She was my sister

Tout Homme doit mourir

On était le deux avril et à peu près un mois s'était écoulé depuis la chute du centre de recherche magique et rien, absolument rien. Un silence pesant, menaçant lourd de conséquences et qui s'intensifiait de secondes en secondes, d'heures en heures de jours... En jours.
Et pourtant ... Et pourtant lord Voldemort demereurait silencieux. Celui qui s'était auto proclamé roi de la sorcellerie ne-faisait-rien.

Certes il y avait des rumeurs. Voldemort se trouvait en Chine, Voldemort accusé d'un double viole en Argentine, Voldemort aurait réussi à pénétrer aux États-Unis, provoquant ainsi l'entré inéluctable du Macusa en guerre contre lui. Voldemort assassine des bébés... Voldemort, Voldemort, bref Voldemort ne faisait rien.

Pétunia Dursley en suffoquerait presque cette atmosphère d'attente ou tout le monde rongeait son frein dans l'attente des reprises des hostilités. Avait de quoi rendre dingue le plus aguerris des guerriers.

Et elle en devenait dingue.
Pétunia avait harcelé tout au long de ce moi Albertfort Dumbledore le seul sorcier qu'elle avait sous la main, pour revoir son mari et ses enfants comme elle disait. Mais invariablement Dumbledore répondait qu'il ne savait pas où se trouvait son époux et Dudley et qu'Harry Potter était toujours porté disparu et recherché et par les forces coalisés et par les gouvernements collaborateurs, ce pour des raisons très différentes il allait de soit.

Depuis elle résidait dans cette tête du sanglier et avait réussi tant bien que mal à se faire passer pour une serveuse. Et pas une seul soirée ne s'était écoulé sans que le soir à genoux les yeux en larmes face à trois sièrges, elle adressait ses prières à l'intention de sainte Marie ou le Christ lui même, pour garder ceux qu'elle aimait le plus au monde du danger.

La vie de Pétunia avait pris un sacré virage à angle droit depuis le retour de Voldemort et elle avait eut l'impression de vivre mille vie. Et il s'était passé tant et tant de chose, mais après tout une guerre ne pouvait être linéaire, elle ne saurait de toute manière.

Elle avait fait la paix avec son neveu, trouver en ce dernier un second fils, été fugitif, torturé puis incarcéré et à présent... Et à présent elle était serveuse dans un des bar les plus miteux du monde de la sorcellerie d'après ses souvenirs. Prêt... Si prêt de Poudlard.

L'école au mille et une merveille, la boîte de Pandore, le jardin d'Eden, la tentation suprême, le fruit défendu qui avait été le point de départ de toute sa frustration et sa haine en vers la magie.

La vie est fait de façon si bizarre songea-t'elle et les voix du Seigneur étaient définitivement impénétrable.

                                 *

Jamais il n'aurait pensé qu'être roi lui prendrait tant de temps. Un mois qu'il possédait la baguette magique la plus puissante au monde et il n'avait même pas put s'en servir contre Harry Potter. C'était affligeant. Il était allé un peu partout dans le monde et avait enfin réussi à pénétrer en terre étasunienne. Bien-sûr illégalement et au nez et a la barbe du MACUSA, mais s'était déjà un début. À présent, Serpens Nigrum avait un pied dans le nouveau monde et son royaume s'étendait a la terre entière

Mais le MACUSA n'étant pas le ministère de la magie britannique, le gouvernement magique des États-Unis, non content de détenir une fierté et une arrogance peu commune,avait hérité de la sauvagerie et de la réputation de bourrin du fameux "toujours plus" qu'avait les États-Unis d'Amérique moldu et avait été pris en chasse par pas moins de mille deux cent aurores dont la moitié chevauchaient des éclaire de feux. Et deux cents d'entre eux des dragons européens.

Sa majesté bien que incroyablement puissant, pris de court avait été contraint de se cacher le temps de trouver et confectionner un porte au loin dans la vague idée de s'occuper des États-Unis dans un plus brefs délais. Ces dégénérés ne devait en aucun cas entrer sur le vieux continent.
Et il avait une petite idée de comment il allait faire pour mettre hors d'état de nuire ce peuple de détraqué.