She was my sister

Les valeurs ancestrales d'une école millénaire (4)

Gynnie resta muette par sa propre audace. Mais ce qu'elle avait du mal à croire était qu'on l'avait suivit. La face à la soixantaine d'adolescent, elle était en train de perdre la face. Il n'était pas dans son habitude que d'être une meneuse.

- Nous nous sommes trouvé une cause suffisamment profonde pour unir nos quatre maison.
Commença Neville.
Il nous faut un nom. Et un moyen pour communiquer entre nous.

- L'armé du Phénix.

Proposa quelqu'un. Gynnie fit le mou, comme Neville. Ce nom manquait d'originalité. Vraiment songea-t'elle.

- La plume écarlate.
Proposa un autre.
Gynnie leva les yeux vers celle qui avait proposé le nom. Elle était assez jeune et jolie.
Alors qu'elle allait ouvrir sa bouche, Neville s'était redressé.

- Tous ces noms sont très inspirants vraiment, mais je pense que nous devons trouver un nom qui nous correspond mieux, qui représente la liberté, l'éffronteri, l'insolence, le refus de l'autorité et notre écol....

- Les maraudeurs.
Un silence pesant s'installa et un a un les regards se tournèrent vers celui qui avait prononcé ce mot.
C'était William. Il avait quitté sa colonne et s'était approché enfin pas trop du groupe. Les bras croisés et les sourcils froncé il donnait l'impression d'être toujours de mauvaise humeur.

La jeune Wesley ouvrit puis ferma sa bouche surprise.
William Wallace peu habitué tant d'attention grogna comme à l'accoutumé puis se justifia.

- Qui ne connais pas les maraudeurs ? Ils sont devenus une légende. Quatre Gryffondor uni dans la malfaisance, ils sont pour la génération qui les ont connu , ce que sont les jumeaux Wesley pour nous. Eux aussi deviendront célèbre et leur légende persistera longtemps. Comme le trio d'or. En plus si les rumeurs sont vrai le père de Potter faisait partie des maraudeurs, tout comme un professeur de Poudlard. Tout ce qui ont eux des parents où des frères et sœurs qui sont allé à Poudlard ont déjà entendu parlé des Maraudeurs. Ne serait-il pas temps de les imiter.

Ainsi avait ressuscité les maraudeurs. Un groupe d'élèves bien déterminé à ébranlé une dictateur. La participation des Serpentard fut aussi timide qu'inattendu. Si on lui avait dit un jour à Gynnie que Serpentard et Gryffondor travaillerai à nouveau mains dans la main... Elle en aurait rigolé.
Les jours ce succédaient et l'on pouvaient voir de plus en plus l'école se diviser en deux, car Drago Malefoy, en fin stratège qu'il était avait lui aussi senti le vent de rébellion qui commençait à souffler dans sa propre maison et en plus grande proportion chez les autres. Il avait réussi à unir Gryffondor , Serpentard , Serdaigle et Poufsoufle sous une seul et même bannière celle de Voldemort.

Il arrivait souvant a Gynnie a se dire que quelque chose de grand et très grand était en train de ce produire. Un changement social qui touchait le monde de la sorcellerie, et ce changement s'opperai ici en Angleterre, car il en a toujours été ainsi.

Plusieurs tagues haineux en vers le nouveau régime commencèrent à fleurire un peu partout dans le château, et des surveillants se retrouvaient a l'infirmerie suite à de bête chute d'escalier, éruption cutanée inexpliquée, un sortilège malencontreux. Sans que l'on puisse accuser qui que ce fut. La fratrie Carrow en devenaient presque fous et Drago avait cessé de se pavaner tel un conquérant dans les couloirs.

Un jour se promenant dans les couloirs, perdue dans ses pensées elle s'était rendu compte bien trop tard de la présence de Severus Snape et leur collision fut inévitable. Il eut une série de grognement une pille de papier tombant par terre et cinq point de moin enlevé a Gryffondor, en plus de cinq tour de terrain supplémentaires avant que le directeur ne s'en aille le nez en l'air profondément morose, prudent les élèves ayant suivit la scène s'écartèrent dès que le directeur était trop proche d'eux.

Gynnie contrarié a l'idée de faire cinq tour de terrain supplémentaires, vint a penser que Severus jouait son rôle un peu trop bien. Pestant entre ses dents elle allait s'en aller quand elle remarqua que son professeur avait oublié une enveloppe. Regardant à droite et à gauche, elle s'en saisit se réfugia dans un coin tranquille et entrepris de lire le message caché au combien complexe et porteur de mauvaise nouvelle.

" Les Maraudeurs sérieusement !!!!!!!!!! "

Gynnie se pinça les lèvres et retint avec difficulté un éclat de rire. Puis la lettre ce consuma et cinq mots apparurent brièvement à travers les flammes.

" Au-delà de mes espérances "

Puis Gynnie se retrouva a nouveau dans le noir.
Bien qu'elle fut contrainte de faire cinq tour de terrain supplémentaires, cela n'entacha pas sa bonne humeur, elle avait enfin trouvé la bonne voie et les conséquences commençaient doucement à se faire sentir. McGonagall et Flitwick donnaient des points plus facilement, retiraient des points à Crabbe et Goyle pour des raisons aussi justifié que, respirait trop fort ou observait la fenêtre plutôt qu'écouter en cours. La seul alternative qu'avaient trouvé les Carrow Sarah Al-Arkenziz et les surveillants étaient diminuer les temps libres et augmenter les tours de terrain à faire le matin et le soir.

Les Maraudeurs ressuscité étaient redevenu l'ennemi numéro un du corps enseignant. A la différence prêt qu'ils étaient bien plus nombreux et insaisissable au vu de leur anonymat. Et la scission qui était en train de s'opperer au sein de l'établissement était désormais visible à l'œil nu. Les Gryffondor n'avaient jamais été si belliqueux et argneux, désunis, en vers eux même, les Serdaigle, n'avait jamais été si renfermé sur eux même et les Poufsoufles si peux amicaux.

Ainsi en ce quinze janvier, après le sport matinale, et le petit déjeuné enfin l'encas sera plus politiquement correcte. Après la liste des naissances et de morts, Gynnie attendait que les Carrow se lève pour se lever à son tour comme tout les autres lorsqu'il eut comme un vent violent. Des dizaines et dizaines d'hiboux s'engouffrèrent dans la grande salle et déposèrent à ceux qui étaient abonné la gazette du sorcier.

La salle qui d'ordinaire étaient fort silencieuse, devint glacial. Et lorsque Gynnie parcouru les lignes de l'article, s'empêcher de sourire releva presque de l'impossible.

Harry est vivent. Harry est vivent. Ron et Hermione aussi, par Merlin ils sont vivent. Vivent...

Instinctivement elle leva les yeux vers la table des professeurs. Blanc comme le lin, Alecto et Amycus donnaient l'impression d'avoir été pris d'une attaque. Sarah Al-Arkenziz tenait son carreau de chocolat si fortement dans ses doigts qu'il s'était mit à s'écouler le long de sa main. McGonagall et Flitwick échangèrent un bref regard éloquent, Snape, brillait, brillait par son absence et les autres professeurs furent beaucoup moin doué pour cacher leur joie.

Soudain il eut un étrange bruit comme un verre que l'on abattait fortement sur la table.
Tout les regards se tournèrent alors vers l'insolent qui avait osé troubler le silence, le pire dans tout cela, il appartenait à la maison Serpentard, son nom William Wallace.
Amycus et Drago ouvrir leur bouche simultanément, mais William leva son verre et l'abaissa à nouveau.

Piqué au vif Drago sorti sa baguette magique mais au même moment un élève de Gryffondor avait abaissé son verre, la rouquine se tourna vers le responsable. S'était Colin Crevey. Se pinçant les lèvres elle allait intimer au jeune sorcier de la prudence, mais William abaissa son verre suivit d'un autre Serpentard de Colin, son frère et de deux autres élèves, puis quatre autres, puis dix, puis vingt puis trente, puis se fut un véritable cœur, un coeur empli de rage, de tristesse, haine envers cette oppression et oui avec un brun d'espoir.

Boum ! Boum ! Boum ! Boum !

Gynnie avait rejoint le cœur tout comme Neville et bon nombre de Gryffondor, hélas pas tous. Se tournant vers la table des professeurs elle aurait juré oui elle aurait juré sur sa propre vie, que McGonagall aurait abaissé son verre.

Boum ! Boum ! Boum ! Boum !

Il ressure la plus belle punition ce jour là. Oui tous furent fouettée et William fut contraint de se cacher dans la salle sur demande le premier d'une longue liste.. ils ressurent peut-être une belle correction, mais quelque chose s'était passé ce jour là. Quelque chose de grand. Très grand. C'était comme si l'école Poudlard elle même s'était enfin réveillé. Oui assurément. Quelque chose de grand s'était produit ce jour là quelques chose d'historique.