Pathos [1]

38 4 13
                                    

Pétunia ouvrit les yeux il était six heure. Voilà un mois qu'elle dormait dans une grotte depuis qu'ils s'étaient fait chassé pour avoir osé faire du bruit. L'odeur, l'inconfortabilité, les insectes et les rats6 sa elle s'y était habitué ou du moin avait été forcé de s'y habituer. Mais ce froid.... Ce froid lancinant et cette humidité. Oh ça non. Non elle ne s'y habituera pas décidément.

Grelottant et se retournant elle vit à l'entrée de la grotte son fils enroulé dans un plaide..
Il a grandit trop vite...
Songea Pétunia en observant le dos de son fils.
Bien trop vite.... Bien trop....

Ils avaient pas réussi à retrouver la fille qui leur avait valu de se trouver ici avec deux sorcier qui n'avaient eu de cesse de s'excuser pendent près de quinze jours. Et les Dursley n'avaient eux de cesse de répéter qu'étant donné les circonstances ils étaient heureux d'être encore en vie.

Car tout s'était agravé depuis que Lucius Malfoy avait été élu au poste ancien et jamais utilisé depuis plus d'un demi siècle, de Dictateur. Lorsque la nouvelle était tombé Didalus Diggle aurait tout aussi bien put mourir de strangulation que l'effet aurait été similaires. Hestia Jones était entré dans la grotte le journal serré dans son poings que son visage magnifique d'ordinaire s'était transformé en un bloque de marbre plus terrifiant qu'autre chose. Baguette en main elle n'avait cessé de faire des allez retour et chacun était resté à distance respectueuse le temps qu'elle se calme.

Le visage de Vernon était passé par à peu près toute les couleurs de l'arc-en-ciel, Harry consencieux s'étaient employé à décrire méthodiquement tout les meffet des mangemorts les plus connus. Et Lucius en faisait partie bien évidement. Dudley s'était assombrit à son habitude et Pétunia avait palit. Personne n'avait parlé pendant près d'une heure tous plongé dans ses pensées. Puis Dedalus avait enfoncé son chapeau sur son crâne et était partit en marmonant un vague
" Je vais voir si la voix et libre"

Alors que chacun savait que le lieu grouillait de militaire de sorcier membre de Serpens Nigrum et pourquoi pas des ex mangemorts.
Les jours qui suivir n'étaient pas forcément des plus joyeux. Les nouvelles ne cessaient d'affluer et malgré un contrôle rigoureux du ministère de la magie quiconque savait lire entre les lignes pouvaient saisir approximativement ce qui s'était passé. Puis était parvenu a leurs oreilles des rumeurs... Les rumeurs comme quoi Harry Potter aurait réussi à entrer par effraction au ministère pourquoi et comment ça....
Mais tout le monde en parlait à l'oberge biensur les journaux ce gardaient bien de révéler quoi que ce soit. Il n'avaient même pas mentionné l'événement.

Mais ce début novembre était trop froid décidément. Ce redressant elle regardant son fils jusqu'à qu'une voix murmure.

- Votre fils est vraiment courageux. Il me fait pensé à Gideon Prewett.
Murmura Hestia qui s'était réveillé elle aussi et qui se trouvait à côté. Ses cheveux noirs s'étaient entre mêle et ses yeux étaient plissé.
Pétunia se tourna vers elle et l'observa en silence ne sachant que dire. La sorcière eux un petit sourire penaud puis repris.

- Il était de trois ans mon hainé mais c'était le plus différent de la fratrie Prewett.
Prewett.... Prewett j'ai déjà entendu ce nom quelque par.
George et Molly était la joyeuseté même.

- Molly ? Molly Wesley ? C'était une Prewett. Mais , mais je croyais qu'ils...

- Les frères seulement.
Coupa Hestia. J'ai bien connu Gideon. Il était un peu comme votre fils. Il faisait partit de cette génération de sorciers et sorcières dont la jeunesse est partit trop top. Pétunia observa son fils et eut un sourire mélancolique nacquis sur ses lèvres.

- Et le pire c'est que d'un point de vu strictement moldu, nous somme dans un pays en paix enfin en paix au vu de ce qui se passe en Irlande... Notre pauvre vieux pays mais qu'est-ce qui ce passe ? Parfois je me demande si certaines personnes naisse tout simplement mauvais.

Hestia ouvrit puis ferma sa bouche et son regard s'assombrit.

- Oh non je pense pas....
Voldemort à Bien du avoir une sorcière et un sorcier pour parents. Ma mère est née Rosier vous savez.

Pétunia détourna son regard et se tourna vers la sorcière s'était la première fois qu'Hestia Jones se confiait à elle, s'était la première fois qu'elle lui parlait sans ce mepris s'entendent dans sa voix ni sa répulsion brillant au fond de son regard.

- Rosier. Ma sœur m'en a parlé d'un certain Cyprius Rosier. Il... Il .... Il...

- Un odieux personnage n'est-ce pas et surtout mon cousin.
Murmura-t-elle.
Pourtant Evan était un enfant des plus adorables avant d'aller à Poudlard il était polie , doué d'une compassion étonnante et ultra protecteur en vers sa sœur cadette. En vers ma mère.
Elle eut un petit sourire triste.
Son but ultime était de rendre fière son père il ne vivait que pour cela. Mais jamais Lord Rosier ne consentit un seul regard pour son enfant. Plus il approchait de l'âge d'entrer à Poudlard plus il devenait triste et terne. Poudlard la métamorphosé il ne travaillait pas pour lui mais pour son père il n'a eut de cesse de travailler pour son père. Je le soupçonne toujours de vouloir se rendre digne de lui, même si ce dernier est mort depuis longtemps. C'est ainsi que la non reconnaissance de son père l'a amené à commettre les pires horreurs. Torture , viole, meurtre de famille entière. Mais visiblement cela ne suffisait à rendre Lord Rosier fière. Rien était assez bon. C'était exactement pareil pour ma mère ce ne fut qu'à treize ans lorsqu'elle s'était rendu compte qu'elle avait été sur le point de tuer un innocent qu'elle s'est enfuis chez une amie. Elle n'est jamais retourné chez ses parents.

- Mais la police....

- ... N'a jamais rien fait. Il existe bon nombre de famille dite au "sang pur". Mais les vingt-huit sacré.....
On put ressentir toute sa haine et tout son mepris lorsqu'elle prononça le nom vingt-huit sacré
Les vingt-huit sacré sont élus à un rang quasiment royal. Hormis les Wesley. Les autres sont intouchable. Il y avait bien les Potter mais la maison Potter est morte ce fameux soir d'halloween quatre vingt un.
Tout cela pour dire que les vingt-huit sacré son intouchable. Et bon nombre d'innocent en on payé le prix. Donc non, je ne crois pas que quiconque naisse mauvais même ceux qui naisse malade, certes cela n'excuse rien , cela ne dedouane rien, mais comprendre c'est toujours mieux que rien savoir.

Pétunia était resté ainsi en parlant à peu de monde repensant à ce qu'elle avait entendu.
Personne ne nécessait mauvais. Personne....
Même pas moi.
Et une larme s'était mise à couler le long de son visage.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant