Ils sont en panne ? Non je les entends toujours vibrer. Et il revient mais là ce coup-ci, c'est pour attraper la bougie. Je ne voyais pas ça comme ça, mais il me fait couler la bougie sur le ventre. L'effet est immédiat, je redescends et perçois une légère brulure. Il applique la seconde sur les seins, là c'est bien plus intense. J'ai envie de mettre les mains mais je me retiens, la douleur est supportable. Puis il reprend Bob et Albert et recommence sa douce torture de plaisir. Il alterne les deux, joue avec. Il est très concentré, et moi je gémis de plus belle, je me perds encore plus dans le plaisir. Il ne me lâche pas, et je monte de plus en plus sous pression. Entièrement dans mon plaisir, je resserre les jambes, je suis rappelée à l'ordre par sa voix tonnante. Je dois me faire violence pour les rouvrir mais j'obéis en poussant un cri avec l'orgasme qui me transperce. Je ne le vois pas lâcher les jouets, je ne comprends pas, en respirant et reprenant mes esprits. Je jette un coup d'œil aux bougies qui n'ont pas assez fondues. Et il remet ça avec Bob et Albert, mais plus en douceur ce coup-ci, c'est plus subtil, moins intense, il joue sans mettre la pression. Je prends doucement du plaisir. C'est bon aussi de prendre son temps dans le plaisir de mon côté aussi. Je gémis doucement, le plaisir remonte, je suis parcourue de frissons de temps en temps, de petits spasmes me parcourent aussi, mais tout se passe en douceur. Il me fait languir, mais c'est un moment intense pour moi aussi, je lui laisse le temps de me donner du plaisir. Je reste sagement à ma place, tout en poussant de petits gémissements, car le plaisir monte toujours. Plus en douceur mais toujours aussi intense. Bob fait son œuvre, avec l'aide d'Albert qui lui aussi est actif en douceur. Il joue, s'amuse à me faire monter et descendre. Je respire fort, je suis transpirante, son petit jeu est terrible !!! Mais je décroche totalement, je ne suis plus rien, juste une marionnette incapable de réfléchir. Je suis au point de le supplier quand il met fin à ce petit jeu en écrasant mon clito. Je ne me fais pas prier, j'explose, j'hurle de plaisir, je me tends, mon corps se soulève. C'est si fort, si bon, je retombe haletante, remplie de désir, de bonheur, de laisser-aller. Il ne me laisse pas reprendre mes esprits, et retourne chercher les bougies. Je le regarde faire. Il me fait couler la bougie sur les seins, ne me quittant pas des yeux. Je me tortille, ça brule, ce n'est pas agréable, cela reste supportable mais c'est une drôle d'impression, de chaleur. Nous sommes quand même un peu déçus, nous nous attendions à plus de sensations. Nous ne nous arrêtons pas à ça et Dominique reprend Bob et Albert, et recommence son jeu. Il me refait monter la pression, doucement, il voit bien que je languis, mais il prend son temps, jouant plus sur mon vagin avec Albert, je gémis grâce à bob. Merveilleux Bob qui me procure tant de plaisir, il me fait mal avec Albert en voulant le faire rentrer plus loin et je le lui dis. Il me dit « Ah oui c'est vrai tu es vierge de ce côté-là ! Il va falloir s'en occuper ! ». Il a dit ça comme ça, juste une réalité. Je me contracte, le coup est dur, dévastateur, il a tapé là ou ça fait très mal. Je le garde pour moi, mais les larmes montent. J 'arrive quand même à exploser avec l'aide de Bob, mais le coup est dur à encaisser. Il me laisse seule sur le lit, je me mets en boule, et je lâche les nerfs. Je pleure sans retenue, je suis dévastée, cela reste pour moi l'un des plus grands échecs de ma vie. Je l'entends dans la salle de bain. Il me demande si ça va, je réponds un petit « Oui », et là il sait, il me dit « Non ça ne va pas toi ». Il revient, se couche face à moi, et me demande ce qu'il se passe. Je lui explique. Il me dit « Je ne voulais pas te faire de mal en te disant ça. Mais tu me connais je mets toujours les pieds dans le plat, et je ne sais pas forcément dire les choses de la bonne façon ». Cela me fait rire, il ne me loupe jamais, je vois bien qu'il n'a pas voulu me faire du mal. C'est aussi moi qui ne suis pas bien, et cela me travaille depuis quelques temps déjà. Mon humeur se détend un peu. Il commence à gratter la cire. Je lui dis « Ca n'a pas été une réussite totale les bougies... ». Il me dit « non » avec un petit sourire « On teste de nouvelles choses, elles ne sont pas toujours une réussite, heureusement les échecs sont rares, on préfère quand ça marche bien ! On racle la cire en papotant, heureusement que la serviette est en dessous, il y a une sacrée quantité quand même. Nous plaisantons, puis nous allons nous glisser dans les draps après le grand nettoyage. Lui s'endort vite, moi je me mets à trembler, et mon cerveau turbine. Pas de pleurs, mais je réfléchis à ma vie, à mes loupés, mais aussi à mes nouvelles réussites depuis un an... Et je prends aussi à ce moment-là la décision que je dois persister dans mes réussites. Quand il se réveille, il me trouve tremblante, pas bien. Les nerfs ne se calment pas. Il me dit « Allez pour une fois je vais faire une exception ». Je ne comprends pas sur le coup, jusqu'à ce qu'il passe son bras autour de moi pour un câlin. Je suis surprise, ce n'est pas dans nos habitudes, mais je l'accepte, j'en ai besoin, j'ai besoin de sentir son soutien. Il m'apaise, mes tremblements diminuent...

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant