Les valeurs ancestrales d'une école millénaire (2)

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William pris de court, était resté coi, puis se rappelant que dans ses perspectives d'avenir, vivre alitée sur un lit d'hôpital jusqu'au restant de ses jours, n'était pas forcément ce qu'il projetait, il avait levé les bras pour montrer à la jeune sorcière son passifisme. Un passifisme dont elle en avait rien à faire visiblement.

Le Lion et le Serpent ce jaugèrent, ennemi par nature, mais si semblable en bien des aspects.
Alors que Gynnie ouvrit sa bouche. William en parfait Serpentard eux ce petit sourire en coin.

- Tu aurais préféré que je laisse ces deux déchets s'amuser avec ton amie

Vlan.

La gifle était parti, si soudainement que William recula de deux trois.

- Pourquoi as-tu sauvé mon ami, quel est ton but ? La manipuler pour faire d'elle ce que tu veux. Rien est gratuit chez vous.
Le vert et argent recula dégoûté
Comprenant avec dépit le cheminement de pensé de la rouge et or.

- N'importe qui aurait fait pareil.

- Pas un Serpentard, le Serpentard agis seulement s'il est sur d'en retirer un quelconque bénéfice. Donc pourquoi as-tu sauvé la vie de Stella ?

- En connais tu seulement un ? As tu eux seulement une discussion mature avec l'un d'entre nous.

Gynnie ouvrit sa bouche mais excédé William ne lui avait pas laissé le temps de répondre.

- Voilà aucun. Tu serais surpris du nombre de Serpentard qui désapprouve le nouveau régime. Notre maison possèdent peut-être le taux de sang-pur le plus élevé, nous évitons et désapprouvons le métissage, mais est-ce que cela fait de nous des partisans de Tu-Sais-Qui. Nous chérissons les traditions plus que tout, aborront les ordres, curieux par nature ambitieux, nous avons jamais refusé de toute étudier. Nous avons une mauvaise réputation depuis mille ans et en as-tu veux un seul d'entre nous ce plaindre ? Non. Alors vas-y envoie moi à l'hôpital, si sa te chante vas-y dépêche toi . Ou va retrouvé ton amie qui a plus besoin de toi que toi de moi. Un silence s'était alors installé.

Puis lentement Gynnie avait abaissé sa baguette magique. Soulagé mais agacé William s'en était retourné, alors qu'il allait prendre a couloir. Gynnie s'était écrié.

- Merci. Merci. Quel est ton nom.

Le jeune sorcier indécis était resté silencieux quelques secondes avant de répondre.

- William , William Wallace.

Gynnie était resté silencieuse quelque temps puis alors qu'il allait partir de nouveau, elle annonça.

- Dans trois jours après le couvre feux septième étage. Tu seras bien venu.
Et avant qu'il n'ait eux le temps de dire quoi que ce fut, elle était parti.

*

- Tu crois qu'il était sincère ?

- Sans lui ces deux connards m'auraient violé.

- Mais s'il faisait ça par intérêt.

- Pourquoi faire ? Les Serpentards ont beau être des sacré connard, il faudrait être putain de tordu pour imaginer un plan pareille.

- Tu-Sais-Qui ne te suffit pas comme exemple ?

- Merlin en a bien fait parti et pourtant il n'était pas à moitié timbré. Bon peut-être un peu mais il a combattu la fée Morgane. La fée... Elle se prenait vraiment pas pour une merde Dame Morgane.

Le soir même alors que vingt-heure était largement passé. Gynnie et Stella s'était toute deux enfermé dans une cabine de douche.

Stella Caldy avait toujours sut garder une reparti quelqu'est put être là situation. La assis près de la cabine de douche rien ne laissait entrevoir qu'elle avait échappé à une tentative de viole. À par peut-être son teint légèrement plus pâle.

- Donc tu penserai que ce qu'à fait ce William était sincère ?

Stella resta silencieuse quelque seconde puis déclara.

- Ce ... Wallace est de nôtre promotion. J'ai eux l'occasion de le voir deux trois fois en six ans. Un type arrogant , un souverainiste et traditionaliste détestant ce mélanger, mais lorsque la chambre des secrets c'est ouverte, jamais je ne l'ai vu ce venter ou s'en réjouir sa m'avait assez frappé à l'époque. Puis je m'en suis désintéressé, après tout c'est un Serpentard, on ce méprise depuis mille ans en bonne entendeur s'en à toujours été ainsi.

Gynnie ouvrit puis ferma sa bouche et paru comme déstabilisé. Puis après un bon moment répondit.

- Certaine personne ne sont pas faite pour être ensemble, mais moi je crois pas que c'est avoir avec les maisons. Nous nous sommes haï, entre-tué pendant des siècles, nous forcer à nous aimer est stupide, mais collaborer, sens nous entre tuer... Pourquoi pas. Et qui sais certain arriverons à se tolérer. Voir pour quelques rare âme s'apprécier. Et qui sait dans une centaine d'années ou deux tout cela ne sera que de l'histoire ancienne entre nos deux maisons.

Stella resta muette de stupéfaction.

- Depuis quand tu es optimistes ?

- Je ne l'ai jamais été, mais il m'arrive parfois d'espérer.
Stella eux un petit sourire triste. Puis repris la discussion là où elle s'était arrêté.

- Donc si l'on en croit ses dire, Tu-Sais-Qui aurait commis une erreur.

- C'est a dire ?

- Ne soumet pas un Serpentard qui veux.
Gynnie observa son amie de longue seconde. De très longues secondes.

- Tu sais Stella, par moment il t'arriverait presque de faire preuve de sagesse. Bon très bien, si nous avons bien compris, il y a eut eut une cassure dans la cohésion Serpentard. Et il se pourrait bien que la maison ce scinde en deux lentement mais sûrement. Mais comment en tirer profit ?

Un silence s'installa toute deux plongé dans leurs pensé. Gynnie observa de temps à autre sa meilleure amie et se prit à réfléchir. Si la vie était juste en ce moment leur seul soucis aurait été de préparer leur examen de l'année prochaine, de fleurter avec qui bon leur semble. Mais la vie, cette pute, cette chienne, est une garce et la justice sa plus grande collaboratrice lorsqu'il s'agissait de fermer les yeux.

- En tiré profit ? Tu retourne le mode de pensé des Serpents contre eux. Tu as changé.
Étrangement la rouquine ne releva pas la dernière phrase de son amie.
Tu n'as pas abandonné le combat.

- Jamais !

Stella sourit puis fronça des sourcils, puis après quelques secondes de silences répondit.

- On pourrait utiliser avec eux les valeurs qu'ils défendent depuis des siècles, et pour une fois que ça nous sert.

- Que sont-elles ?

Le sourire de Stella s'élargie.

- Les traditions , le communautarisme et surtout, surtout, l'amour de la sorcellerie, de la magie et bien-sûr de Poudlard.

Gynnie leva les yeux et ouvrit et ferma sa bouche. Enfin. Enfin elle avait trouvé l'ébauche d'une idée et cela risquerait d'être dantesque.

*

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant