Protection Ardente - Tome 1

* Chapitre 89 *

Ces derniers jours, nous continuons de visiter la ville. Je prends un tas de photos pour ma famille une fois rentré au pays. Nous sommes allé à plusieurs endroits incroyable, je suis si heureuse de visiter ce pays et à jamais j'en suis reconnaissante à mon mari.

J'ai enregistré tout sur l'ordinateur pour les envoyer à ma famille. Et je pourrai même les imprimer. Surtout celles où je suis avec Damien, j'espère en faire des cadres comme cadeau de noël pour Damien. Je sais que je suis extrêmement en avance, mais au moins j'ai quelque chose à lui offrir pour une fois.

Mais je ne cesse de le ruiner en nourriture, à chaque heure je demande quelque chose à manger ce qui l'inquiète beaucoup ; car jamais je n'ai autant mangé de ma vie. Moi je ne me pose pas plus de question, je tente de le rassurer lui disant que nous bougeons énormément étant donner que nous visitons la ville de fond en comble.

Le lendemain, j'ai appelé ma famille en appel vidéo pour les assurer que tout se passe merveilleusement bien. Je leur ai montré notre chambre d'hôtel, la vue incroyable que donne la ville de la chambre. Je leur ai raconté ce que nous avons fait, le musée et l'opéra. Je ne cache pas ma déception d'avoir eu l'interdiction de prendre des photos au musée. J'aurai tant aimé leur montrer une fois rentré. Ma soeur m'a bien charrié sur le luxe que Damien m'a offert, elle m'a même ouvertement traité de diva. Bien sûr, j'en ai ri.

Mais quand j'ai mentionné l'opéra, ils ont tous été surpris. Surpris que j'ai pu aimé cela, je n'ai pu m'empêcher de leur raconter l'histoire car j'en suis encore très touchée. Dans tous les cas, je ne peux cacher ma joie ; à quel point je suis heureuse et ils le voient tous.

Après leur avoir parlé pendant une heure ou deux, je décide de mettre fin à l'appel leur promettant de leur montrer les tas de photos que j'ai prise à notre retour. Et en retour, ils me souhaite tous le bonheur. Je pose l'ordinateur heureuse de leur avoir parlé, et je me lève du lit pour rejoindre Damien dans le sejour. Ce dernier est assis sur une chaise en train de faire je ne sais quoi sur la table, il regarde quelque chose qui me semble être un calendrier.

Je me place derrière lui entourant mes bras autour de son cou, j'enfouis mon visage au creux de son cou pour l'embrasser ; ce qui lui donne un sourire lâchant la calendrier pour poser ses mains sur bras.

- Tout s'est bien passé ? Me demande-t-il tournant son regard vers moi.

- Merveilleusement bien, ils ont même été déçu de ne pas t'avoir vu, lui répondis-je en m'assayant sur la chaise d'à côté.

- Ils s'en remettront et je ne voulais pas te déranger, c'est quelque chose de priver, me dit-il avec un faible sourire.

- Tu fais parti de la famille à présent, enfin je sais qu'ils te voient tous comme ça maintenant, lui rassurais-je posant ma main sur la sienne.

- Je suis touché et j'en suis heureux mais jamais je m'inséminerai dans ta vie avec tes parents, me dit-il en serrant ma main dans la sienne.

Je luis souris simplement acceptant son choix, le comprenant ayant perdu la sienne. Mais j'espère qu'il va voir la mienne comme sa nouvelle famille, excepté moi. Voyant un plateau devant moi, je l'ouvre par curiosité si il n'y a pas à manger et je vois de magnifique donuts.

- Tu as commandé à manger ! M'exclamais-je folle de joie prenant un donuts.

- Je me suis dit que tu aurais un petit creux après l'appel et j'ai bien eu raison, tu es un vrai gouffre sur patte ! Me dit-il suspicieux.

- Cela te gêne ? Lui demandais-je perdant le sourire inquiète.

- Absolument pas, tu sais bien que je rêve de te voir avec des petites rondueurs.