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-Je suis tellement désolé si tu savais comme je m'en veux mon amour. Je ne me le pardonnerai jamais. Il n'y aura pas un jour ou je ne penserai pas à ce que tu as subit par ma faute. J'avais promis de te protéger et je n'ai pas respecté cette promesse. Pardonne moi je t'en supplie sans toi je ne pourrais rien accomplir. Tu as été si forte si tu savais comme je suis fière de toi. Tu as combattue de toutes tes forces et tu as réussis alors continue et réveille toi. Le médecin à dit que cela ne dépenderait plus que de toi alors ouvre les yeux. Prouve leurs que tu es Lexie White celle qui a tout surmonté et réveille toi.

Plus du tout en phase avec moi même c'est néanmoins les émotions en émoi que depuis des heures durant je restais dans cet état second.
Entre réalité et fiction.
Je n'avais jamais ressentis une telle sensation. Jadis lorsque je me défonçais avec des produits bien trop illicites je ne me souvenais pas de m'être retrouver dans un tel état. Je ne savais alors vous dire depuis combien de temps mais il s'était écouler bien des heures depuis le passage du médecin qui avait était suivies par nombre d'infirmières. Cependant et même si cet accalmie reposait mon corps et mon âme je savais que si Ian n'était pas rester à mes côtés je n'aurais pas étais aussi bien. Oui, il était rester là, à mes côtés, sans jamais me lâcher. Assis sur le rebord du lit d'hôpital que j'imaginais aussi fours et blanc que cet endroit. Serrant la main ou m'en brassant le front quelques fois, il n'avait pas bougé. L'écoutant parler c'est surprise que je sentis alors une goutte perlée sur ma joue. Mais néanmoins sans pouvoir réagir que frustrer je me demandais.
Est ce que Ian était entrain de pleurer?

-Si tu savais à quel point je t'aime Lexie. Plus jamais il ne t'arrivera quelque chose, c'est une promesse. Tu es la femme de ma vie et je serais pour toujours à tes cotés.

Ses mots me surprirent autant qu'il me ravirent. Je me sentis bête de ressentir un tel état d'extase à l'entente de ses mots. Mais ils étaient si fort, "je t'aime Lexie". Pourquoi est ce qu'il devait me dire ça lorsque je n'étais pas pleinement consciente? Sans même le remarquer je finis, bercer par ses caresses par m'endormir n'entendant cette fois ci plus rien du tout.

Je ne savais pas combien de temps j'avais une nouvelle fois dormis mais j'étais seule à présent. Je le savais au silence de mort qui régnait dans la salle. Ma respiration pour seule résonnante. Avec beaucoup de volonté c'est en ordonnant à mon cerveau de mettre fin à ses congés que j'arrivais enfin à ouvrir les yeux.

-C'est pas trop tôt.

Balbutiais-je sans vraiment savoir si je l'avais penser ou dicter. Je mis du temps avant de m'acclimater à cette affreuse lumière aveuglante. Re fermant les yeux presque aussitôt je mis une bonne minute avant de recouvrer une vue nette. Mon sens enfin retrouver j'analysais ce que je voyais. La chambre d'hopital étant comme je l'avais imaginé je me détournais vers l'horloge blanche, accroché au mur lui aussi blanc. Le cadran m'indiquais vint et une heures passer. Essayant de me redresser j'en perdais le souffre lorsque des milliers de picotements m'assaillirent.

Je souffrais comme jamais je n'avais pu souffrir, le moindre mouvement faisant fis grimacer, je gémis. Avec la forte impression que même si j'étais passer sous un bus je n'aurais pas eu si mal.
Prenant sur moi, je me félicitais lorsqu'évitant le malaise je finis par m'assoir sur le lit.

-J'y suis.... presque.

Mes autos-encouragements me motivèrent et c'est avec une lenteur extreme mais délibérée que je reussis à me lever. Mes jambes en coton, je me remerciais intérieurement de ne pas être déja tombé, tant elles flageolaient. Avec l'appuie des rembarres. je réussis enfin à me hisser sur mes pieds. Lentement je me mis à longeais les murs mais m'arrêtais net lorsque je tombis sur un miroir.

Le reflet qui se présentait face à moi était absolument affreux. J'étais réelemment méconnaissable et je n'éxagérai pas. Mon visage était d'une paleur à en rivaliser avec un zombie. La courte robe d'hopital ne m'empechais malheureusement guère d'observer mon corps. J'étais si livide qu'un instant je me fis peur.

-Seigneur..

Mais que m'avaient-ils fait? Je ne parlais même plus de la maigreur qui m'effrayait, mais toutes ces plaies.. Je me rappelais d'absolument toutes les atrocités qu'ils m'avais faite mais je ne pensais pas.. Je ne pensais pas que cela se verrait autant. Décidant alors de regarder la partie que je redoutais le plus. Je défis une partie de ma robe et me tournais légèrement. À la vue de la brûlure, une larme roula sur ma joue. Avant de perdre totalement pied je détournais le regard. Je devais me reprendre, j'étais en vie après tout c'était ce qu'il comptait. Tremblante c'est en sanglotant que je me laissais finalement aller. Mes émotions jaillirent alors et c'est avec une brûlure au fond de la gorge que je m'exclamais.

-NON!

Dans un coup de rage d'où je ne sais trouver la force que je brisais le miroir.
Reflet d'un enfer, de mon enfer.
Avant même que je ne le comprenne la porte de ma chambre s'ouvrit à la volée et ces deux bras puissants qui m'éloignèrent des morceaux de verres.

-NON!

Je me débattais si fort que j'en fus impressionner. Un coup, deux
coups, trois coups, tout dans le vide. Au bout de quelques secondes je fus stopper de m'arrêter, mon corps ne répondant plus à la violence et au chagrin qui s'était emparé de mon esprit. Ma crise de nerfs étant passer je me laissais finalement aller dans ses bras. Sans perdre une seconde, il m'amena jusqu'à mon lit et m'y déposa délicatement.

-Je suis là Lexie, je suis là.

Il m'embrassa le haut du crâne et je me détachais de lui tout en séchant mon visage. A présent les yeux dans les yeux je lui souris. Completem'et lunatique mais pas le moins du monde contrarié c'est soudainement que je me ressaisis. Il était là, Ian était là.

Les yeux embués il me prit brusquement entre ses bras. Me serrant contre son torse, je peinais à respirer.

-Si tu savais combien tu m'as manqué.

-Toi aussi Ian. Mais si tu pouvais me laisser respirer..

-Excuse moi.

S'exclama t'il en me relâchant. Derrière nous le médecin arriva, brisant la bulle précédemment créer.

-Mademoiselle White je suis ravie de vous voir éveillé.

Je lui souris mais mon sourire fut de courte durée lorsqu'il remarqua le miroir brisé.

-Pour ça...

-Ce n'est rien, des personnes vont venir nettoyez ne vous en faites pas. Parlons plutôt de vous comment est ce que vous vous sentez?

Sa question me laissais pantelante. Me posait-il réellement la question? Comment est ce que je me sentais? Est ce que si je disais que tout allait bien cela sonnerait il comme un mensonge?

Cri du cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant