Eva soumise et heureuse

Chapitre LXXXVII - Une bonne douche... dorée

Et il prend la décision de me détacher les seins. Il prend le premier nœud, le défait et, sans ménagement aucun, il enlève la ficelle. Elle me brule un peu au passage mais je ne dis rien. Je préfère m'écraser, je pense qu'il vaut mieux... Il finit de l'enlever et en me regardant toujours dans les yeux. Il l'a réenroule correctement comme toujours. Il aime les choses bien rangées, tout mon contraire là-aussi, je dois apprendre de lui. Il me dit « Comment vas-tu Eva ? » Je lui réponds un petit « Pas trop mal ». Il n'est pas dupe, je pense il sait que je suis déjà en train de me remettre en question et sait que mon cerveau turbine à fond. Il me demande si j'en suis sûre en me prenant les tétons un dans chaque main, et applaudissant avec les claquant l'un contre l'autre. Là ça résonne jusque dans ma tête ! Il les claque très fort et, à chaque claque entre eux, j'ai l'impression qu'ils vont exploser ! Ils s'écrasent et rebondissent. Il les remonte de nouveau une nouvelle fois très haut puis les relâche. Ils s'écrasent, je pousse un petit couinement, je suis soulagée que cela s'arrête enfin. J'ai dû serrer les dents, repousser une nouvelle fois ce que je pouvais encaisser, mais aussi que ça fait du bien de dépasser ses limites dans la douleur, d'aller toujours plus loin. Je prends de plus en plus de plaisir dans cette souffrance. Il me dit « Allez j'ai envie de faire pipi... ». Je ne fais pas ma fière et n'ose pas faire une mauvaise blague comme à mon habitude. La douche est assez grande pour que je sois à l'aise pour pouvoir m'accroupir, c'est déjà ça. Je deviens vite claustrophobe dans ce cas-là. Autant le fait de me retrouver attacher sur un lit ne me pose aucun souci au niveau mental. Je résiste et ne je sais que je ne crains rien, bon peut être tant que c'est avec lui... Je ne suis pas sûre qu'avec un autre, il en soit de même. Mais alors me retrouver dans un endroit où je ne me sens pas libre de mes mouvements, et surtout avec des portes, même si elles s'ouvrent et se ferment très bien, me pose un vrai souci. Heureusement il ne le sait pas... Bon enfin là c'est foutu et je suis persuadée qu'il trouvera un nouvel exercice pour régler ce problème de claustrophobie. À chaque problème une solution comme il me dit souvent, et s'il n'y a pas de solution c'est qu'il n'y a pas de problème. Et il a tout le temps raison sur ce point-là et bien d'autres bien sûr. Donc je prends le temps de rentrer dans la douche avec ma boule au ventre comme toujours. Je le regarde, moi tout en bas, lui tout en haut. Je me sens si rabaissée à ce moment-là, c'est toujours un moment très dur ou humiliation et son plaisir à lui vont de pair. Il ne l'humilie comme ça que rarement, en réalité que dans ces cas-là. Je vais dire même et heureusement car je ne suis pas sûre de pouvoir supporter plus. Mais cela fait partie de la soumission et si je ne le faisais pas, je ne serais pas en difficulté et cela serait bien moins stimulant, mais bon voilà, c'est mon épreuve. J'ai envie de réaliser ce qu'il me demande, même si parfois, comme là, j'ai beaucoup de mal à le faire. Lui n'a aucune pitié, aucun ressenti. Je ne sais toujours pas s'il sait ce que je ressens quand je suis dans cette position. Je pense que ça ne le touche pas. J'en ai déjà les larmes aux yeux. Je prends une grande respiration pour ne pas supporter l'odeur, et il commence à me faire pipi dessus. J'ouvre la bouche car je sais qu'il va me le demander, je me veux obéissante. Il me prend les cheveux et approche ma bouche de lui et je ne résiste pas. J'accompagne son mouvement, pendant que son urine entre dans ma bouche par petites giclées car oui, il aime que ça prenne du temps, il contrôle très bien la chose, il est même très fort à ce jeu-là. Il peut faire durer le moment pour son plus grand plaisir. J'accepte sans broncher, prenant sur moi, je ne veux toujours pas le décevoir, cela suffit pour cette fois-ci ! Je reste bien dans ma position, mes muscles se contractent, ils tirent tous mais je résiste. Je retiens ma respiration au maximum, me concentrant sur l'objectif, TENIR. Je recrache régulièrement un petit peu de son urine. Si elle va trop loin dans ma gorge, l'effet est direct et je recrache de suite. Il me dit « Ferme la bouche Eva ! ». Je tente une première fois, une catastrophe, je recrache tout sans pouvoir la fermer plus d'une seconde. Mon corps, mon mental ne veulent pas ! Je ne peux pas, les larmes montent de suite. Il me demande de réessayer. Je m'exécute mais pareil. Tout est recraché, je suis dévastée. Je ne peux pas, le corps et la tête ne veulent pas. Lui, comme toujours, me dit que ce n'est rien et, pour finir, il continue à me pisser dessus sans rien me demander. Je suis toujours dans les échecs pour moi, j'ai l'impression de repartir en arrière en tout, en soumission, dans ma vie. Je me laisse uriner dessus sans rien dire, gardant en moi toute cette colère contre moi-même. Quand il a fini, il m'aide à me redresser. Mes muscles sont tellement contractés que c'est douloureux et c'est difficile de se redresser. Il me tend le gel douche et je lui demande pardon de ne pas avoir réussi. Ill éclate de rire et me dis « Ne pas avoir réussi quoi ? Tu as fait de ton mieux et tu ne me déçois jamais, je savais que tu n'allais pas réussir ce coup-ci mais on l'a quand même fait... ». Je me savonne fort, en repensant encore à cet échec. Cette séance est une vraie catastrophe. Jje ressors de la douche frigorifiée tellement dans les nerfs de ne pas avoir réussi une nouvelle fois. Je le rejoins dans la chambre. Il m'attend avec le gros Bob et Albert ! Je m'allonge sans hésitation, avec un grand sourire. Je remonte mes genoux et écarte les cuisses pour lui laisser toute la place nécessaire. Il me demande si je suis prête. Je lui réponds que oui bien sûr ! Et il plonge immédiatement Albert sur mon clito. Je sens tous mes sens s'éveiller, ceux du plaisir qui montent en flèche, je m'emballe de suite, les nerfs se relâchent sous le plaisir et je m'abandonne totalement...