Un éclair bleu et sensation étrange(1).

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14 janvier mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit...

Six jours qu'ils se trouvaient dans cette cellule froide et humide en attente d'être transféré Dieu savait où, là où on  emmenait les rebelles et les sangs-mêlés récalcitrants et cette classe inférieur de nés-moldus.  Le sortilège d'Hermione avait été efficace dans un premier temps très efficace. Leurs baguettes magiques avaient été confisqué le temps de subir une évaluation poussé par un maître baguette suffisamment compétant faute de mieux depuis le disparition de  Olivier Ollivender, et au vu du nombre de rafle se multipliant  la procédure pouvait prendre plusieurs jours. Mais lorsque l'identification de la baguette magique d'Hermione Granger aura été identifié car les garçons ne possédant plus la leurs... Que Dieu ait pitié d'eux...

Le camps où ils se trouvaient se nommait  Beauticaster, ce qui étymologiquement pouvait s'apparenter à jolie château. L'endroit était ni jolie, ni un château. Sauf si on prenait pour comptant la vague tour à moitié détruite qui se maintenait piteusement debout.  L'endroit protégé par des repousses moldus étaient une prisons sous-teraine pour l'essentiel sauf pour ceux dont l'identité avait été établi et qui attendait dehors dans le froid leur transfer on ne savait où....

Dès leurs arrivé, on les avaient rasé fille comme garçon, Hermione lui avait toujours paru comme une sorcière au caractère affirmé, certes bien moin que Ginny, mais la voir ainsi le regard vide alors qu'elle était attaché à une chaise et qu'un sorcier sourire au lèvre muni d'une paire de ciseaux et d'un rasoir attaquait sa belle chevelure.  Puis ils avaient été traîné au sous-sol poussé dans cette cellule miteuse ou venaient s'entasser une trentaine de personnes parmi eux des enfants.  Et depuis six jours  ils se trouvaient ici. Harry et Ron s'étaient battu deux fois et deux fois à cause d'un même type voulant voler la gamelle d'Hermione, la deuxième fois le fiefé voleur avait frappé Harry au front le faisant saigner. S'étais certes horrible et abject  songea-t'il mais il en aurait été presque soulagé lors du troisième jours lorsque ce personnage avait été transféré dans les cellules a ciel ouvert   en attente de son extradition.

Hermione après coup semblait émerveillé a l'idée qu'Harry ait échoppé d'une seconde cicatrice au fronds, car étend donné que le sortilège cuisant ne faisait plus effait,  le fait qu'il soit devenu  momentanément chauve et porteur d'une seconde cicatrice  ne pouvait être que bénéfice, de plus le petit sac en perle bourré de magie avait du être jugé innofensif car  il n'avait pas été saisi lors de leur arrestation.

Plusieurs fois des sorciers et sorcières entraient dans la cellule observaient les détenu d'un air méprisant  puis sans aucune trace d'humanité arrachaient les enfants à leurs mères, emmenaient des sorcières, des sorciers, des vieillards et parfois des familles entières. Et parfois s'était l'inverse. Des familles entières, des mineurs isolés se retrouvaient dans cette cellule.

- La vie est une chienne....
Avait répondu Ron en voyant un enfant se  faire battre  et arraché au bras de sa mère au bout du cinquième jour.

Harry avait ouvert puis fermé sa bouche Hermione s'était contenté de rester silencieuse. Ses yeux s'était assombrit.
La jeune sorcière depuis deux jours se tordait de douleur et des tâches rouges étaient apparue a son entre jambe, pris de pitié Ron avait retiré son pantalon et Harry avait entaillé plusieurs fois son pull  en faisant des petits  carré de tissus  à l'aide de ciseaux que lui avait tendu une sorcière prise de pitié.

Depuis Hermione ne se plaignait plus que de mal de ventre.  La guerre avait le don de contraindre les gens à des extrémités....

Au bout du sixième jour Harry s'était reveillé avec un puissant mal de tête mais qui n'avait aucun rapport avec Voldemort. Touchant son front douloureux qui a présent ressemblait à peu de chose près , à un jolie paysage de la Somme une froide nuit d'hiver mille neuf-cent-seize il avait jeté un bref coup d'œil à son pull  en guenilles et les jambes a nue de son meilleur ami Ron qui avait en tout et pour tout, un caleçon, un T-shirt, un pull comme protection du froid. Ceci dit, ce qu'il trouvait extraordinaire était qu"il avait quand même trouvé le moyen de dormir comme un bienheureux.  Bien que ... Ce dernier soit secoué de spams par moment.

Avec un sourire las Harry vint à la réflexion que le placard à ballet des Dursley bondé d'araignée s'apparentait à un hôtel huppé en comparaison.

Hermione dormait sur Ron. Les six jours d'incarcération dans cette cellules avaient eux l'effet de renforcer leurs amour d'une façon radicale. La désertion de Ron avait été balayé tel un fétus de paye face au vent.
Il fallait dire que Ron s'était montré d'un véritable secours et un petit ami en or.

Harry les contempla puis contempla la trentaine de détenu puis eu une pensée soudaine à sa tante si croyante, et en vint a penser à Dieu.  Selon la thèse athéiste Dieu n'existerait pas car il laisserai toutes ces horreurs ce produire. In-contrario  la thèse catholique , chrétienne voir monothéiste, défendait l'idée du fait que Dieu nous laissait libre de nos choix et qu'intervenir s'apparentait à être un despotes, hors il n'était qu'amour. Que Dieu n'avait pas créé le mal, qu'il s'était juré de ne plus interférer directement au prêt de ses enfants après avoir fait le déluge. Car qu'est-ce le déluge, sinon le caprice d'un despote totalitaire ?

Alors l'Homme était libre de son choix mais qu'il ne vienne surtout pas pleurer lors du jugement dernier il aura été assez prévenu.
Harry fit le mou ne sachant pas quoi trop penser de cette mentalité. Qui des athés et des monothéistes avaient raison,  il n'avait jamais vraiment statué pour dire vrai il ne savait pas de quel bord il était et la situation ne s'y prêtait pas trop de toute façon. Quoique... Fallait-il vraiment un contexte pour ce poser ce genre de question ?

Puis soudain il eut le souvenir d'un éclat bleuté ou étaient-ce les yeux azure d'une femme mais il s'insulta mentalement de tout les nom. Pourquoi n'y avait-il pas pensé plutôt. S'il y avait la moindre chance ne serait-ce qu'une infime par de doute... Pourquoi ne pas essayer. Plongeant la main vers sa chaussette droite lorsque des pas se firent retentir.

Ah ce moment tout les détenu se réveillèrent la peur au ventre. Sachant qu'ils avaient une chance sur deux de se faire embarquer. À moin que ce soit l'heure de la gamelle, mais Harry avait le pressentiment qu'il était bien trop tôt.

Le regard ensomeillé du rouquin croisèrent ceux alertes du survivent. Hermione avait dû avoir le même raisonnement car même réveillé, elle observait tout au tour d'elle inquiète.

- Nous sommes vraiment vraiment désolé monsieur le....

-... Laissez moi vous raconter une histoire milord. Vous aimez les histoires n'est-ce pas ?

Hermione se leva d'un bon et Ron plongea sa main dans sa poche de Jeans avant de se rappeler qu'il n'en avait pas et encore moin de baguette magique.
Harry se redressa, tout trois avaient reconnu la voix comme tout les détenu par ailleurs. Une voix qui était devenue célèbre depuis peu.

- L'Histoire  de trois rebelles hautement dangereux caché par un Lord véreux  incapable de les reconnaître trop occupé par son argent.

- C'est faux milord si j'avais sut je ....

La porte s'ouvrit et les yeux bleus acier tombèrent immédiatement sur les yeux verts de celui qui avait défié la mort dès la naissance.

- Et vous qu'en pensez-vous de cette histoire mister Potter ?
Un a un tout les regards se tournèrent vers lui. Harry degluti.

- Bing Bingo...
Gloussa Lucius de cette très, très insupportable voix nonchalante.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant