Pathos [2]

36 3 35
                                    

Novembre venait de naître il faisait froid. Gynnie se lèva. Jamais elle n'aurait cru possible de passer une année pire que sa deuxième années. Sa sixième était vraiment des plus sinistres avec la fratrie Carrow. Ils étaient pire que Snape, oui pire que ce traître c'était possible . Ils torturaient les élèves à coup de bâtons, de fouets et surtout de Doloris. Rusard s'en donnait à cœur joie. Les garçons étaient mis torse nu pieds poings liées à un poteau et devant toute l'école ils étaient fouetté. Les filles devaient relever leurs robes puis, elles étaient maintenu magiquement et étaient fouettées. Le quiditche était devenu une discipline obligatoire dès la première année mais il était différent. Il fallait avant d'espérer de monter sur un ballet courir au tour du terrain. Faire des pompes et des soulevé de poids enfin il fallait être le meilleur en quiditche sous peine d'être punis.

Et contrairement à ce que l'on aurait put croire la maison Serpentard était nullement avantagé. Non Voldemort cherchait chez la jeunesse la perfection et la perfection uniquement. Et un bon Sorcier devait si possible être de sang pur ou dans le pire des cas de sang-mêlé, connaître sur le bout des doigts la métamorphose, les potions et l'histoire de la magie qui avait vu un remaniement spectaculaire.

Mr Bins avait été tout simplement démis de ses fonctions par décret ministériel et la matière fut. rebaptisé Gloire de la Race Sorcière ou GRS. Une historienne de la magie membre de Serpens Nigrum avait été alors détaché. Elle venait tout droit d'Égypte et avait fait ses études de sorcellerie dans la célèbre école de Uagadou .

Tout d'abord elle était très belle. Le teint mate, les yeux en amendes mais un regard sombre si sombre. Elle était issus d'une très noble et ancienne famille de sorcier d'Égypte les Al-Arkenziz, ayant autre fois servit les anciens rois Sorciers, les Pharaons.
Et oui Voldemort acceptait peut-être des étrangers dans son école mais pas non plus le premier sang-mêlé venu . Pour être enseignant à Poudlard il fallait un sang pure ou une ascendance prestigieuse ayant contribué à la gloire de la race supérieur. Et non un marchand de tapis volant. Ça on en trouvait à tout les coins de rue au Maghreb. Tout comme des medico-mage, des policiers et autres roturier en Europe. Mais des famille ou des Sorciers qui avaient dans leurs sang le sang des Black, des Serdaigle, Serpentard, Grindelwald, , O'Free, ou Al-Arkenziz, ça... Ça..

Le professeur se nommait Sarah Al-Arkenziz et au lieu d'avoir une heure d'histoire de la magie par semaine comme il était coutume sous l'ancien régime, là il devait faire cinq heures de Gloire à la Race Sorcière par semaine et pendant ces cinq heures ils retraçaient l'histoire de la race sorcière de la préhistoire à nos jour en oubliant pas de souligner à quel point les Sorciers étaient des êtres magnifiques et parfaits, supérieur en tout point à ces chiens d'humains. La GRS était devenu très vite la matière la plus détesté. Car s'était devenu de loin la plus importante et la plus dense, il fallait apprendre une quantité astronomique de chose, et il y avait un contrôle presque tous les jours. Et celui qui se trompait écopait de cinq coup de fouet par mauvaise note. Dix-neuf, cinq coup de fouets, dix-huit, dix, ainsi de suite jusqu'à zéro, ce qui équivalait à cent coup de fouets.
Car il n'y avait pas plus insultant pour un Sorcier quelque soit son sexe, d'avoir des lacunes sur la grandeur et la magnificence du passé de sa race. La race magique, la race supérieur.

Mais il y avait presque pire que les cours de GRS, pire que les cours de quiditche, qui s'était révélé être un programme de sport pour jeune recru militaire qu'autre chose. Pire que l'étude Des Sous Race la "DSR", qui avait remplacé l'étude des moldus, oui bien pire.
Il y avait l'étude de la magie noir qui avait remplacé la défense contre la magie noir.
On y apprenait des sorts pire que le doloris, notamment parmis les plus abjectes créer et donner vie à des Inferi. Poudlard avait décidément bien changé.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant