Une Nounou

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Hanji avait hocher la tête en silence, n'osant pas ouvrit la bouche et à tout dire à son frère comment leur mère à était violant avec qu'elle, juste parce que Hanji avait demandé s'ils avaient quoi pour le dîner. Ces derniers temps leur mère buvait beaucoup et ne mangeait rien, et pour n'importe quelle raison sa mère passait sa colère plus sur Hanji que sur Erd.
Son frère avait hoché la tête d'un air pensif et il avait serré dans ses bras.

E : tu es ma petite soeur magnifique, avait-il dit à son oreille. N'oublie jamais ça.

Erd lui avait parlé jusqu'à ce qu'elle arrêtée de pleurer et il lui sécha les larmes sur ses petites joues avant de la laisser, lui avait donné une assiette remplit dans le salon.
Son frère était assez ironique que, vingt ans plus tard, Hanji soit à nouveau enfuie, mais vers son frère. Comme d'habitude il ne poser pas de question quand elle vient se mettre devant lui vers la fin de la journée, dans la ville de Paris.

H : salut, en entrant dans la caserne des pompiers. Me revoilà.

Erd, qui nettoyer les camions de pompiers avait arrêté et, posa l'éponge dans le seau, en lui adressant un sourire.

E : salut toi, mon chou. Tu viens quand même voir ton grand frère? C'est pas trop tôt.

Hanji serra le poing sur sa taille, elle se mit devant son frère, un grand musclé et brun et fit 1m80 semblait bien plus musclé dans son uniforme de pompier.

H : c'est pas parce que tu m'appellais pour m'inviter chez toi que je dois me rendre directe chez toi. En retombant dans leur routine qui était familière pour eux.

E : bah pourquoi pas ? Je suis pas la seule personne que tu aimes le plus ?