She was my sister

Dernière carte.... (1)

- L'on va pouvoir enclenché la seconde partie du plan Severus.

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Deux mois, deux putain de mois que Voldemort s'était auto proclamé roi de la Sorcellerie. Faisant de se fait de Bellatrix Lestrange reine, en tant que porteuse de son héritier ou héritière. Bien que ce connard semblait être persuadé d'avoir un mâle, avoir une fille lui ferait les pieds. Certes son désappointement serait qu'une courte consolation... Oui.
Mais bon, que pouvait- il y faire lui. Ah bas oui rien.
Comment avait-il put rendre celà possible au vu de l'âge avancé de la reine. Ça...
Après coup il préférerait ne pas le savoir.

L'hiver avait beau avoir tiré sa révérence depuis six jours, il se complaisait à faire de la résistance et son mentaux d'hermine dont il s'en drappait avec tant de passion, restait fermement accroché à ses épaules.
Temps de merde époque de merde.
Songea Neville en observant le lac , éclat de saphir, dans cette étendue blanche.
Un jolie tableau en soit, très jolie même.

La seul chose qu'il trouvait jolie en ce moment.

Draco en tant que fils du premier ministre et dictateur de du Royaume-Uni magique était aussi à présent de par sa mère, neveu de la reine et du roi de la sorcellerie.
Il en était devenu si arrogant qu'il exigeait que chaque personne qui avait l'honeur de croiser sa route, devait s'incliner en lui donnant du vôtre altesse.

La maison Black bien que disparus a la mort de Sirius avait en un sens obtenus ce qu'elle désirait depuis presque mille ans. Un titre royal. Et à présent pour rappeler à tous de quel maison ce béjaune était le plus fière, il s'était acheté en l'honneur de la maison maternelle, un imposant corbeau, aux yeux et aux ailes aussi noir que son cœur.
Pas sûr que cela plaise à son Dictateur de père au demeurant.

Voir sa propre maison spoiler aux profils de celle de sa femme après tant et tant de sacrifice personnel. Lui qui se pensait au sommet... Certes officiellement il était toujours à la tête de l'Angleterre, la maison Malfoy était toujours la plus puissante du pays oui.... Mais a la vérité, en reconnaissant Lady Lestrange comme sa reine, en l'engrossant, c'était la maison Black qui avait été choisi pour donner naissance à l'héritier où l'héritière de Voldemort. Nul ne pouvait si tromper, c'était la maison Black qui avait raflé le gros lot, bien que officiellement éteinte.

Tant de machination politique. La maison Longdubat, bien que riche s'en était toujours écarté, elle avait regardé de loin, les Lions, les Dragons et les Corbeaux s'écharper pour le pouvoir tout aux long de ce siècle et même le précédent. Le bélier n'avait pas sa place sur l'echequier politique apparament.
Et elle s'en était toujours flatté. Pour qu'elle résulta je vous prie ?
Presque éteinte, il était le dernier mâle à porter le nom Longdubat. Et il y avait de grande chance qu'il ne rejoignit sa mère et son père. Et alors, disparus le bélier. Ne resterait en lice que le Dragon, seul et affaibli comme il n'était pas permis.
Comment ne pas y voir là, la fin d'un monde ?

Observant sa bague a tête de bélier que lui avait légué sa grand-mère lorsqu'elle avait eux vent qu'il faisait de la résistance, il ne remarqua pas tout de suite la présence.

- L.. Lo..Lor... Lor..Lord Longdubat ?
Haussant l'un de ses sourcils il se retourna. C'était bien la première fois qu'on l'appelait par le titre de son défunt père.  Titre qui comme ce dernier ne pouvait posséder car Lady Longdubat n'était toujours pas morte. Mais apparemment tout comme son père, il avait, malgré la tradition, gagné le droit de porter le titre de par ses exploits. Enfin des exploits, il faisait ce qui était juste, un point s'était tout.
Lord Longdubat...
Cela sonnait si étrangement dans ses oreilles.
Avait-il éprouvé la même sensation lorsqu'à la mort de son propre père son grand-père Lord Elvis Longdubat , Franck s'était vu affublé d'un titre qu'il ne pouvait possédé ? Un titre qu'il n'aurait du obtenir qu'à la mort de sa mère.
Jeune, charismatique, d'après les récits, Franck et Alice étaient surnommé duo mortel. Les mangemorts les évitaient et l'on racontait qu'ils faisaient partie des rares élu à n'avoir jamais fais saigner l'autre taré.