She was my sister

Longue nuit (1)

1 heure avant l'arrivé de Voldemort.

Elle voyait.... Elle voyait la forteresse se dresser fièrement. Elle ne l'aurait jamais cru.

- Comment ?
Avait murmuré Pétunia.

- Albus m'avait parlé de tel phénomène. Ce n'est pas la première fois que le château décide de ce révéler à un moldu. La dernière fois s'était pour Winston et Charles. Il doit avoir une sorte de speudo conscience. Vous n'êtes pas n'importe qui. Ah et Jacob c'était un bon gars.

- Qui et qui ?

- Excusez moi. C'était une autre époque je les ai très bien connue. Jacob Kovalski Winston Churchill et Charles De Gaulle. Des moldus remarcables.

- Ah d'accord.
*
William observa Harry et eux envie de tout lui dire mais il dû s'en tenir au plan.

Là debout face au maraudeurs, le brun était resté muet de consternation lorsqu'il avait appris le nom qu'ils s'étaient tous donné et il avait insisté en personne pour serer la main à Neville et lui-même.

Cela lui avait fait bizarre de serrer la main de Harry Potter. Le Harry Potter, celui qui avait survécu, l'élue, celui qui avait mis un terme définitif à la terribles guerre de onze ans.  Qui avait à moins de quinze ans repoussé non pas une fois, deux fois, trois fois, mais quatre fois Lord Voldemort. Celui qui avait été la voix solitaire de la vérité pendant un an. Harcelé, persécuté par le ministère de la magie britannique raillé dans le monde entier, cela ne l'avait pas empêché de témoigner tout au long de l'année. De maintenir son récit et de se payer le luxe de surcroît, de tenir tête à l'un des états magique les plus puissant au monde.  Le ministère de la magie britannique.

Il était l'incarnation de la résistance.  De taille moyenne, le visage creusé par la faim le corps musclé par une vie de clandestinité. Son visage portait les marques de cicatrice qui n'avaient rien avoir avec Voldemort. Les cheveux qui lui arrivait à présent jusqu'au cou l'on aurait dit un lion. Jamais il n'aura vu un Gryffondor ressembler autant à l'idée qu'il se faisait de Godric' Gryffondor.

À par peut-être... Son ami Ronald Wesley qui ses mois de clandestinité l'avait métamorphosé en un lion au regard chargé d'une colère froide et Hermione était ressorti plus jolie et le visage plus dur qu'avant. En soit tout trois étaient bien parti s'ils survivaient à compter parmi les Sorciers les plus puissant du vingt-unième siècle.  Tout trois auront le droit à leur carte chocogrenouilles c'étaient certain.

Mais lorsqu'il avait vu Harry fondre en larme et se jeter dans les bras de Gynnie Wesley. Son respect pour ce sorcier n'avait fait que décuplé.  Son amour pour Gynnie était si puissant que tous se ture estomaqué.

- Pas un seul jour que Dieu fait ne s'est écoulé sans que je ne pense constamment à toi.
Gynnie avait ouvert la bouche comme pour dire quelque chose, mais en fut incapable. Et au lieu de cela enserra le sorcier de sa vie plantant ses ongles dans le dos de son bien aimé.
Une larme, une seul larme traîtresse s'écoula le long de sa joue droite.

Puis Harry se rappelant ses obligations s'était défait de son étreinte lui avait volé un baisé et avait observé les quatre étendard accroché au mur la preuve si s'était nécessaire que Dumbledore avait raison, pour espérer vaincre la folie, seul l'unité et l'amitié et oui ... L'amour sauront être capable de faire front. Il aura fallut du temps. Des larme, deux guerre, la mort d'Albus pour que son message face son effet.  Et mille ans pour que vert et argent, rouge et or se remette de leur rupture. Mille ans de rancoeur de non dis, de trahison de coup de pute dans le dos, viole, meurtre, pour que enfin Salazard et Godric' mettent le fierté de côté, et main dans la main renoue avec leur amitié qui autre fois fut légendaire. Mille ans oui, que des illuminé ont cru a cela la réunification des deux maisons. Et pour cela il avait fallu tout détruire. Pour mieux rebâtir.
Voilà le seul et unique service que rendit sa majesté Tom Elvis Jedusor à Poudlard.
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