Chapitre XCII - La victoire et ... la Victoire !

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Je frissonne en le voyant revenir avec ces deux énormes godes. C'est toujours le moment fatidique quand il les sort où je me demande si je vais enfin y arriver. Et là je trouve que c'est super tôt dans la séance ! Mais bon j'encaisse et me prépare autant que je peux en me disant que ce n'est pas tant une récompense que ça. Sent-il que je suis en train de me tendre et que je me mets déjà à stresser ? Je recommence à entendre le doux bourdonnement de Bob qui se remet en route. Je me détends avant son approche, j'écarte les jambes. Je suis accro à Bob ! Il me rend dingue lui aussi ! Il l'applique direct sur le clito. Effet immédiat je me remets à couiner et je pose ma tête sur la table, à sa totale merci. Je me mets en condition pour que ça se passe bien en me vidant la tête. Il joue avec Bob, mon clito est trituré, broyé, écrasé, il ne l'épargne pas du tout, pour mon plus grand plaisir et surtout cela me permet de me détendre pour la prochaine épreuve. Je glisse sur la table en prenant énormément de plaisir. Je me dis à ce moment-là que je vais enfin peut-être y arriver. Pour le moment je me concentre sur mon plaisir en tentant de me détendre le plus possible et ça il sait y faire. Je recommence à baver de plaisir, je glisse dessus, c'est affreux et si bon à la fois. Ce doux mélange qui nous fait sentir totalement soumise et ce moment de honte. Mais la honte disparaît dans le plaisir quand l'orgasme arrive, m'emporte où je me tends de plaisir, où plus rien ne compte, le moment où je suis son jouet, incapable de lui résister et me sentant comme son jouet avec lequel il peut faire ce qu'il veut sans que je ne dise rien, sans aucune envie de rébellion, ce moment où je lui appartiens corps et âme, où je ne suis plus moi. C'est un moment fantastique pour moi où je peux relâcher mes pensées, ne plus prendre de décision. Je sais qu'il connaît jusqu'où je peux aller sûrement mieux que moi. C'est une histoire de confiance absolue, et il en profite bien lui aussi... Je suis trempée et remplie de plaisir quand Bob s'arrête. Je regarde dans sa direction, il prend le lubrifiant et numéro 3. Il ne passe pas par l'étape du 2 ? Je pense que c'est une bonne idée mais je ne risque pas de le lui dire à ce moment-là. Il le lubrifie bien, je le regarde faire, et quand il approche, je repose ma tête sur la table, respirant calmement. Je veux y arriver au plus profond de moi. Il pose sa main sur mon dos et dit « Allez ! On y va ! ». Il le pose sur ma rondelle et commence à pousser doucement par pressions régulières. Je me concentre sur ma respiration et ma volonté d'y arriver. Mes pensées vont vers Bob aussi, cela m'aide à me détendre pendant l'avancée prudente de numéro 3. Il ne me met pas la pression et je sens que je lutte beaucoup moins que d'habitude contre mes démons. Je sens bien que j'ai envie de dépasser beaucoup de choses sur cette séance, et que je vais y parvenir. Lui aussi il le sent sûrement, m'encourageant doucement de la voix et de sa main. Une caresse ? Je n'irais pas jusque-là mais une main rassurante, cette main qui me donne encore plus confiance en moi et en mes capacités et bien sûr sa voix rassurante et apaisée. Tout cela met en moi une volonté absolue d'y arriver. Et dans cette position je me sens plus à l'aise, j'ai l'impression qu'il rentre plus facilement ! Je ne bronche pas, je sens bien qu'il avance de plus en plus mais je me préoccupe moins de son avancée. Je glisse sur la bave, je me raccroche à la table. Mais je ne me tends pas, je reste calme et docile, je prends le temps de respirer, d'oublier un peu ce qu'il est en train de me faire et cela fonctionne. Il va de plus en plus loin, de plus en plus profondément et mes entrailles s'écartent sur son passage. Je le ressens bien sûr mais je suis totalement détendue. Et il avance... De petits passages sont plus durs que d'autres, bien sûr, je ne peux pas dire que ça passe comme dans du beurre, mais il progresse sans trop de résistance, avec quelques couinements et grognements bien sûr, mais rien de ce qui se passe habituellement. Puis d'un coup il me dit « ça y est Eva ! Tu l'as au fond ! Il est rentré ! Il est au bout ! Tu y es arrivée !!!! » Et là mon satané cerveau se met en route, se révolte, réagit, il le ressent tout au fond et ne le supporte pas. Je le supplie de l'enlever, d'arrêter ce calvaire. Je ressens tout d'un coup sa présence que je ne sentais presque pas jusque-là. Je supplie Dominique de l'enlever... Il sent la panique m'envahir, je crierais presque tellement c'est dur pour moi. Il l'enlève enfin. Il me demande comment je vais et me félicite. Je suis tremblante sur la table, je ne peux pas me redresser, je suis allée au bout de ce que je pouvais supporter mais voilà, numéro 3 est enfin entré jusqu'au fond... Il me félicite encore. Il me dit « Tu vois ! Tu y es enfin arrivée ! ». Je sens sa fierté dans ses mots et moi aussi je suis fière. Je viens de parvenir à mes fins, grâce aussi à lui bien sûr. Après petite conversation, 2 mois après le début cette aventure, Dominique m'a avoué qu'il avait poussé un coup sec pour qu'il rentre jusqu'au bout. Je n'en dirais pas plus sur mes pensées, sur cet aveu où je risque de dépasser mes droits de soumise. Vu ce qu'il prévoit pour la suite, je ne veux pas prendre de risque. Je pense avoir fait un black-out ce jour-là mais je suis toujours satisfaite et heureuse d'y être parvenue. Il me demande de me relever. Je suis tremblante et déjà bien entamée par cette fessée intense et numéro 3 qui est enfin entré. Il me demande si je vais bien. Je n'en suis pas totalement sûre, je suis super heureuse d'y être arrivé. Mais il m'a bien dit « Dommage que tu n'es pas accepté de le garder ». J'ai totalement paniqué, je le reconnais, mais un jour je suis sûre je l'accepterais, enfin lui il en est sûr, moi j'ai toujours des doutes énormes. Il me demande si on continue ou si nous faisons une pause. Je lui dis que ça va, qu'on peut continuer sans souci. Il est satisfait de ma réponse et il sort les sangles. Je prends les menottes en le voyant faire et je commence à les installer. Je commence à avoir le coup de main maintenant, toujours un peu de mal avec le poignet droit alors il me donne toujours ce petit coup de main qui va bien. Il me place au milieu de la pièce, sans un bruit, sans un mot. Je tends mes poignets pour qu'il m'attache, il les tend avec force en croix, bien haut. J'en ai le souffle coupé, je sens que je vais déguster. Cela ne se fait pas attendre. Il attrape la cravache et il vient devant moi. Son regard me transperce, j'essaie de le soutenir mais ce n'est pas toujours simple. Il m'intimide quand il est comme ça. Il arme la cravache et l'abat sur mes seins. Elle est forte et puissante, je l'ai bien choisie, elle est très douloureuse, trop raide je dirais même, elle ne plie pas et le bout et très rigide lui aussi. Il n'est pas tendre dans les claques, je serre les poings, me demandant si je vais pouvoir tenir le coup longtemps avec cette intensité. Il doit se rendre compte et baisse un peu le niveau, ça me rassure. Je vais pouvoir tenir un peu plus sur la longueur. Les claques résonnent dans la salle. Je grimace quand il se rapproche des tétons. Je suis beaucoup plus sensible à ce niveau-là. Il en rajoute en me disant « Ah oui c'est plus douloureux quand c'est moi qui les donne, je ne fais pas semblant !! » Ah ça je ne peux pas nier que je ne me donne jamais de tels coups pendant que je suis seule chez moi devant la caméra. C'est impossible de faire la même chose. Et il continue sur le ventre, sur les seins, il alterne. J'encaisse, je ne dis rien, je ne bouge pas beaucoup, je relève les yeux. Je prends du plaisir à prendre ce qu'il me donne. Je ne pense à rien à part à encaisser et à rester bien en place. Je sens des changements en moi mais je n'arrive pas à poser de mots dessus. Est-ce dû à ces changements mais pour l'instant, une nouvelle Eva émerge. Je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas envie ni ne ressens le besoin de craquer. Il passe derrière moi avec le martinet et il me fouette le dos. C'est intense, il fait pleuvoir les coups, laissant mes fesses un peu de repos. Je tiens, je veux aller au bout de ce que je peux supporter. Voulant encore et toujours me prouver que je suis capable d'aller plus loin dans la douleur, et lui aussi je crois qu'il me teste. Il reste silencieux, juste de temps en temps entre les claques on entend un couinement, un grognement, un "aïe". Mais je ne bouge pas, je reste droite dans la souffrance, ne me dérobant pas. Je prends les coups sans broncher et il alterne entre les bouts de lanières et les coups groupés. Il ne me laisse pas une seconde de répit. Et tout s'arrête d'un coup. Je n'étais pas loin de lâcher « Soumission ». Il repasse devant moi, me regarde droit dans les yeux et me demande ce qu'il m'arrive, que je suis en train de changer. Mon cerveau se met en mode réflexion, un peu paniqué, me demandant si c'est en bien ou mal... Je ne sais pas quoi répondre. Je lui dis doucement « Je ne sais pas, je sens bien qu'il se passe quelque chose de nouveau en moi mais je n'arrive pas à poser de mots dessus ». Il me dit « Tu deviens totalement maso Eva ». Il me dit « Tu ne craqueras plus pour craquer, pour sortir des choses, tu n'en as plus besoin maintenant... Cependant tu aimes prendre les coups pour ton plaisir, pour tout donner, tu n'as plus de raison autres que ça pour subir ! J'aime comme tu évolues...»

Eva soumise et heureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant