Je n'en pouvais plus, cela faisait plus d'une heure qu'il me noyé intérieurement. A la fois précédente ils avaient faillis me tuer laissant trop longtemps l'eau couler.
C'était atroce.
Une douleur insupportable qui me rongeais à petit feu.Tout à coup, comme par miracle ils s'arrêtèrent sous les ordres de Saïd. Crachant le plus d'eau que je le pus une larme de bonheur roula sur ma joue. Malgré tout je ne savais pas si je devais être heureuse ou craindre encore ce qu'il allait arriver.
-Plutôt résistante pour une américaine, voyons si tu résistera à ça.
I
Ne me laissant qu'une seconde de répit c'est cruellement qu'il se poussa pour laisser la place à mes bourreaux, qui tenaient à présent une mallette entre leurs mains maudîtes. Ils déposèrent la malle sur une table et l'ouvrit. Sous mes yeux exorbités ils sortirent une très longue aiguille, trop longue. L'un d'entre eux vint alors la remplir.-Qu'est ce que c'est?!
Criais je tout en me débattant. Cela suffisait maintenant, je ne me laisserais pas faire par quelques terroristes. Mourir sous le pic d'une aiguille n'était pas assez distingué! Plus sérieusement ma panique s'accentuait. Alors que l'autre abruti s'approcha de moi je tirais autant que le pus sur les chaînes. Malheureusement elles étaient trop bien attaché et sans même le remarquer un des hommes se retrouva derrière moi. Exténuée et terrifiée c'est les nerfs aux aguets que je n'entendis plus rien alors que le terroriste avait attraper mon cou avec une de ses mains.
-Attention ça va faire mal.
C'est alors que je sentis l'aiguille traversait la chair de ma nuque, la douleur qui me traversait soudain fut si insoutenable que mon cris de douleur fut sans limite. J'hurlais à la mort en sentant à présent le produit s'infiltrait dans mon sang. Comment pouvais je vous décrire cette douleur? C'est comme si des milliers de lame traversait chaque port et chaud cellule de mon corps. Imploser n'était pas suffisant, à cet instant j'eus pratiquement l'impression de dissoudre de l'intérieur. A un moment plus aucun son ne pu sortir de ma bouche et c'est comme paralysée qu'il sortit enfin le corps étranger de mon cou. Lorsque grelottante je retrouvais le don de parole c'est telle une bègue que je leur demandais le contenu. Je les entendis rire alors qu'ils houssaient dès mon malheur. L'un d'entre eux répondit en riant ne m'accordant plus aucun regard comme si le fait de ne plus m'entendre crier ne m'amusait plus.
-Une drogue très forte qui te fera planer pendant des heures.
Ce n'était pas la première fois que je consommais ce genre de substance. Évidemment lorsque je consommais quelques joins pour me détendre j'étais consentante et aussi je savais ce que contenait mon pet. N'approuvant donc pas la véracité de ces paroles mais ressentant soudain la substance s'infiltrer dans mon cerveau je compris. Je compris lorsque tout devint si lent. Comme une vie au ralenti je vis le monde tourner dans une lenteur délibérée. Des moment d'absence parchema mon esprit mais ils étaient si long que j'avais peur de ne jamais me réveiller. Lors d'un moment de conscience je vis l'un des hommes approchait avec un couteau.
Je n'eus à peine le temps de réagir qu'il vint me le planter dans la cuisse sans autre forme de procès. Je n'arrivais pas à crier non, mais mon ressenti était là, et je souffrais le martyre. Ma douleur s'exprima par un torrent de larmes qui roula sur mes joues. Les hommes semblèrent s'amuser de ma réaction alors ils continuèrent. Un autre vint m'inciser le bras, puis le ventre. Je crus les voir rire lorsque je compris qu'ils se plaisaient à dessiner des choses sur mon corps. Lorsqu' à un moment la douleur paru pratiquement disparaître je compris. Je compris qu'enfin les douleurs allaient cesser et que plus jamais je ne souffrirais. Beaucoup de fois dans ma vie j'avais profondément désirer de mourir mais ce soir je savais.
Je ne l'avais jamais autant voulu.
Je ne sais combien de temps j'avais perdu conscience mais lorsque mes yeux s'ouvrient ce n'était pas de leur propre volonté. À présent les sens bien réveillé, je pu sentir le fer chaud brûlait ma peau. J'hurlais, j'hurlais si fort que je me fis peur. Mais la douleur, cet affreuse douleur. Ils étaient entrain de me brûler une partie du dos. Les effets de la drogue s'étant dissipée je compris alors qu'il s'était passer quelques heures. Cette douleur dans mon dos avait était plus forte que les autres, lorsqu'il retira le fer je sentis ma peau se déchirer sous leurs mains. Bloquant ma respiration c'est comme si on m'opérer à cœur ouvert sans anesthésie. Jamais je ne su pourquoi mon cœur n'avais pas céder. Sous l'affreuse douleur qui ne cessait de s'emparer de mon être j'en avais rêver. Tellement rêver.
Depuis combien de jours étais je ici? Depuis combien de temps supportais je toutes ces maltraitances? Des jours que mon corps brûlait a petit feu, qu'il mourrait littéralement de l'intérieur comme d el extérieur devant mon impuissance. Des jours que mon estomac crie famine et des jours que je priais pour que l'on me porte une fois pour toutes. N'ayant plus beaucoup d'espoir je me rassurais finalement, la quantité importante de sang que j'avais perdu me tuerais de ce n'était qu'une question de temps.
C'est vidé de toute émotion que je vis le diable s'approchait de moi. Priant pour que je ne meures avant c'est en souriant que je me sentis sombrer.
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Cri du cœur
RomanceLe chaos. Voilà ce qui régnait dans l'esprit tourmenté de la jeune Lexie White. Une enfance heureuse, des parents aimants mais voilà. Une fêlure, puis un verre qui se brise et c'est la fin d'une vie bienheureuse. Sept ans plus tard elle s'était rele...