Blooming flowers - Traduction Française - Danmei

Chapitre 102

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TW : Menace et pression psychologique

Huai En est un vrai psychopathe... je le prends avec rigolade parce que c'est le seul moyen de finir le livre et que je ne peux pas gifler Huai En mais dans la réalité il faut fuir. N'imitez aucun des comportements du livres... Aucun même pas Su Yin est à suivre... 

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Après que Que Siming eut emmené Jin Bao, il ne resta plus que Xiao Bao et Huai En, se retrouvant tous deux dans une situation embarrassante, se fixant en silence.

Dehors, le ciel s'assombrit progressivement, et dans cette pénombre, les yeux brillants de Huai En parurent encore plus clairs et éclatants, le fixant d'un regard pur, sans la moindre impureté, chargé d'un désir manifeste. Xiao Bao, déconcerté, ne savait plus où se mettre, et son premier réflexe fut de vouloir fuir.

Alors que Huai En se rapprocha, Xiao Bao trembla de peur, l'observant avec méfiance.

Huai En poussa un soupir, s'approcha et prit la main de Xiao Bao. « Ça va un peu mieux ? »

Le jeune maître Jin hocha la tête d'un air absent.

Sans savoir quand cela avait commencé, Huai En était maintenant plus grand que lui. En pleine croissance, il avait pris une bonne hauteur en un peu plus d'un an, avec une carrure qui s'était élargie, rendant son corps plus élancé et puissant. Son visage, déjà exceptionnellement beau, était maintenant empreint d'une légère mélancolie, au point qu'il était difficile de détourner les yeux.

Xiao Bao n'avait déjà que peu de résistance face à sa beauté ; autrefois, même avec son expression unique et inébranlable, Huai En l'avait déjà rendu fou. Mais présent qu'il montrait une gamme d'expressions bien plus riche, et chacune d'elles le touchait profondément. Il avait beau se répéter inlassablement que tout cela n'était qu'une illusion, qu'une supercherie, à chaque refus qu'il lui opposait, voir la déception et la tristesse sur son visage lui causait une peine immense.

Maintenant, avec cette attitude légèrement empreinte d'espoir, prudente et un peu maladroite dans sa manière de chercher à lui plaire, Xiao Bao n'osait même plus le regarder en face.

Huai En se pencha soudainement et déposa un léger baiser sur ses lèvres, puis lui sourit largement. « Cela fait plusieurs jours que j'y pense.  »

Xiao Bao se sentit sur le point de s'effondrer. Alors il le repoussa et se précipita vers la porte en trois enjambées.

Huai En resta stupéfait un instant, puis se retourna rapidement pour l'attraper, le plaquant contre le mur avec son corps, tenant fermement son bras.

( Traductrice : Pourquoi j'ai toujours espoirs que le consentement soit présent dans ce livre... ?🤦‍♀️ )

À une distance de seulement quelques centimètres, Xiao Bao sentit son menton saisi par la main de son vis-à-vis, le forçant à soutenir son regard.

La chaleur du souffle de Huai En se diffusa entre leurs lèvres, et le battement de leurs cœurs, si intense, résonna clairement à leurs oreilles.

Il le regarda et lui dit doucement : « Xiao Bao, si ma main était handicapée, serais-tu plus bouleversé que moi ? Est-ce que tu m'aimes encore ? »

C'était précisément la question que Xiao Bao redoutait. Comment devait-il répondre ? Dire oui, et ensuite tous deux se réjouiraient d'une réconciliation comme si de rien n'était ? Dire non ? Il commençait à peine à réaliser qu'il ne pouvait plus vraiment se mentir à lui-même.