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Ce mariage avait était absolument magnifique. Je l'avoue il avait été organisé assez rapidement mais ce n'étais pas pour me déplaire. Cette fabuleuse chapelle où nous avions échangé nos vœux avait était remplis d'émotion. Nos témoins, Tony pour moi et Jim pour Ian avait étaient formidables. Mes demoiselles d'honneur Abby, Hailey ainsi que Bonnie avaient était fabuleuses. Évidemment Dean c'était sentit rejeté mais pas pour très longtemps puisque c'était à lui que j'avais demandé de m'accompagner jusqu'à mon mari. Ce mariage avait était discret et simple à l'image de notre couple. Mais cela ne voulait pas dire qu'il avait était ennuyeux au contraire. L'orchestre que nous avions appeler avait fait danser mes amis et moi jusqu'au petit jour. Pour le repas nous avions était une petite cinquantaine et cela avait suffis à Hailey de craquer sur un des cousins de Ian. Maria la mère de Tony avait passer sa soirée à épier le partenaire de Tony qu'il m'avait présenté. Un journaliste très sympathique qui avait fait baver Abby au plus grand désarroi de Dean. Le lendemain Ian m'avait emmené sur une petite île au sud des États Unis. La plus part du temps nous l'avions passer à visiter et à profiter. Mais la nuit Ian n'explorait plus l'île mais mon corps. J'avais passer une semaine merveilleuse au bras de mon amant, récent mari. Je ne me rappelle plus le nombre de fois où il m'avait dit qu'il m'aimait. Lorsque nous étions rentrés aussi bronzés que des hawaiien cela nous avaient émus de voir la petite baby shower qu'avait organisé nos amis . Une méthode je vous l'avouerais plutôt explicite pour leur donner le sexe de notre bébé. C'était donc avec beaucoup émotion que je leurs avais annoncé attendre une petite fille. Je pouvais le dire, je nageais littéralement dans le bonheur et cela n'était pas pour me déplaire. Ce sentiment de bien être qui ne me quittait pas me rendais si heureuse que je ne comptais plus le nombre de fois où j'avais remercié le ciel de m'avoir un jour mis sur le chemin de Ian.

-A quoi tu penses mon amour?

Me dit il en embrassant ma main.

-À nous, à toi, à elle.

Lui dis je sincèrement une main sur mon ventre. Je vis ses yeux briller et c'est d'une main protectrice qu'il déposa sa main sur ma cuisse. A présent je savais que tout le malheur que nous avions accumulés au fil des années avait aujourd'hui totalement disparue. Les démons du passé ne viendraient plus jamais entraver notre bonheur car nous nous aimions et il n'y avait que ça de vrai.

Il stoppa la voiture et m'aida à descendre de celle ci.

-Chéri je suis enceinte pas en sucre.

-C'est la même chose.

Me dit il une main derrière mon dos. Tout en avançant il me demanda.

-Tu sais que dans deux semaines tu t'arrêtes n'est ce pas?

Je me stoppais à ces mots. Mes yeux de biches ne lui laissant aucun doutes face à mes futures paroles.

-Il en est hors de question Lexie nous en avons déjà parlé.

-Je n'ai encore rien dis!

M'énervais je face à son ton accusateur. Ses yeux se décrispèrent un moment puis il se tut.

-Je voulais simplement te dire que c'était d'accord je le sais je m'arrêterais mais j'aimerais en moins continuer à venir. Je ne partirais plus avec vous mais je resterais avec Abby. Je l'aiderais un peu et puis ce sera bon pour moi de rester avec elle. Parce que si jamais j'ai un soucis ce n'est pas seule à la maison que j'arriverais à m'en sortir.

Par les sentiments, voilà comment j'avais décidé de le prendre. Et ne m'ayant pas coupé je sus que mon stratagème avait réussis. Même si j'en faisais des caisses, mes paroles étaient véridiques. Je serais beaucoup mieux ici que seule chez nous. Et puis rien ne m'empêcherais si l'envie m'en prenait de rentrer illico me reposer.

-J'accepte avec certaines conditions.

Je fis la moue en craignant ces ordres mais me tut tout de même.

-Je veux que tu passes ton huitième mois à la maison. Ton sixième et septième mois tu resteras assise à côté d'Abby. Tu l'aideras le moins possible et si il y a le moindre problème tu m'appelles à la seconde c'est d'accord? Evidemment je veux qu'à 16h tu sois rentré à la maison.

Je clignais des yeux sachant pertinemment que je ne respecterais pas la moitié de ces conditions. Malgré tout je savais que mon enfant était bien plus important que mon travail alors c'est résignée que j'hochais positivement de la tête.

Cri du cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant