Cri du cœur

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Il était quinze heures et nous venions enfin de retourner au quartier général. Ah il n'y avait pas à dire mais ça m'avait tout de même manqué! Malheureusement notre beau mais surtout tyran patron ne nous laissa pas une minute de répit et nous mis au travail des notre arrivée. Il était trop tard pour prendre une affaire mais il y avait toujours de la paperasse à rédigé.
Finalement les heures s'enchaînèrent rapidement et il était déjà dix neuf heures heure lorsque mon trio préféré débarqua.

-Hailey, Bonnie et Abby quels mauvais tours allaient vous me jouer?

Leur demandais-je en observant leur air espiègle.

-Ne passons pas par quatre chemin tu veux qu'on commence à te parler du bon ou du mauvais sujet?

Me doutant alors fortement du « bon » sujet je les interrogais pour commencer sur le « mauvais. Elles prient alors un air grave qui ne présageait rien de bon.

-Comment ça va? On a pas vraiment eu l'occasion de te parler mais ces derniers jours ont vraiment étaient fort en émotions et surtout pour toi, on.. on voulait savoir fin si..

Alors que Bonnie commençait à s'empetrer c'est Hailey qui reprit.

-Tout ce qu'on a apprit, ça nous à beaucoup touché comme à tout le monde mais on sait que de retour ici tu tournes la page fin on se comprends mais on voulait juste te dire que même si tu veux pas en parler, on sera toujours là pour toi.

-Oui et aussi pour te rappeler que nous sommes une famille, tous ensemble.

Finalement le « mauvais » n'était pas si mauvais que cela puisque malgré le sujet désagréable, je devais avouer que leur discours était très émouvant. Leur compassion déguisé était très touchante et je me rendais réellement compte dans des moments comme cela que j'avais vraiment de la chance de tous les avoir. Je ne pris pas la peine de parler mais leur offris mon plus beau sourire en ouvrant grands les bras. Leurs lèvres s'étirèrent à leur tour et tout en se lovant contre moi elles déposèrent toutes les trois sans exceptions des baisers sur mes joues. Si je trouvais ça mignon les cinq premières secondes, je me dégageais rapidement me rappelant leur bouche coloré.

-Non mais vous êtes sérieuses!

J'attrapais un miroir et inspectais les détails. Comme prévu, trois énormes bouches rouge et rose recouvraient mes joues. N'ayant pas la foi de tout étaler je laissais tel qu'elle leur offrant au passage un regard noir.

-Bon maintenant passons au « bon »sujet!

Dit Abby un peu trop excitée à mon goût. Je fis tout de même la fille qui ne savait absolument pas de quoi elle voulait parlait ce qui me value la colère de trois paires d'yeux. J'aurais essayée..

-Ne fais pas la maligne et raconte nous!

M'ordonna Bonnie, Hailey enchaîna.

-Mais oui enfin, que ce passe t'il avec Gordon, tu ne peux pas nous le cacher plus longtemps! De toute manière toute l'équipe est au courant rappelle toi.

Oh que oui je m'en rappellais, mais je ne savais pas quoi leur dire car moi même n'étais je pas réellement sûr.

-Je vous dirais plus tard bande d'impatiente maintenant rentrez il est tard.

En vue de ma détermination à ranger mes affaires elles comprit rapidement que je n'allais rien lâché, elles me dirent donc au revoir et chacune d'entres elles se préparèrent à partir. J'en fis de même et après avoir parlé avec à peu près tout le monde je toquais au bureau de Gordon.

-Entrez.

Dès qu'il m'aperçu il se releva et s'approcha de moi. Je souris en le voyant m'attirer contre lui.

-Il faudrait qu'on parl....

Je n'eus pas le temps de finir qu'il m'offrit un baiser plein de tendresse. Impossible d'y résister je le lui rendis évidemment avec plus d'ardeur. Il sembla apprécier puisque pour me répondre il me plaqua durement contre un des murs de son bureau. Heureusement que je n'étais pas fragile car il m'aurait déjà casser. Mes sacs tombèrent ainsi que ma veste . Ses baisers se firent plus pressent, plus passionnés, un ballet de langue commença alors que sa veste rejoigna la mienne sur le sol. Une main sur son visage qui faisait des allers retours vers ses cheveux et l'autre sur son dos, j'étais en pleine extase. Je le repoussais tout de même quelques minutes même si mon corps réclamait tout le contraire, j'avais tout de même besoin de respirer.

-Je t'essouffle déjà.

Me dit-il lui aussi haletant. J'hochais la tête de gauche à droite.

-Arrêtes de faire le malin.

Il rit face à mes mots et me prit de nouveau dans ses bras.

-Plus sérieusement oui il faut qu'on parle, tu viens chez moi?

J'écarquillais les yeux, il n'y avait que moi à qui sa phrase choquer?

-T'es sérieux là?

Il ne sembla pas comprendre.

-Tu crois vraiment que si je viens chez toi, nous allons discuter?

Il prit alors un air espiègle qui n'envisageait rien de bon et me dit.

-On peut faire tout ce que tu veux Lexie.