Remerciements et beaucoup de bla-bla

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Ok, j'avais dit que je publierai un deuxième épilogue un peu moins triste... Mais je trouvais que le deuxième était beaucoup moins bien écrit que le premier, et qu'il dénotait trop. Par contre ce que je peux faire si vous voulez, c'est le poster en bonus ?

Bref.

Alors tout d'abord, je voulais m'excuser pour cette fin, mais je me voyais pas finir sur un épilogue tout joyeux et enchaîner directement avec la suite de ce tome sans avoir rendu un vrai hommage à Raphy. Parce que, quoi qu'il arrive, on savait tous qu'il allait mourir tôt, alors il méritait au moins que sa mort ai son propre chapitre plutôt qu'une simple mention au détour du phrase dans le prochain tome.

Prochain tome ? J'ai bien dit prochain tome ? J'ai bel et bien dit prochain tome, mais j'y reviendrai plus tard, après mes petits remerciements d'auteure endeuillée.

Sachez d'abord que je suis super émue de terminer cette histoire, j'aurais aimé pouvoir la continuer pendant encore longtemps, mais j'avais trop peur de me lasser et de commencer à détester mes personnages. Je suis sûre que vous vous seriez lassé aussi, j'avais plus grand chose à raconter.

Je voulais vous remercier infiniment pour tout ce que vous m'avez apporté. Vraiment. Je dis pas ça parce que ça fait poli de faire une page de remerciements, vous avez pas idée à quel point je vous suis reconnaissante. 

À tous ceux et celles qui ont lu ou relu mes chapitres, ceux qui ont voté, ceux qui ont commenté, ceux qui débarquaient deux secondes et demies après que j'ai publié comme si vous attendiez que ça, ceux qui m'ont envoyé des messages privés qui m'ont presque fait pleurer (vous vous reconnaîtrez). Merci, mille fois merci. 

Sans raconter ma vie, ces derniers temps, j'étais pas au top de ma forme mentalement. Vous avez pas idée à quel point vos messages et vos commentaires m'ont reboostée, vraiment. Je sais pas ce que je pourrais faire pour vous remercier, si vous avez des idées, dites-le moi, j'aimerais tellement vous rendre ce que vous me donnez.

Je m'étais promis de pas faire de remerciements visés, mais vous, les serial-commentatrices, m'avez tellement apporté avec vos commentaires et vos messages de soutiens que je suis obligée : 

Merci à Marie ; si tu arrives un jour à continuer cette histoire et que tu tombes sur cette page, sache que je t'ai pas oublié, t'es une des premières à m'avoir suivi et à avoir commenté chaque phrase de chaque chapitre.

Merci à Amel ; t'es là depuis si longtemps ! Merci pour tes gentils commentaires et tes petits messages privés, t'as toujours été un amour avec moi.

Merci aux Inès ; je suis désolée de vous avoir fait pleurer toutes les deux, j'ai presque réussi à former un couple pour l'une (vraiment, on était à ça), et l'autre m'a parfois fait mourir de rire avec ses petites menaces (désolée que l'épilogue n'ai pas été un petit rhume pour le bébé).

Merci à Estelle ; tes commentaires tout doux me faisaient toujours sourire bêtement, t'es trop mignonne.

Merci à Eda ; tu m'as soutenu autant que tu m'as détesté dans mes moments de sadisme, et je sais qu'au fond de toi tu es heureuse de cet épilogue. D'ailleurs, ta théorie selon laquelle Maëlle allait mourir à vingt-sept ans comme Jim Morrison était totalement vraie, c'est pour ça que j'avais choisi cette chanson pour le titre. Mais je me suis beaucoup trop attachée à tous mes personnages pour les faire souffrir une fois de plus. Du coup, le titre de l'histoire n'a plus aucun sens, j'ai juste essayé de caser Deen en train de chanter le refrain, mais tant pis, au moins Maëlle vit.

Merci à Juliette ; toi et tes petits commentaires trop mignons. Vraiment, tu es adorable, je fond à chaque fois que je lis ce que tu écris. Encore il y a quelques minutes avec tes commentaires sur le prologue tu m'as trop touchée. 

Merci à Lola ; j'aurais bien écrit des remerciements ici, mais je suis trop pudique et tu sais déjà tout ce que je pense de toi, t'es géniale ma belle.

Merci à Anaïs ; cette sale gosse que tu es, tu m'as fait mourir de rire tellement de fois, j'attendais toujours tes cinquante-deux commentaires avec impatience, et j'ai hâte de voir ce que tu vas bien pouvoir pondre par la suite. Je fais la meuf en te prenant un peu de haut parce que depuis le début on passe notre temps à s'insulter, mais je t'adore. Ah et, arrête d'espérer d'épouser Deen un jour, c'est mort ! Son cœur est pris par Maëlle et il y aura que dans la fin alternative dans laquelle elle se barre avec Sneazz que t'auras tes chances.

Le problème avec ce genre de remerciements, c'est qu'on peut toujours oublier des gens... Vous vexez pas si je vous ai oublié, je vous aime tous et toutes... J'ai seulement cité les cinglées qui commentaient cinquante fois par chapitre (« cinglées » c'est ma façon à moi de vous dire que je vous kiffe hein).

Merci à celles qui sont là depuis le début ; je vous vois voter à chaque chapitre, et même si je ne connais pas vos noms, c'est un plaisir de voir s'afficher votre pseudo et votre photo de profil à chaque fois.

Merci à toutes celles qui ont ajouté Jim Morrison à des listes toutes mignonnes genre « coup de cœur » ou « emoji cœur » ; ça me touche beaucoup plus que ça ne devrait.

Merci à celles qui ont pris l'histoire en cours de route et qui ont pris la peine de voter pour chaque chapitre ; parfois je rentrais chez moi et j'avais une trentaine de notifications provenant des mêmes personnes. Changez pas, vous êtes géniales !

Merci de vous être autant attaché aux personnages ; à la base, c'était une fanfiction, mais je voulais vraiment que les personnages que j'invente prennent plus de place que les vrais personnes. Alors merci de vous être attaché à Tyler, Maëlle, Raphaël, Hugo, Tarek, Sohel, Ishane, Alice et tous les autres. Je les aime autant que vous.

Bon voilà, je crois que c'est tout ce que j'avais à dire...

Je sais pas par quoi conclure, je suis vachement émue de terminer cette histoire.

Est-ce que si je vous dis que je vous aime ça vous va ?

Je vous aime. ❤

Jim MorrisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant