Chapitre 114. « Bientôt j'me barre au Mexique »

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Coucou ! Je suis vraiment désolée de poster si lentement. Mais c'est bientôt la fin de l'histoire (bon il reste quand même une bonne dizaine de chapitres je pense), et j'ai peur de la bâcler donc je me remets tout de suite en question dès que j'ai une idée. 

Si les personnages vous manquent, vous pouvez toujours aller lire les bonus, j'ai beaucoup d'idée en ce moment et je risque de plus poster là-bas qu'ici. J'ai posté un bonus sur le mariage de 2zer et Julia d'ailleurs si ça vous intéresse.

Mais vous inquiétez pas, j'abandonne pas Jim Morrison, je veux juste pas vous décevoir au niveau de la qualité des chapitres. Même si je sais que celui-là est pas ouf, je vous promets que les galères vont arriver à un moment donné. Bref !

Des bisous ! ❤

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Endelig ! s'écria Stine qui, après ces onze heures de vol, avait abandonné l'idée de communiquer autrement qu'en norvégien.

Comme elle disait : enfin ! Après onze heures de souffrance, nous étions enfin arrivées sur le sol mexicain.

Julia souriait de toutes ses dents, être sur ses terres natales lui donnant un regain d'énergie phénoménal. Alice, Stine et moi étions épuisées et n'arrêtions pas de râler, tandis qu'Ines semblait excitée comme une puce.

– Je sens que ça va être les meilleures vacances de ma vie, lança cette dernière.

– Ne te réjouis pas encore, il nous reste de la route pour aller chez les parents de Julia, lui annonça Stine.

– Combien de temps ?

– Deux heures de voiture à peu près, fit Julia. Allez, on se motive les filles, après je paye un coup à tout le monde à Tulum !

– Fallait le dire plus tôt, lançai-je dans un grand sourire.

– T'es vraiment une alcolo Malou, soupira Alice. Tu vas avoir besoin d'une greffe de foie un jour...

– Je prendrai un morceau du tiens, lançai-je joyeusement en entourant les épaules de ma petite sœur de mon bras libre.

Un bus et un petit somme plus tard, mes amies et moi arrivions dans la ville natale de Julia.

De nouvelles maisons le disputaient à celles ressemblant en tout point à des cabanons. Certains toits étaient presque effondrés et de nombreuses habitations semblaient à l'abandon. Certaines maisons semblaient en perpétuelle construction, et je remarquai que certaines avaient le même aspect qu'à ma première venue un an plus tôt. À côté de cela, d'autres habitations très modernes cachaient des piscines et de belles terrasses.

Dans l'ensemble, ce n'était pas une jolie ville. Mais lorsqu'on se baladait sur la côte et vers ses ruines mayas, on comprenait pourquoi les habitants en étaient si fiers, et pourquoi les touristes y affluaient en période estivale.

Tous les souvenirs du mariage de mon amie avec Théo me revinrent en mémoire alors que nous nous baladions dans les larges rues de la ville. Ce jour avait été magnifique, et je rêvais de pouvoir le revivre. Mais accompagnée de Deen en tant que petit ami cette fois-ci, et pas en tant qu'ex.

– Bon, et ben à notre seule soirée tranquille avant que les déglingos arrivent, s'exclama Alice en soulevant son verre.

Assises à une terrasse que nous avions squatté tous les jours durant notre séjour un an auparavant, nous pouvions enfin souffler avant de passer voir les parents de notre mexicaine préférée.

Jim MorrisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant