" Elle s'appelle Naguini Tom, elle dit être une femme avant il y a longtemps. Elle appartient à mon père et mon grand-père avant. Personne n'est sensé la voir mais toi ... Toi t'es toi.- Stella et si ton père te voyais ?
Un petit ricanment suivit sa déclaration.- Le grand Jedusor tremblerai-t-il, ressentirait-il la peur comme tout mortelle ?
Le jeune garçon fronça des sourcils et soupira.- Très drôle vraiment très drôle. Je suis unique Stella.
La fillette leva les yeux aux ciel.- Arriverais-je a te faire changer d'avis Tom.
Ceci dit elle s'accrocha à son bras et fit une grimace de dégoût au même moment que le jeune sorcier et avec la même intonation et la même répulsion déclara.- Et ne me touche pas !
A ceci prêt, que ce dernier s'écarta violemment.
Le dernier des Serpentard s'arrêta observa la fillette et eux une réaction étrange, il fronça du nez, se passa la main dans les cheveux puis pouffa.
Pendant une fraction de seconde, une seule dans sa misérable enfance, il avait eux l'impression d'être un petit garçon comme les autres. Une fraction de seconde seulement.- Bien montre moi Naguini si tu y tiens temps. "
Révolu ce temps là. Peut-être que quelque par quelqu'un avait eut la vague idée de lui montrer ce que pouvait être un semblant d'affection, trois fois rien, mais suffisamment pour qu'il en ait une vague idée, puis se ravisant lui avait arraché le seul éclat de lumière qui ne brilla jamais dans sa vie.
Si dans sa jeunesse il haïssait les moldus et leurs incapacité à éprouver une sensibilité à la moindre sollicitation magique, les avaient-ils toujours comparé à de petits animaux chétif, à peine plus intelligent que le plus débile des singes.Mais il avait grandi dans une Angleterre Moldu, l'Angleterre de Chamberland mais surtout de Churchill et de son :
" Nous ne céderons pas " et de tout les bombardements qui suivirent. Fière et jamais conquise depuis l'humiliation de la défaite d'Astings, qui lui en a cuit son trône, sa couronne et sa culture saxonne, et l'entièreté de son royaume, cela ne l'avait pas empêché de souffrir de la fine fleur de l'aviation allemande la tristement célèbre mais non moin redoutable Luftwaffe, encore en service de nos jours. Et puis il y avait aussi ce malheureux incident. Conduisant à la mort de Stella.
Le poussant à revoir sa considération.Oh il les haïssait toujours, quoi que d'avenge, mais à présent il les savait dangereux et en mesure de tous les tuer. Comme ils l'ont fait pour ... Pour ...
Allons Voldemort ne ressentait rien n'éprouvait rien.Alors pourquoi avait-il cédé à ses avances ? Hmm ? Pourquoi ? Pas par sentiment naturellement mais parceque depuis quelques temps il s'était mis en tête de fonder quelque chose de grand et durable. Et qui de mieux que Bellatrix Black pour assouvir son désir. Un sang si pur et ancien, qu'il en devenait quasiment royal.
Royal... Ce mot raisonnait comme une douce mélodie dans ses oreilles depuis quelques années. Et il le trouvait plus puissant que le mot impérial. Certe, être le chef de plusieurs peuplades semi indépendante avait de quoi griser l'esprit.Mais un seul suzerain, un seul, à la tête d'un puissant et fière peuple, une seul et unique personne, tel un point de fer, dirigeant une nation, n'était-ce pas plus louable en fin de compte ?
Le problème c'était qu'il n'y avait jamais eux de roi chez les sorciers et par conséquent n'en aurait jamais.Mais avoir une descendance.... Ça... ça il n'avait pas abandonné. Certes Bellatrix était d'âge bien trop mur, mais Voldemort était Voldemort et du diable s'il ne connaissait pas un moyen d'y remédier. Il était allé si loin dans la magie.
Si loin....
Quel soit noir où blanche par ailleurs." Mon seigneur puis-je vous importuner d'une question ? "
Lui avait-elle demandé quelques semaines avant qu'il ne l'engrosse alors qu'ils étaient tout les deux allongé dans un grand lit et que ultime audasse, elle osa effleurer son torse pâle grisâtre dénué de tout poile depuis son retour du royaume des limbes.Voldemort machinalement se caressa le crâne avant de se rappeler oui, de ce rappeler que depuis que sa route avait fait la rencontre d'un certain Potter, il ne ressemblait à rien.
" Où avez vous eux cette bague en forme de serpent ?
Les fentes de ce qui lui servaient de narines frémir, et ses pupilles vertical se réduisirent a presque rien, donnant l'impression qu'il avait les yeux rouges.Sentant son changement d'humeur lentement mais en tremblant elle s'était relevé et s'était inclinée.
" pardonnez moi mon seigneur"
Et elle était parti.Aujourd'hui là devant sa glace il contempla son propre reflet, puis se tourna vers Severus Snape.
- Et bien ? Où est-elle ? Elle porte mon héritier après tout.
- Il semblerai qu'il y a eux quelques ennuis. Nous avons envoyé une dizaine de baguette pour voir ce qui ce passe.
- Envoyé ans cent autres rien ne doit arriver à mon héritier.
Snape s'était contenté d'agité sa baguette , une plume et un parchemin étaient alors apparu, la plume gribouilla quelques mots puis le parchemin se plia de lui même pour prendre la forme d'un hibou et disparu.Il eut alors un gémissement et l'héritier de Serpentard et l'espion se retournèrent en même temps.
La sur un lit se trouvait une jeune femme les poignés attaché au lit la croupe en avant qui pleurait. Summum de l'humiliation, elle était nue.
Voldemort eux un rictus.
- Rien de mieux qu'une fille de moldu, pour s'amuser. Celle-ci me dure depuis deux semaines. Tu es un fidèle serviteur, je pourrai te la prêter si l'envie te prend.
Severus se contenta de s'incliner bien bas.
- Tant d'honneur mon seigneur. Mais je préfère les sorcières consententes.
Lord Voldemort haussa des épaules.- Si prude et froid. Toujours à te tenir loin de toute tentation charnelle. Met à vis qu'un eunuque passerai pour un infâme débauché.
Bien allons-y.Alors qu'ils allaient sortir de la tante improvisé, Tom s'arrêta, ce figea puis leva sa baguette puis sans même remuer ses lèvres usa du sortilège de mort qui tua sur le champ son jouet, cette fille de non mage que l'on a avait dégoté pour lui.
Elle avait quoi, quinze printemps, seize à la rigueur, mais aux fesses si rebondit, aux lèvres si pulpeuse.
Si jeûne, et détruite, par un homme dont jusqu'à récemment elle ne connaissait point l'existence. Un homme, que dis-je un sorcier appartement à une race dont elle ne soupçonnait même pas l'existence.Victime d'une guerre qui ne la concernait en rien, victime d'un peuple qu'elle n'avait jamais connu et si jeune, tellement jeune. Mais bien moin sur Stella le jour où...
Quelqu'un quelque part avait jugé bon de lui donner une chance, infime si ténu qu'il ne s'en était rendu compte que des décennies plutard, mais oui une chance de briser la malédiction de sa pute de mère, mais un moldu en avait décidé autrement. Un moldu.... Un moldu.
Les années passant Tom avait compris le message de Salazard. La pureté du sang ne comptait pas, pas vraiment. Les moldus étaient certes inférieur, mais d'innocentes créatures, bernique.
Ils étaient malfeusant. Ils étaient le chat pour la souris, le lion pour la gazelle, la mort pour la vie.
L'ennemie naturel de la magie.Mais lorsqu'une proie cesse de ce prendre pour une proie...
Alors l'ennemi temps crains cesse d'exister. Car en fin de compte le véritable ennemi c'étaient eux et la proie, les autres. Grindelwald l'avait compris et il gisait en prison à présent.
Les yeux de Lord Voldemort dérivèrent sur sa bague en argent puis songea.
Plus jamais... Plus jamais.
Sans trop savoir lui même ce que tout celà voulait dire.
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She was my sister
FanfictionVoldemort est de retour est à la ferme intention de recouvrir le monde magique et non magique de son idéologie radical aux penchant totalitaire. Ayant beaucoup appris de son retour des ténèbres il obtera pour une politique plus douce accusant les g...