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Et nous voilà alors en Caroline du sud. Routine habituel nous partîmes tous les six à la police locale. Arrivés là bas nous nous répartîmes les rôles. Avec Dean j'allais donc sur les lieux où les victimes avaient été retrouvé.

-C'est pas vraiment ce que t'avais imaginé pour ton anniversaire hein ?

-J'avoue que j'avais plutôt pensé à un narcissique tueur de jeunes hommes.

Ria-t-il. Je me mis à rire aussi. Au même instant nous venions d'arriver sur les lieux du crime tout était situé le long d'une route, le tueur l'emprunter donc quand il venait déposer ses victimes. Tous les corps étaient séparés de quelques kilomètres, il était prudent. Nous nous rendîmes où le plus récent cadavre avait été retrouvé, c'était un jeune homme du nom de Brian. Des tâches de sang était encore visible sur le goudron. Comme nous l'a annoncer le médecin légiste lorsque nous l'avions eu au téléphone les cadavres avaient été retrouvés sans la moindre marque. Les seules choses que l'on pouvait percevoir était une simple trace d'aiguille dans leurs bras. Lorsque les analyses de leurs organes avaient été réalisé nous avions appris que pour exactement les quatre victimes se trouver dans leur estomac des traces de morphine. Notre tueur sédater donc ces victimes, avant de leur planter une seringue dans le bras, vu sa façon de faire il ne cherchait pas à utiliser ces personnes comme de simples rat de laboratoire non ce n'est pas son mobile mais ça n'est encore qu'une théorie, notre tueur cherche un moyen plus efficace pour tuer.

-J'imagine que je suis le tueur, je passe sur cette route pour déposer le corps et ensuite je repars tranquillement, je ne suis pas un étranger j'habite dans la ville je dois être blanc la quarantaine un homme de confiance avec une expérience dans le médical peut-être même que j'en fais mon métier. Je n'ai pas peur que l'on me voit car on me connaît. Je ne dois pas habiter très loin de cette route. Et pour pouvoir réaliser ces méfaits je dois obligatoirement posséder une pièce sombre, une cave, un sous sol. Pas besoin d'être beaucoup insonorisé car des l'instant où les victimes sont dans ma possession je les drogue puis les tuent sans aucune autre forme de procès.

-La citation du loup et de l'agneau à la fin de ta phrase n'était pas vraiment obligatoire.

Me moquais -je avant de lui tendre un pouce et d'attraper mon téléphone pour donner des nouvelles à Gordon. À la deuxième tonalité il répondit.

-Gordon .

-C'est White, on a pas mal d'informations on revient.

-Très bien faites vite, Hailey ainsi que Davies reviennent aussi.

Lorsque nous étions rentrés nous avions rapidement fait un topo de ce que nous en avions conclu. Hailey et Davies en allant revoir le légiste avaient eu les mêmes conclusions que nous. Peut-être que cette affaire se terminera rapidement finalement ! Gordon se mit alors à appelé Abby, tout en lui donnant les nombreux critères que nous cherchions j'allais me chercher une bouteille d'eau. A peine ma bouche sur le goulot de la bouteille que je fus coupée par notre chef.

- On à un suspect potentiel on se prépare, vite!

C'est alors qu'au pas de course nous nous mîmes à mettre nos gilets par balles et nos armes dans leur étuis pour partir. Hunkel Leonin ayant fait des études scientifiques et travaillant maintenant pour une presse était de caractéristique grand, brun et plutôt bien taillé. À l'âge de 44 ans il avait plus de 10 plaintes à son actif ainsi que deux procès en cours. Un ange quoi.
Arrivé devant chez lui nous nous mîmes en position, tout en nous séparant en deux groupes, trois devant trois derrière. Défonçant les portes avec synchronisation, c'est coordonnée que Davies ainsi que Gordon et Bonnie entrèrent les premiers suivi de nous trois. Gardant les mêmes groupes nous nous mîmes à fouiller la maison. Cette demeure était immense, c'était une véritable mine d'or de cachette. À cause de cela nous décidâmes de nous séparer en binôme. Accompagné de Dean nous allâmes à un autre étage. C'est alors que ne suivant pas ses conseils et ne mesurant pas le danger je partis seule de mon côté dans une autre pièce.

Grossière erreur.

J'entendis alors un coup de feu, je partis en courant retrouvé Dean et c'est là que je le trouvais à terre une balle dans l'épaule. Notre suspect venait de se mettre à courir et moi j'étais pétrifié sur place. Je m'agenouillais alors rapidement à ses côtés et posais mes deux mains sur sa blessure. Je n'eu pas le temps d'exercer une pression sur celle-ci qu'il me repoussa fermement et m'ordonna de suivre le coupable. Désorientée est complètement paniquée je l'écoutais et me mis à courir derrière le tireur. Je me lançais alors dans une course effrénée tentant tant bien que mal de rattraper cet enfoiré.

Cri du cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant