L' Origine du Mal [ 1 ]

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" Si certaine histoire commence par le début ... "

- Hermione ....

*

Janvier était arrivé, Pétunia se trouvait face à un ruisseau, les cheveux détaché elle se nettoyait le visage. Les nouvelles de faisaient de plus en plus sombre, des rafles se faisaient acheminé à peu partout dans le monde et l'on racontait que les nés-moldus ou les moldus ayant été en contacte de quelque façon que ce fut avec le monde magique et qui n'avait pas subit un sort d'oublie ou ingurgité une potion au effet similaire étaient confiné pour la sécurité du monde magique dans un lieu sur. Pétunia en frissonna rien que d'y penser.

La assise elle observait les landes d'herbes vertes et raz, parsemé de roches. Un paysage écossais parmi tant d"autre songea mrs Dursley enrobé dans des couvertures depuis longtemps déchiré. Fuire par l'écosse s'était avéré être une idée très mauvaise, le Royaume-Uni et la Grande et Indépendante République d'Irlande était en guerre ce qui voulait dire que les frontières étaient fermé sans compter la présence omniprésente de Serpens Nigrum. Leur protecteur avait bien du passé ses derniers mois a se confondre en excuse. Malgré le fait que les Dursley avaient répondu un millier de fois qu'il ne leur en tenait pas rigueur.

Depuis que Hestia Jones s'était confié les deux femmes avaient fini par loué une amitié étrange mais solide. Lorsque la guerre frappait nos porte et que le lendemain n'était plus assuré il arrivait que les ennemis de jadis se tendent la main.

"Notre histoire commence aujourd'hui "

- Hermione...

La jeune sorcière inspira longuement et retint avec difficulté une insulte qui se trouvait au bord de ses lèvres. Elle ferma son livre avec vigueur.

- Dérange moi encore une fois et je te fais sauter toute tes dents.

- Hermione !!
Cette fois s'était Harry qui s'était exprimé d'un ton de reproche.
La sorcière baissa les yeux sur son livre et s'apprêtait à ouvrir a nouveau l'ouvrage s'intitulant les Chroniques de....

- Hermione.
Repris Harry cela fait une semaine qui Ron tante de s'excuser je ne te demande pas d'accepter ses excuse mais arrêter de vouloir l'étrangler a chaque fois que tu croises son chemin. On doit rechercher les...

- Je sais je sais !
Répliqua la sorcière arrassé ne comprenant toujours pas pourquoi Harry acceptait le retour de cette incompétent malgré tout ce que cette idiot avait fait. Ronald Weasley était un lâche doublé de pleutre. Il ne méritait pas sa place dans ce camp. Cela faisait une semaine qu'il était revenu et après avoir entendu son histoire avait refusé a parlé à qui que se fut se replongeant dans l'analyse de son livre.

- Hermione le temps presse les rafles se font de plus en plus violente et fréquente, plus nous tardons à agir plus il sera difficile de dementeler Serpens Nigrum et puis tu as lu ce livre un millier de fois. Que t'apporte la lecture de cette idiot. C'est en partie sa faute tout ça.

Hermione se redressa. Harry et Ron se trouvaient assis à la table de la cuisine , le roux s'obstinait toujours à contempler le sol. Et le brun tenait des plans de cartes de villes et villages anglais susceptible d'avoir put un jour avoir un rapport avec Lord Voldemort. Et les lieux qui revenait souvent était la maison des Black, le Manoir des Malfoy, et Poudlard mais aucun des lieux hormis la maison des Black n'avaient été fouillé , Ron s'était contenté de prendre la direction des opérations dans une tentative veine de faire oublier à tous sa lâcheté.

- Albus t'as montrer le passé de Tu-Sais-Qui pour mieux le comprendre et bien moi c'est pareil. J'ai trouvé ce livre chez Batilda Tourdesac et tu sais quoi ?
Tout ceux qui ont cru suivre ses traces se sont fourvoyé tous.

Ron eux un rictus de mépris et répondit.

- Ne commence pas à nous dire qu'il était un chouette type , juste incompris. Si ce connard n'avait pas existé n....

- Il n'y aurait jamais eux de Poudlard et nous vivrons toujours dans la clandestinité. Ah oui et la famille Black serrait pas devenu des anti-moldu notoire et les Wesley serrait resté de gros rasciste au find fond de leur forêt, je continu ?

- Un type nous a donné l'épée de Gryffondor, le même type qui nous a sauvé la vie lors de la bataille de la tour d'astronomie et le même qui a empêché Louna de se faire violée et le même qui m'a sauvé la vie. Le plus drôle c'est que l'on ne saura jamais. On doit se concentre sur les horcrux.
On a ... Je vous ai fait perdre beaucoup de temps.

La dernière phrase avait été murmuré si bassement que la sorcière avait crut avoir été abusé et pour la première fois en une semaine après avoir tenté d'enfoncer son poing dans le visage de cette incompétent elle leva les yeux vers Ronald Weasley. Leurs regards se croisèrent une fraction de seconde et ce fut cette fraction de seconde qui lui suffit pour se décider de sortir de son lit en un soupir elle se leva et descendit.

- Je veux comprendre, réellement comprendre ce qui a poussé des dizaines et des dizaines voir centaines de familles a s'isoler a accomplir les actes les plus barbar pendant des siècles. Je veux comprendre pour éviter que nos enfants petit enfants et arrière petit enfants aient a vivre cela un jour. Je veux éviter à des générations générations d'enfances a être gâché par des combats séculaires dont ils ne sont même pas la cause. Et pour ça je dois lire ceci.

Et elle montra le fameux livre.

*

Pétunia écrasa une larme qui coulait le long de sa joue, elle était épuisée et ne voyait pas le bout. Tout était ténèbre , mort et traque.

- Vous n'êtes pas une sorcière n'est-ce pas ?

Mrs Dursley sursauta et se tourna vers celle qui l'avait interpellé. Elle était très belle, mais comme tout les visages qu'elle avait croisé jusqu'à maintenant ravagé par une tristesse sans non.

- J... En effet.
Murmura la mère de famille estiment qu'il était vain de mentir.
Vous nous observée souvent ?

La jeune fille dévisagea Pétunia quelque secondes puis sourit et s'assit à ses côtés.

- Oui . J'avous que oui. Je n'avais jamais vu quelqu'un comme vous jusqu'à présent. Et vous voir entouré de Sorciers ma intriguée. Et puis lorsque l'on vous observe bien l'on s'appercçois toute suite votre nature.

Pétunia observa la jeune fille quelque temps et s'enferma a nouveau dans son mutisme.

- Ma mère est mourante , j'ai besoin de médicament spécifique mais pour cela il faudra me rendre chez les moldus. Les moldus son en guerre civile, si les autorités tombaient sur une enfant ne possédant pas de papier d'identité....

Pétunia observa la jeune fille puis se tourna a nouveau vers le ruisseau.

- Cela fait près de six mois que moi et ma famille avons quitté notre domicile sans explication apparente, notre mystérieuse apparition a alimenté la presse pendant des semaines. Par ailleurs malgré notre absence notre maison aurait plusieurs fois été visité par d'étrange personnes cagoulé disparaissant à chaque fois sous le nez des autorités. Je ne peux vous aider mon enfant.

Pétunia ne sut jamais ce qui la fit craquer le désespoir de la fillette ou le faite qu'elle avait l'impression de voir le regard accusateur de sa sœur aux travers ses yeux bleus. Voilà plus de deux ans que Voldemort était revenu et depuis son retour elle s'était interrogé n'avait jamais autant déversé de larme que ses deux dernières années. Si pendant des années elles avaient pensé que tout avé été de la faute de la magie , après la mort de sa sœur elle avait pensé que tout ses malheur prenait son origine a ce fameux trente et un octobre mille neuf cent quatre vingt un. Mais aujourd'hui elle était perdu. Elle pensait s'être retrouvé pendant un bref instant mais a présent elle aurait été incapable de dire qui elle était vraiment.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant