Coucou !
Alors aujourd'hui, c'est peut-être le déconfinement (encore une fois, faites attention à vous et à vos proches s'il vous plaît), mais il y a une chose dont on ne parle pas assez, c'est que c'est aussi l'anniversaire de Jim Morrison ! (l'histoire j'entends)
Et oui, ça fait bel et bien un an que j'ai commencé à publier. Ça me fait vraiment très bizarre de me dire ça. De me dire qu'au tout début, seule une dizaine de personnes lisait la petite vie de Maëlle parce que j'écrivais sous la forme d'une fanfiction autour de Deen Burbigo sans récolter un seul commentaire, et que vous êtes maintenant des centaines à suivre mes histoires.
J'arrive pas à croire qu'aujourd'hui vous vous soyez plus attachés aux personnages que j'ai créée et que j'aime du fond du cœur plutôt qu'aux personnages réels, que l'histoire culmine à presque 200.000 lectures, et que sur tous les chapitres que je sors j'ai toujours une avalanche de commentaires. Et pourtant avec le recul, qu'est-ce que je trouve certains chapitres mauvais ! Mais vous êtes toujours là (sans jeu de mot), et je trouve ça fou.
Je pense que les mots ne suffiront jamais à vous dire à quel point je vous suis reconnaissante de m'avoir accompagnée jusque là, même plusieurs mois après la fin de l'histoire. Et c'est pas fini...
Tout ce que je peux vous dire, c'est merci mille fois, vous êtes toutes géniales, et mes serial-commentatrices (faudrait vraiment que je trouve une autre manière de vous qualifier un jour) je vous aime tellement putain, vous avez pas idée !
Enfin voilà, j'ai encore parlé pendant mille ans, merci à celles qui ont eu le courage de lire tout mon blabla.
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture, je vous aime ! ❤
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Aujourd'hui, et pour la première fois de ma vie, j'allais jouer un match de finale européenne à Paris. Et ce, devant à peu près toutes les personnes que j'aimais.
La plupart de mes amis de L'Entourage avaient pris leur place, déguisés depuis des jours pour se fondre dans la masse de supporters Français. Ken était à deux doigts d'adopter pour toujours son maquillage bleu-blanc-rouge, son chapeau d'Astérix et ses lunettes tricolores, pour le plus grand malheur d'Alice. Moh, quant à lui, avait regretté son choix du déguisement silhouette sous lequel il étouffait depuis plusieurs matchs. Tarek et Hugo avaient eux aussi fait le déplacement, des bonnets poulet tricolore sur la tête, et mon père, Fanny, Sohel, Raphaël et Ines étaient venus à Paris pour l'occasion. Je savais aussi que Stine regarderait le match avec son équipe depuis les sièges qui leur étaient réservés dans le public, elles qui avaient été éliminées du championnat durant le tour principal.
Mais ce qui me motivait le plus aujourd'hui et me donnait la rage de vaincre, c'était la présence de Jude dans les bras de son père au milieu de nos amis. Deen ne l'avait amené que pour la finale, et j'étais aux anges en pensant que mon fils allait me voir jouer pour la première fois. Du haut de ses un an, il ne comprendrait probablement rien, et j'étais bien consciente qu'il se désintéresserait très vite du match, mais sa présence à l'AccorHotel Arena me faisait un bien fou.
L'AccorHotel Arena... Rien que ça !
J'avais peut-être été sacrée championne du monde un an plus tôt, mais jouer à Bercy devant toute ma famille me réjouissait encore plus.
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Jim Morrison
FanfictionÀ la base, j'avais pas envie de me retrouver à Paris. Mais bon, j'allais pas cracher sur l'opportunité. Je laissais presque toute ma vie derrière moi, mais je me doutais pas qu'il suffise d'une côte fêlée et d'une cheville cassée pour me trouver une...